ashes of dream ((ft. Areum))

et dans le noir : elle époustoufle. chante les muses merveilleuse, à se jouer de ces regards ,, venir faire don de ces illusions : à en voler tous ses rêves. de ces prison de verre, elle ne vit que pour divertir, Kanon. et il n'y a que sur les scènes ,, que tu es réellement toi. quand elle tente de venir leur faire comprendre, que chacun de ces vers, que chacun de ces rôles : venaient à la briser un peu plus.

de ces fragments :
qu'elle récupérait !
loin des soleils.

et de ces paraîtres ? qui en étais-tu réellement ? là, où les foules avaient arrêté de t'applaudir pour t'en laisser respirer ; là, où les seuls lieux où l'on voulait que tu sois : s'en trouvent être devant les yeux du monde. à te fixer, comme bête de foire, à t'en offrir ces folies ! que tu avais créées toi-même. misère incandescente, tu souris : tu t'erraffles ! tu salues, tu rigoles : comme si l'on viendrait en embrasser chacune de tes plaies, loin de ces factices mascarades !


car les lieux n'en avaient fait qu'écouter le son de ta voix pour en offrir au monde divertissement, et ce soir, ce n'en étaient pas les tragédies, qui prendraient vie sur ces scènes tant de fois effleurées ! simple fête, où ceux à vouloir se montrer venaient à assister ! quand tu en étais égérie de ces lieux si divins. aux allures ancestrales ! de ces colonnes à rappeler les antiques frivolités ! Kanon ,, à se frayer chemin entre ces mains à vouloir la retenir ! coupe à la main, sourires trop délicat : ce que tu détestes, venir parader ! pour que l'on ne fasse, que te juger.


de tes talons, à claquer contre les carrelages, c'est dans ces balcons déserts, que tu en avais trouvé refuge. à venir te caler contre un mur, soupirer un coup ! étoile d'une soirée, à s'enfuir dans les nuits sans fin. quand c'est ta silhouette ! ô inconnu.e ! qui viendrait en attirer le regard : comme malédiction ultime. — Oh, I'm so sorry, I didn't saw you were there. qu'elle s'en excuse ! de ces douceurs si florales ! à redresser sa figure : essayer d'en jouer celle trop parfaite ! de ces sourires presque trop grâcieux. — May I stay here for a few minutes ? Some people are looking for me and, I just want to take a pause from all this agitation. comme pour arrêter les horloges ,, aiguilles qu'elle saisirait de ses doigts ! quand les musiques s'en faisaient sonates d'une simple nuit d'été.

mélodies et ritournelles dansant dans la salle pour y frôler les oreilles, espérant toucher les coeurs ; poupée était victime de ces berceuses qu'elle appréciait depuis sa plus tendre ? enfance. prunelles fixées sur la scène, à observer ces nymphes musicales partager leur art, perchés sur leur estrade, illusion qu'ils ont été gravés dessus, nés pour être surélevés à la vue de toutes, statuettes d'art. ((tu t'imagines toi aussi être au sommet ; n'est-ce pas ce pourquoi tu es née ?))


applaudissements généreux ; cadeau du public pour remercier du moment passé comme hors du temps, échange équitable entre l'auditoire et les muses alors que la salle reprenait doucement une lumière tamisée. bruit de deux paires de talons sur le dallage alors que poupée suivait sa génitrice maternelle comme une ombre dans ses nippes sombres, colonnes l'entourant comme le ferait les barres d'une cage à oiseau. ((serais-tu un jour libre des attentes du monde ? des chaînes que tu as toi-même aidé à forger ?)) sourire plaqué sur les lèvres de l'oiseau alors que son accompagnatrice attirait l'attention par de futiles discussions. des mensonges qui se glissaient entre les lèvres de son aînée, fausses idylles à propos de son mariage et à quel point ses enfants étaient soudés entre eux, poupée qui ne peut qu'acquiescer et jouer avec les songes illusoires de sa mère. délusions lui montant à la tête, jeu de la comédie épuisant, areum finit par s'excuser d'une simple inclinaison du tronc, doux mais amer rictus toujours posé sur ses lèvres, avant de prendre entre ses doigts fins une coupe de champagne et fuir loin des délusions d'une parfaite famille.

victim of your father's plans
to rule the world

air frais sur le minois, comme une libération de son âme ; sourire qui s'efface enfin après une gorgée de champagne tandis que son regard se posait sur l'astre lunaire, seul public devant qui elle n'avait pas à jouer. soupir qui se faufile entre ses lèvres, adossée contre le mur ; esprit en perdition, être qui s'efforce de briller autant que la lune qui se trouve devant elle. rêveries tortionnaires interrompue par le bruit des talons et un soupir à gauche de la poupée, qui se redresse immédiatement, lèvres qui s'étirent par habitude ((why are you still acting ?)) alors que la tête se tournait en entendant les excuses. regard de danseuse posée sur celle de la chanteuse ; poupée de chiffon qui observe poupée de cire ; toutes deux jouant la comédie, sauvant leurs images, mais aussi toutes deux victime du risque de s'immoler par le feu. ((qui prendra feu la première ?)) "Not a big fan of the attention, huh ?" "Pas une grande fan de l'attention, hein ?" alors que toi, tu crèverais pour elle, areum. un léger rire qui s'échappe de la poupée. "Relax, songbird, I'm not going to judge you if you need a break." "Du calme, oiseau chanteur, je vais pas te juger si t'as besoin d'une pause." ou peut-être bien que si ; comme si elle-même n'avait pas réajusté sa posture une fois la présence de la nymphe musicale détectée ; poupée hypocrite qui se moque d'elle-même quand elle relâche sa vigilance et s'accorde ne serait-ce qu'une once de repos. les yeux toujours posés sur la muse ; un faux sourire pratiqué depuis des années sur le visage ; poupée reprend une gorgée de champagne.

dansent les enfants du monde : à valser, sous les regards infâmes. se pavanent les idiots ! de ces masques sans âme, viennent à s'approcher les chaos à faire vriller les têtes : sourit, que tu es belle, Kanon ! offres en ces spectacles à en être ignoré de tous ! car qu'importe ô combien muse que tu étais viendrais à en être si parfaite ,, il n'y en aurait que dans ton dos, que viendrais à s'imposer leurs jugements.
ceux à tuer :
là ,, quand paradent
les imbéciles.
qu'elle fuit ! s'en cache dans les hauteurs : vue des cieux, à brandir les éclats d'une salle sans émotion. et tout y est si faux ! et tout vient à prendre sens ,, de ces perchoirs à en servir de refuge, le monde qui venait à les recueillir en était si gris : d'éclats abandonnés, viennent à pourrir les humanités, quand ici tout n'en était que pour ceux aux envies de grandeurs. à ne plus rêver, des symbioses parfaites ! venir se dissimuler : dans les ombres sacrées ,, loin des bruits, à cogner contre les tympans.

là où tu venais déjà :
à sommeiller !


et de deux poupées à venir rayonner loin de ces théâtres fantasques, viennent à s'en croiser les regards fatigués : de ces scènes aux allures identiques, à toutes ces soirées qui venaient à s'enchaîner. — We could say that ! It just...too noisy, and boring, tonight. qu'elle soupire de sa douce voix ! vient à rire tout doucement de ces absurdes coïncidences : et peut-être que toi aussi, tu venais à te délecter de ces spectacles si fades. — And if I need a break, are you doing the same, here ? s'en tourne vers Terpsichore ! pose les yeux sur la douce créature : sourire à fleurir ,, quand de deux muses viendraient à sonner les triomphes d'une nuit sans fin.


— And if it's okay with you...I guess I could keep you company for a moment ? qu'elle se moque des regards ,, viendrait à en perdre ces perfections désirées : pour en être plus, que ces simples figures à devoir plaire aux autres. alors juste un peu ,, vient à siffler les quelques chants des dieux ! t'en accorde ses regards presque trop doux ! quand les corps viennent à te rejoindre ,, s'adossent aux barricades : comme pour en devenir vous-mêmes, déesses mélodieuses. — So...Areum, right ? Nice to meet you officially. If I knew I would have bring more...snacks to make a small party up there. d'une beauté à enchanter, et Kanon : trop innocente ! viendrait à toujours en conserver ces allures, de princesse à toujours trop briller. de manières plus discrètes, vient à choyer les élégances tant aimée ,, quand ici même les sourires viendraient à se faire faux : pour en dissimuler ces regards affligés. ceux que personne ne remarquait, ceux à faire flancher les vérités : dans ces rôles que tu venais à jouer, Kanon !
tu en partagerais
poèmes et péans
à sonner les glas !

et entre les murs, les voix pouvaient encore se faire entendre ; palace où les riches paradaient, endroit enchanteur pour ceux qui se croient au-dessus de tout le monde ((toi, tu fais semblant d'y croire, areum ; un masque de fierté qui cache derrière tout le doute qui te ronge les tripes)). comédie ou bien tragédie trop épuisante sur les épaules de porcelaine de la poupée ; rendez-vous avec les lueurs de l'astre, à aboyer silencieusement à la lune ((parce que jamais tu n'avoueras tes moeurs destructeurs à haute voix)) ; présence d'une autre poupée à ses côtés.


masque qui perd de son opacité sous la pression ; posture parfaite sur le balcon, mais pourtant la lumière lunaire révélait dans ses yeux une fatigue trop dure à cacher ; astre traître qui semble vouloir étaler tous ses secrets sur cette avancée, à la vue de la poupée de cire ; mais quand l'âme qui l'accompagne dans sa solitude se tourna vers elle, poupée-marionnette aurait juré voir le même sentiment dans ses prunelles ; comme un reflet dans un miroir. muse, pourrais-tu faire tomber le masque de la marionnette ce soir ?


"Not really a break, I just need some fresh air." "Pas vraiment une pause, j'ai juste besoin d'air frais." mensonges qui glisse facilement entre ses lèvres qui ont l'habitude de laisser passer des fabulations ; un geste de sa main libre pour la remuer comme un éventail le ferait ; une action pour rendre sa comédie plus réel aux yeux de la nymphe, essayant de lui faire croire qu'il faisait trop chaud. ((tu finis par croire toi-même tes mensonges, areum)) un rire nerveux qui s'échappe pour s'envoler avec le vent d'avril. "Sure, I don't mind your company." "Bien sûr, ta compagnie ne me dérange pas." un regard lancé au ciel nocturne ; soupir qui s'échappe de ses narines, une craquelure qu'elle espérait que la muse ne remarquerait pas. douce voix chantante qui vient frôler ses oreilles, poupée se tourne à nouveau vers la nymphe et lève doucement sa coupe de champagne pour dorer son introduction avant d'y prendre une nouvelle gorgée ; trop apeurée pour proposer sa main pour la saluer, par peur de découvrir une nouvelle similarité avec la muse par un simple toucher.

i'm so good at telling lies
((that came from my mother's side))

et la poupée ne put s'empêcher, pendant un court moment, de sentir un brin de jalousie lui brûler la gorge ; la nymphe lui semblait tellement innocente, beauté fragile et fraîche sous la lune ; dryade à la douce voix qui semblait parvenir à se permettre de se laisser prendre des pauses sans les regretter ensuite. ((le monde va te rattraper si tu t'arrêtes, areum)) pourtant, un sourire forcé illustrait toujours le visage de la marionnette. "Areum, yes. Nice to meet you too, Kanon." "Areum, oui. Ravie de te rencontrer aussi, Kanon." une nouvelle gorgée de champagne ; discussions de la bourgeoisie qui restait en bruit de fond. "We can always sneak in some hors-d'oeuvres if you're hungry." "On peut toujours ramener des hors-d'oeuvres si tu as faim." rire charmant qui fleurit en poupée avant qu'elle ne pose à nouveau ses yeux sur les étoiles observatrices des deux silhouettes. pensées qui viennent embrumer son esprit avant qu'elle ne se tente enfin à lancer la conversation. "Tonight is noisy, sure, but it's just one of the small problems about celebrity." "C'est bruyant ce soir, c'est vrai, mais ce n'est qu'un des petits problèmes de la célébrité." marionnette qui se tourne vers la muse, le regard sérieux ; le sourire qui disparaît doucement, laissant tout de même une trace fantôme de son existence. "But don't you think you'd be nothing without fame ?" "Mais tu ne penses pas que tu ne serais rien sans la célébrité ?" et à travers les mots qu'elle lance à sa compagne de soirée ; areum se révèle discrètement.

s'envolent les colombes !
dansent les papillons !
se dispersent les nuages.
et tout est beau, de ce monde auquel elle voulait venir recouvrir les rebords ! attrape les étoiles factices du bout de ses mains : simples éclairages, à scintiller ! comme éternels désespoirs. et alors tout pouvait bien venir trembler ,, couronnes à ne jamais s'en perdre ! et tu sais ô combien elles en sont lourdes, là, à peser sur ces frêles épaules comme pour en demander bien trop de choses.


dans le noir ,, à ne faire que jouer marionnette adorée ! qu'elle s'habille, pour toujours paraître plus radieuse : et qui viendrait à le remarquer ,, car c'en était devenue banalité ! que tu viennes à en offrir quelques sourires ici et là. jusqu'à ce qu'un jour l'on vienne à t'oublier, que le monde en soit trop gris ,, et peut-être que tout viendrait à mourir sous tes doigts ! quand ces derniers n'en rendraient plus les vies. alors tu fuis ! vient à en rencontrer douce figure : plus grande encore ,, plus élégante ! car à ses yeux, tout en était bien plus beau. — Oh, I see ! Then it's nice, up there. Nobody comes here, normally... sauf vous ! pour observer ces royaumes sans régent !
de ceux à brûler
dans ces courtoisies
funestes.
car les politesses viennent à brûler les lèvres ,, et nymphe qu'elle venait à côtoyer ! admire ces figures si délicates ,, qu'elle aimerait en avoir l'air si fière ! quand Kanon à côté, n'en était que simple oisillon trop bruyant. alors elle rêve, parfois, de pouvoir tout laisser tomber : s'envoler, elle aussi ! loin de ces brouillards sans fin avant que l'on n'en vienne lui arracher les ailes. mouvements grâcieux, flûte aux cristaux vibrants à s'en lever finement, elle essaierait de s'en faire grande ! garder ces allures idylliques : à n'être que gamine trop rêveuse ! de ce qui ne pourrait jamais être atteint.



— True ! but it would mean going downstairs ... so can wait a bit. qu'elle en rigole ! vient à en tourner le dos aux salles pour en apprécier les tranquillités de l'ombre. et elle t'écoute ! ferme tout doucement les prunelles ! hausse tout doucement la tête avant d'en tracer fin sourire sur ses lippes si fragiles. car elle se moquait bien d'être connue : si de ses mains, elle pouvait en soigner des vies, et si de ses vocales, elle pouvait à venir se perdre dans ces romances ancestrales. — You're maybe right. I wouldn't be anything without fame. But wouldn'y it be for the best ? qu'elle susurre, en tourne les regards, s'en redresse finalement : car elle sait, ô de ses tragédies toujours chantées ,, qu'elle n'en était que figure de plus dans une société déjà maudite. — Living a simple life, doing whatever you want, and doing your passions.

et toi, Areum ?
que voulais-tu réellement
dans ces mondes manipulés ?

— But at least I can do what I love, even now. So it doesn't matter to me, if I can sing and help a bit more. qu'elle en penche tout doucement la tête ! laisse quelques unes de ses mèches venir effleurer ses épaules : car elle veut savoir, au fond, ce que tu venais à penser ! pourquoi les visages de muse viendraient à s'en ternir, de ces sérieux si moroses. — So...What would you do, if you weren't here with all that stuff ? Without fame, without those stupid party... comment viendrais-tu à respirer, ces airs qui venaient à vous faire défaut ? quand les regards braqués sur vous : tout était trop lourd, pour en supporter les amertumes de tout un univers. — It's tough, don't you think ? la vie ! celle que vous essayiez de vivre par procuration : car au final ,, les mots n'en n'étaient jamais réels, entre vos lippes de poupée.

et les étoiles venaient à briller au-dessus de leurs têtes sans la perturbation des brumes ; tu dois être une étoile, les dires du paternel qui résonnent en tête et poupée joue le jeu d'un astre lumineux mais pourtant caché par les nuages. un jeu épuisant, incessant ; lumière impossible à atteindre malgré les mains tendues de la marionnette rendue soldate. alors nymphe fait semblant ; valse dangereuse qui finit par effacer la limite entre la comédie et le réel. mascarade devenue trop habituelle pour la marionnette ; les projecteurs ne sont pas sur elle, mais elle continue de jouer. doigts de porcelaine s'accrochant à ses propres fissures pour garder la tête hors de l'eau pour ne pas perdre l'attention de ceux qui l'ont façonnée. qui est-elle vraiment derrière ce jeu ? poupée elle-même ne le sait plus.


et la voix mélodieuse de la nymphe de la scène, scène partagée avec soeur adoptive de poupée, susurre dans le vent à qui veut bien l'entendre. ((et tu veux bien l'entendre, areum.)) et marionnette laisse ses propres rires se mêler à celui de la muse ; et quand la chanteuse se permet de dire des mots qui semblent si doux sur la vie, poupée y voit en elle une allure de princesse de conte de fées ; comme celles capable de susurrer aux animaux, celles qui se contente du minimum ((parce que rien ne sera jamais assez pour toi, areum)) ; et pendant un instant, poupée de chiffon envie poupée de cire. pincement de jalousie qui attaque coeur de marionnette devant nymphe capable de s'imaginer la vie sans les regards braqués sur elle à chaque instant et qui en parle avec une sérénité qui paraît inatteignable pour poupée qui se sentira à jamais tourmentée ; voilà donc ce qu'elle était devenue. une arme impossible d'imaginer ne serait-ce qu'une once de paix.


et question fatidique qui tombe sur poupée ; mots tranchants cachés derrière voix séraphique. dires qui la figent sur place ; gorge comme emprisonnée par des chaînes ; impossible de laisser des mots s'échapper de ses lèvres ; poupée qui essaye de cacher sa main dont les tremblements attaquent la coupe de mousseux. et pourtant, nymphe continue de jouer. continue d'afficher un sourire serein sur son minois pour y cacher son tumulte qui semble lui arracher l'âme. endoctrinement qui lui traverse les veines et l'esprit ; persuasion que sans son pouvoir et son devoir d'hausser la popularité de la famille hyun, poupée ne serait rien. "I don't know." "Je ne sais pas." sourire étiré pour cacher ses peines alors que poupée acquiesce. "You're right, it is tough." "Tu as raison, c'est dur." rire creux qui s'échappe de ses lèvres ; prunelles noisettes posées sur la muse sans même la voir, vision troublée par des mirages cauchemardesques. une famille adoptive et une enfance baignée dans l'argent contre la mission d'être au-dessus de tout le monde ; voilà l'arrangement. "I'd be nothing without fame." "Je ne serais rien sans la célébrité." détournement du regard alors que poupée laisse enfin tomber son armure ; et peut-être bien qu'elle le regretteras demain et le blâmera sur le champagne qu'elle a à peine bu. mais ce soir, il n'y avait que la muse, les étoiles et la lune pour entendre sa vérité. "So I'll keep trying, even if it kills me." "Alors je continuerais d'essayer, même si cela me tue." parce que son père a vu du potentiel en elle ; famille hyun qui l'accueille à bras ouverts mais ternis de poison ; et si elle n'avait plus aucune valeur pour eux, poupée cauchemarde de se trouver abandonnée à nouveau, comme celle qui l'a mise au monde l'a fait tant d'années. si elle n'avait pas le pouvoir et la célébrité, que deviendrait-t-elle ?

et qu'étaient-ils, sans ces apparats ridicules ? Kanon y avait déjà réfléchit ! enchante les anges, vient à vibrer : car qu'importe si les regards venaient à l'ignorer, elle continuerait d'en aimer ces passions à la consumer.

devient folle :
pour conserver
ces couronnes.

celles à vaciller, quand sourire s'en faisait de plus en plus complexe. rencontre parallèle : d'un miroir à te refléter, Areum, tu en étais un peu pareille. là, vient à se mouvoir les ficelles pour en mimer chacun de vos gestes. que tu en es belle, à en sembler plus royale encore : d'une élégance qu'elle ne connaîtrait jamais, elle t'admire un peu ! toi, à parvenir à en garder ces masques immortels, quand elle venait à se fissurer encore et encore.


fantômes à la poursuivre, ils en hantent chacune de ses pensées : de ces visages qu'elle s'imaginait, elle viendrait danser avec ! pour s'enfuir des réalités ,, celles à tuer les myocardes jusqu'à ce que viennent à pourrir ces roses qui venaient à fleurir entre ses poumons. alors n'en soit pas si idiote, Areum : car tu vois, il ne fallait pas la suivre, dans ces délires trop idylliques. quand de ces questions viendraient à fleurir les échos de tout son monde : qu'elle n'en était rien, sans ce pouvoir à fleurir au bout des doigts. malédiction à venir la prendre ,, car elle s'en adonnait entièrement aux autres.


qu'elle vient à écouter tes visions ,, regard à s'attrister ! vient finalement à s'en retourner les silhouettes pour en saisir tout doucement l'une de tes mains : sans réfléchir ,, toujours trop impulsive ! celle à en prôner les joies de vivre. — Don't say that ! qu'elle s'en fâcherait presque ! fronce les sourcils ! quand il n'y avait pas besoin d'en connaître les regards : pour pouvoir s'épanouir. quand le monde en devenait oppressant, il n'y aurait qu'à s'en confier aux étoiles ! pour libérer les destins trop cruels. alors confie-toi ! laisse les poèmes venir effleurer les tympans de celle à t'en voir comme déesse si délicate.
chante tes louanges :
émerveille-toi
de ce monde infâme.
— You should live only for you. Do what you love, even if people look at you as if they were mad. Because you know, you don't live for others... serre ses doigts, autour des tiens ! vient à t'en regarder : presque trop convaincue. car pour briller entièrement, il fallait en avoir ces éclats ! ceux à faire battre les myocardes. pourtant ô elle sait ,, qu'elle en chante les songes irréels ! quand elle-même n'en écoutait : aucun de ces conseils. — I know it's hard...I'm not saying it something easy ... but...it's  just sad...if...if you think like that... qu'elle aimerait te montrer, qu'il y en avait encore un peu d'espoir !

dans ces douceurs :
rêve d'un nouveau monde !

 
enlace les étoiles, vient à en en arracher tes ficelles. juste une fois ,, tu n'en serais plus poupée délicate, pour elle : car de tes merveilles, épouse les réalités ! fait ce que les cœurs en voulaient ! quand elle t'en murmure ses vérités ! vient à rire tout doucement sans en lâcher tes mains ,, comme pour vouloir te dire : que tu n'avais pas à te cacher, face à elle. car elle comprend ce que l'on voulait de vous ,, car elle sait : ce que cela fait ! de se tuer peu à peu. — I know ! Let's do something fun, won't you ? Let's grab a bottle and some snacks ! Then...we can hide again ! And gossip on everyone here. What do you think ?