healing bonds (kanon)

L’arcade détruite par le coup qu’il avait pris quelques instants plus tôt le lançait. Haknyeon grimaça en essuyant le sang qui commençait à obstruer sa vision et sourit en voyant son opposant à terre. Il avait été coriace, il ne pouvait pas le nier et ses côtes douloureuses pouvaient en témoigner. Mais ce fut la rage de Hak qui avait été la plus forte. Sa technique consistait à imaginer le père de Meili en face de lui et ça fonctionnait parfaitement. Il mettait alors K.O les gens qu’il combattait avec plus ou moins d’aisance. Le fait de lire dans leurs pensées étaient un plus qu’il ne pouvait pas négliger. S’il avait combattu cinq ans auparavant, il aurait fait en sorte d’être fairplay et de ne pas utiliser ses pouvoirs. Cependant, il n’était plus le Bae Haknyeon qu’il avait pu être. Il n’avait maintenant aucun scrupule à le faire, quitte à ce que ça désavantage ses adversaires. Hak n’était plus aussi gentil qu’il avait pu l’être par le passé et ça lui convenait parfaitement.

Ses yeux se mirent alors à chercher Kanon et il interpella un type. « Where is she ? » demanda-t-il sans même préciser de qui il parlait. Il n’avait pas besoin parce qu’on lui montra un coin plus loin et il s’y dirigea, un sourire aux lèvres. Il aimait bien la jeune femme et ce même si elle lui reprochait tous les combats, presque comme s’il était le seul à ramener des gens pour se battre. Haknyeon n’avait jamais compris pourquoi elle venait si elle détestait tant que ça de voir des gens se taper dessus. Est-ce que c’était sa conscience d'héroïne et son pouvoir de guérison qui la poussait à le faire ? Il ne savait pas mais ça lui plaisait de savoir qu’elle était là pour le soigner quand il en avait besoin. « Kaaaaanon ! » lança-t-il d’une voix nasillarde pour l’embêter. « Can you heal me please ? » L’ancien héro s’approcha d’elle et lui montra son arcade saignante ainsi que ses côtes sûrement fêlées. « He was tough but I won. » Haknyeon savait que la fierté qu’il éprouvait pour sa victoire agacerait Kanon et il adorait l’agacer.

et c'est les horreurs : à tuer ,,
les regards.
de ces lieux à frigorifier, froideurs à se glorifier ! effluves à envoûter les regards de quelques silhouettes contemplatrices : quand elle venait à fuir ces lieux si bruyants. et les yeux venaient à fuir les violences ,, n'être là que par pure charité : comme pour en combler, ce qui venait à en achever ses douceurs. alors juste un instant, à se pointer ici comme pour disparaître juste un peu ! se cacher dans les ombres, fuir comme pour en garder visages silencieux. elle déteste ces lieux, déteste ces corps à s'entrechoquer !

agonie :
incomprise.

alors de ses doigts si miraculeux, à effleurer les chaos permanents, viennent à s'harmoniser, dans ces noirceurs : celle qu'elle voulait devenir ! quand de sa voix, à finir par résonner ,, regard à s'en faire las, soupirer d'avance, à se douter ce qui viendrait à l'attendre. Haknyeon à en faire se tendre les épaules ! moue sur son visage, à en apercevoir les visages amochés. — What, again ? de son nez à se froncer, venir tout doucement se lever pour en approcher celui aux carmins contre les visages. — Look at you, and you're proud of that ? It's just ridiculous. à secouer la tête, s'agacer si facilement, ici.


loin de ces idées, que l'on viendrait à se faire des ces lieux perfides ! — I don't care if you won or not, the result is the same as always. qu'elle vient à râler dans son coin ! admirer les contusions ,, comme spectacle à n'en créer que cauchemar. — If you have anything else that what you're showing me, you better tell me now. à les connaître ,, à savoir, que les apparences en étaient souvent trompeuses. — Gosh, you're really just like a kid. à murmurer pour elle-même ! en préparer de quoi nettoyer les visages, quand c'en étaient toujours ces inquiétudes, à frapper.


alors de ses regards accusateurs, c'en était pourtant douceurs qu'elle viendrait employer : pour en soigner les maux de chacun ! là où les iris n'en supportaient plus ces vues abîmées. prison de fer, à se matérialiser sous ses yeux. à se faufiler, dans ces limbes sans valeur : car le monde était fait de toutes ces catastrophes. — Sit down, Mister fighter. et alors pourraient à venir rayonner de nouveau, ces visages amochés.

Le sourire que Haknyeon ne disparut pas lorsque Kanon se leva pour avancer dans sa direction. Au contraire, il s’agrandit un peu plus et il hocha même la tête, comme un enfant idiot. « Yes i’m proud, because after you take care of me. » Et dans un sens, il aimait qu’on s’occupe de lui et ce même s’il refusait de l’admettre. Il ne pensait à plus rien quand c’était le cas et ça lui convenait ainsi. Puis Kanon était d’une douceur infinie et d’une bienveillance sans faille. Quelque chose qui lui avait cruellement manqué pendant ces dernières années. Il aimait donc l’embêter parce qu’elle avait beau être agacée par son comportement, elle le soignait toujours. « Even if you don’t care, I still won. » Hak était fier et heureux de le dire et même s’il ne gagnait pas à la loyale en utilisant pas ses pouvoirs, une victoire restait une victoire.
Le jeune homme lui montra ensuite ses blessures et leva les yeux au ciel. « You complain every time I’m coming but you’re really bossy actually. » Il savait qu’il serait dans de beaux draps s’il cachait à la jeune femme une seule de ses blessures. « Don’t worry, I showed you everything. » Hak n’avait aucune autre blessure à lui montrer que celles qu’il avait déjà mentionné.

Un petit rire s’échappa de ses lèvres. « I’m maybe hurt, but I’m not deaf. And show some respect I’m older than you kid ! » Bien entendu, il ne disait pas ça méchamment. Ça ne le dérangeait pas réellement que Kanon le traite d’enfant parce que lorsqu’il venait l’embêter ainsi après un combat, c’était la réalité de la situation. Ils inversaient alors les rôles, Haknyeon devenant le plus jeune tandis que la soigneuse prenait le rôle de l’aînée.
« Really bossy… » rajouta-t-il quand elle lui ordonna presque de s’asseoir et tandis qu’il s’exécuta, il l’observa avec un petit sourire. Elle détonnait dans ces lieux. Elle ne semblait pas à sa place, petite poupée fragile qu’il avait envie de protéger. « Why are you doing this ? » finit-il par demander, ne comprenant pas les motivations de la jeune femme quant au fait de rester ici et de soigner les combattants.

sourires à venir ébahir ,, à faire rire les anges : là où personne ne viendrait à remarquer ses airs amusés. car malgré tout ,, de ces images à venir en tordre son visage, venait à rire de tes audaces les sourires d'une muse si discrète, ici. essayer d'en balayer ces fiertés ! en imposant ses quelques règles.
et tu brilles : ici
quand elle
se cache !
à vouloir en faire taire les visions, tuer les horreurs de ces lieux ! offrir de ses doigts réconforts : comme si le monde venait à lui reprocher de ne jamais assez aider. — Don't get too used to it...One day, I'll let you in a corner alone, with your prideful looks. comme pour le punir !

à ne pourtant : n'en promettre
que ces destinées heureuses.

celles où ne viendraient jamais à s'amocher trop longtemps ces figures si arrogantes. — So yes, I'm bossy, but because you're trying to show me how strong you are ! And I don't care !, quand c'était pour en finir dans ces états ! jeu ridicule ! à venir l'agacer ,, comme si tu t'en faisais malin plaisir. — So if you want respect from me, try to deserve it. I only see a kid trying to play adults game. à lui tirer la langue ! enfant si puérile. qu'elle viendrait alors à s'approcher de celui enfin assis !


oublier les colères, de ces quelques endroits détestés. venir tout doucement alléger les visages de ces rougeurs si futiles ! pour y déposer ses doigts presque trop discrètement. regard à se perdre sur ses traits, à finir par hausser les épaules : car même elle, ne savait plus pourquoi, les pas venaient à la mener jusqu'ici. — I don't know. Before, I knew someone here, so I came because I was worried. And now... âme charitable : à juste vouloir pouvoir respirer ,,  s'en sentir plus légère ! d'aider ceux à à s'écorcher les peaux ! qu'elle en souffrirait pour eux, de ne rien pouvoir faire de plus.

que d'observer :
attendre patiemment
que chacun revienne.


— Now it's I can't stand the sight of it.  I mean injuries, people hurt, all of that. I just...can't. voix à se faire si petite ,, quand les touchers venaient à s'en faire d'une douceur absolue ! elle en glisse les phalanges sur les peaux ! vient faire disparaître les ecchymoses, plaies à se refermer, comme si les songes venaient enfin à se réaliser. et juste une fois, peut-être venait-elle à penser en avoir trop dit ! entre ces murs maudits. — Everyone is here for a different reason, right ? I guess we don't really choose after all. You too. qu'elle murmure, vient glisser contre ses côtes ! comme pour en camoufler tous ces maux crées. — So stop playing with your body like that, it's not fun. And not cool.
faible sourire :
à avoir peur pour eux
pour lui.

« You won’t do that… » dit-il à demi sûr de lui sur la façon dont la jeune femme se comporterait s’il continuait de venir avec cet air condescandant et fier de ses victoires. Le laisserait-elle réellement dans un coin avec ses blessures ? Haknyeon n’en était pas sûr. Après tout, elle ne l’avait jamais fait et elle passait plus de temps à aider les gens qu’à réellement les envoyer chier. Alors, il se doutait, ou du moins, il espérait que Kanon ne le laisserait pas dans la merde si jamais il revenait avec des blessures.
De toute façon, elle râlait souvent, mais elle finissait toujours par le soigner. C’était pour cette raison qu’il continuait de se comporter de la sorte avec la jeune femme. « I don’t need to show you. I’m strong. » Il était fort, il n’avait pas besoin de se vanter, parce que c’était le cas. S’il le faisait, c’était simplement dans le but d’ennuyer la jeune femme. Sinon, il n’y avait pas de raison de le faire. Hak connaissait ses capacités et ce qu’il fallait pour gagner.

Il fut cependant trop lent pour attraper la langue de la jeune femme et leva les yeux au ciel. « Who’s the kid now ? » Parce que pour le coup, c’était Kanon qui l’était. Haknyeon lui n’avait fait que venir l’embêter après son combat pour se faire soigner et elle, elle lui tirait la langue. C’était presque mignon et Hak savait qu’il reviendrait juste pour ça. Pendant quelques instants, il n’était plus Omniscient le villain, mais simplement Haknyeon, l’humain. Sa relation avec Kanon était douce et relaxante. Pour rien au monde, il ne la changerait.

Ce fut sûrement pour cette raison qu’il lui demanda la raison de sa présence en ces lieux. Elle détonnait avec le profil des autres personnes présentes. Elle n’était pas comme eux et ça intriguait Haknyeon qui lui posait ces questions tout en se faisant soigner, le fourmillement familier parcourant son corps tandis que ses plaies et autres blessures se guérissaient. Hak fut sage le temps que Kanon s’explique et une fois que ce fut fait, il ne put s’empêcher de lever les yeux au ciel en riant. « I’m cool and it’s fun. » Seulement pour la contredire avant de reprendre, plus sérieusement. « There’s the difference between you and me, and your way of thinking. You chose to be here because of someone else first. I chose to fight for myself. » Tout d’abord pour se renforcer musculairement parlant afin de pouvoir faire face au père de Meili, mais également parce qu’il désirait devenir plus fort. « We always have the choice… You chose to stay to heal people… » Donc elle ne pouvait pas dire qu’elle n’avait pas le choix. C’était faux. On avait toujours le choix. Comme Hak était devenu un villain par choix et ce malgré les circonstances.

et tu venais à la connaître trop bien ! déjouer ses menaces : à savoir qu'elle n'en était que trop innocente pour en tuer une âme ((même des plus amères)). alors elle rigole, hausse les épaules comme pour en faire régner ces doutes inexistants ! à n'effrayer personne, Kanon, de tes allures sacrées. car malgré tes égos, elle viendrait à vouloir en panser chaque blessures.
chaque coupure :
pour ne rien
regretter.
— You never know, specially if you go on with that stupid victory of yours. qu'elle fronce du nez ! à s'en moquer de ses forces : elle à n'en voir que les résultats à scier les cieux. — I don't care if you're strong, it's not me who is here. et alors elle essaierait de t'en faire comprendre : que ce n'en était pas un jeu. à savoir, pourtant, que tu ne ferais que rabâcher ces idiots pour l'agacer un peu plus.


qu'elle s'agite ! vient à s'en faire gamine d'un instant ! laisser les vocales s'échapper de nouveau pour rire de ces idioties ! et ô, c'en était parfois agréable, de venir à jouer dans ces lieux si moroses à ses yeux. murmurer les impossibles : et elle viendrait à se dévoiler ! quand rien n'en était pourtant secret, sauf ses venues ici. trop sensible, trop charitable : à ne faire cela que pour t'en donner bonne conscience. veiller ici à ce que personne n'en porte les linceuls blancs ,, pour en détruire les vies des autres. rôle d'héroïne à bien t'aller, si les intentions en étaient pure de tout égoïsme.
et pourtant :
il n'y avait que toi
à te retenir de respirer.
— Maybe it's my own choice, yes. But it doesn't mean I like being here. comme d'un soupir, à en oublier les joies passées, venir s'enterrer dans les misères : et tout venait à virer au rouge, ici. vermeilles à effrayer, carmins à la rendre folle. elle a peur, Kanon : de ce qui peut arriver aux autres. à se moquer d'elle : n'en vivre que pour les soins à apporter. car elle ne savait faire que cela, de ses phalanges trop fragiles. — It's fine, if you think like that. To me, I just cannot leave. I can't abandon hurt people so easily. et c'était cela qui venait à te différencier des autres ! quand tu en étais bien trop aimante de ces humains, pour simplement partir.


— Anyway, it's almost done, you idiot. à glisser ses doigts sur tes côtes, venir en palper tout doucement les corps pour ne rien rater : et elle en dissimulerait sourire si léger, pour ne pas en montrer ces faiblesses d'esprits. — Does it still hurt ? voix presque tendre à ne pas faner, venir appuyer un peu partout, pour t'embêter ((vérifier !)) et c'est d'un rire léger, qu'elle en aplatirait ses mains contre tes épaules : pour se venger un peu de toi ! sans pour autant en claquer les peaux.

Dans un sens, Kanon n’avait pas tort. Il était celui qui sous ses doigts de fée se faisait soigner. S’il était si fort que cela, il ne se ferait pas toucher et donc n’aurait pas besoin qu’elle prenne soin de lui. Mais, encore une fois, Haknyeon avait le dernier mot pour tout. « I let them touch me… Like that you can take care of me. » mentionna-t-il, toujours ce sourire sur les lèvres. Ce n’était pas totalement faux. Il jouait avec eux, leur donnant l’impression qu’ils pouvaient gagner avant qu’il n’utilise réellement ses pouvoirs. « And, without me, you’ll get bored kid. » lança-t-il avec un clin d’oeil, son sourire s’agrandissant alors qu’il bomba le torse comme si c’était quelque chose dont il était fier. Et ça l’était de venir l’embêter pour ne pas la laisser seule dans cet endroit où elle n’avait clairement pas sa place.

Kanon lui avoua alors que ce n’était pas son choix de venir ici au début, qu’elle n’avait fait que suivre quelqu’un. Mais, maintenant, alors que cette personne n’était plus là, elle restait. C’était son choix et il n’y avait personne qui l’avait forcé à rester et utiliser son pouvoir sur les idiots comme Hak qui se battait, certains pour la gloire et d’autres simplement pour se défouler. Le villain faisait partie de la deuxième catégorie de personne. Il se défoulait quand il en avait besoin et c’était un jeu pour lui, ce que la jeune femme déplorait. « You should use your power for people who deserves it… Not here. » La gamine ne voulait pas laisser tomber les gens mais la plupart de ceux qui venaient là, sauf lorsque Haknyeon avait utilisé sa lecture d’esprit pour les contraindre, le faisait parce qu’ils en avaient envie. « You’ll be more useful in an hospital or something like this. » Loin de ces combats illégaux et surtout plus proche de Athena et de leur protection. Protection qui avait fait défaut à Haknyeon mais qui aidait certaines personnes.

« Idiot ? » Hak leva un sourcil en l’entendant et pinça le bout de son nez de ses doigts comme pour l’attraper et lui dire qu’il l’avait “volé”. « I already told you to respect me, brat. » Il se mit à rire et se recroquevilla sur lui-même, gémissant de douleur quand elle claqua ses mains sur ses épaules. « God ! It hurts… » Mensonge qui traversa la barrière de ses lèvres tandis qu’il relevait son regard vers la jeune femme, une moue moqueuse sur son visage. « I hope you know that you have to heal us, not hurt us more than we are… » Nouveau clin d’oeil qu’il lui adressa avant de se mettre à rire, tout en se tenant les côtes. Ça lui faisait du bien de retrouver son insouciance perdue.

que tu en amuses les sens : vient à en tirer toutes ses expressions ! celles à te détester un moment, d'autres à venir rire de tes bêtises. palettes à exploser ! tu en étais pourtant égo à en colorer de noir ses quelques regards. car ô elle n'avait pas besoin de savoir, ce qu'il venait à se tramer dans ta tête : pour en apprécier ces bagarres incessantes. et d'un fond de Stop it for tonight, understood ? No more showing off to the others, and not on the ring., qu'elle en retient un sourire : c'est vrai, qu'ici, il en était l'un des seuls visages ! qu'elle appréciait apercevoir. sans pour autant ne rien approuver, de ses allures puériles. — Here you go again, you never shush it right ? qu'elle en vient presque à rire ! infernal étais-tu : à venir t'observer faire scènes si ridicules. quand les solitudes n'en étaient jamais réelles, à le croiser ici.
vient s'en reposer :
ses airs toujours
trop tragiques.
à rire malgré tout, car tu en es toujours si doux, avec elle. alors elle en trouve réconfort ! vient à s'ouvrir tout doucement : dévoile les origines, de ces présences miraculées. et juste un peu, ça tord la poitrine ! vient à l'attrister ,, quand ses visions en étaient bien trop aimantes. — Don't think like that...Everyone deserves it. It's not because you're all doing...that stuff, that you don't have the right to be healed, or to be left in pain... à se tromper sans doute : qu'elle en sauve tout le monde, quand personne ne viendrait la sauver elle. mais à ses yeux ,, tous venaient à en mériter assistance ! qu'importe les déchéances à s'accrocher à leurs âmes. — And I'm already working at hospitals... moue fragile.

elle déchante :
veut tout oublier !


à cligner des yeux ! nez pincé, à le regarder en faire tour de passe-passe d'autrefois : à le juger un instant, retient ces sourires amusés, avant de soupirer d'un rire trop évident. — Pff ! And you want my respect after...what...stealing my nose ? à le regarder en faire ces comédies, hausser un sourcil, pouffe à nouveau de quelques rictus : qu'elle en vient à caresser tout doucement les endroits faussement frappés ! pour en étouffer les douleurs factices. — Now, now...Does it still hurt ? You're a big guy, no ? qu'elle vient à le charrier ! rentrer dans ces jeux : faire comme si tout allait bien ! pour en retrouver les éclats. — Stop it for tonight, understood ? No more showing off to the others, and not on the ring. à en ordonner presque les arrêts ! juste de quelques heures, d'une nuit : pour ne pas avoir à le retrouver entre ses doigts si tôt. veiller à sa façon sur lui : quand ici ,, personne d'autre n'en offrirait ces délicatesses ! s'en faire amie de quelques heures, dans ces limbes à révulser les regards.
et pourtant : elle parvenait à rire !
s'amuser ! malgré
ces chaos.

« Nah… Never ! You’ll be pretty bored if I did. » Sourire qui fleurit sur ses lèvres tandis que son regard se faisait malicieux. Il était vrai que s’il ne venait pas l’embêter, les autres combattants ne la divertissaient pas. Ils venaient simplement se faire soigner et c’était tout. Du moins, c’était ce qu’il avait pu voir du coin de l'œil. Haknyeon faisait toujours en sorte d’avoir la jeune femme dans son champ de vision quand un autre venait se faire soigner, pour avoir le temps de réagir si jamais quelque chose tournait mal. Jusqu’à présent, ce n’était jamais arrivé, mais on ne savait jamais. Il était hors de question que Kanon soit blessée ou traumatisée par eux, juste parce que certains ne savaient pas se tenir.
De toute manière, Hak ne pensait pas qu’ils méritaient d’être soignés. Du moins, pas aussi rapidement avec les pouvoirs de la jeune femme. Elle serait bien plus utile dans un hôpital où les héros venaient pour des blessures dûes à des missions, pas pour des combats illégaux. « You’re too kind for this world Kanon… » lança-t-il après quelques instants dans le silence. Elle n’était pas adaptée à la cruauté du monde et Hak doutait qu’elle ait été confrontée à quelque chose d’horrible. Ce n’était pas dans la nature humaine de rester de marbre lorsque quelque chose d’affreux leur arrivait. Alors, il ne pensait réellement pas que la jeune femme avait eu une vie compliquée.

« I didn’t steal it… I pinched it… Slight difference. » Mais la différence était quand même là. Mais c’était enfantin dans les deux cas, Haknyeon en avait conscience. Comme le fait de dire qu’il avait mal là où elle lui avait tapé les épaules alors qu’il n’avait ressenti qu’une simple gêne. Mais c’était drôle de la voir le soigner alors qu’il n’y avait rien. « I’m a big guy yes ! But you’re hurt me… » répondit-il toujours un sourire malicieux sur les lèvres avant de le perdre en haussant les épaules. « Normally I don’t have any fight left. I’ll just collect the money. » Des paris et après il redistribuerait aux combattants mais également à la jeune femme. « I’ll leave you a few wons as well. » Parce qu’il n’y avait pas de raison qu’elle reparte sans rien.
« And after that, you should go back. » Il n’y avait pas de nécessité pour la jeune femme de rester avec eux. Elle pouvait rentrer chez elle. « Do you have someone to take you home ? » Si ce n’était pas le cas, il le ferait avec plaisir.

et les sourires :
à remplacer
les colères !
vient à fleurir de quelques douceurs, celui à en animer les présences moroses : quand ici elle venait à se cacher, faire oublier au monde ,, que les corps n'en étaient pas que simples jouets du diable. qu'elle se délecte des humours, vient en apprécier ces quelques douceurs dissimulées : quand elle n'en est qu'innocence, à vouloir choyer les vies. — Well...You're kinda right? It would be boring, without you. vient à complimenter ces allures ! rire tout doucement ,, quand ici il en était sûrement seul à en animer les figures de ces quelques joies passagères. vient à se redresser tout doucement de ses épaules ,, toujours droite, toujours belle ! quand les mots viennent à effleurer ses tympans si fragiles.


— Maybe. But isn' t it quite ironic ? To be this kind, in such a tough world. I guess people just forgot how to be kind. de ses commissures si mélancoliques, viendraient à s'en animer de quelques émotions parfaites ! les visages toujours trop délicats. mais qu'importe : car ici, ne venait qu'à exploser les colères ! quand les yeux en avaient déjà vu immondices : que personne ne pourrait comprendre, quand les doigts venaient à soigner les maux : de ceux à crever sur les terrains. alors les yeux habitués, viendraient à en immoler les visions ! s'en faire d'une douceur rare : comme pour ne pas en devenir plus folle.
oublie tout :
pour toujours
renaître.
qu'elle touche son nez du bout des doigts, vient à rire de quelques éclats ! fugaces humours, dans ces noirceurs si médiocres. qu'elle roule faussement des yeux, vient à jouer de ces quelques comédies pour en apaiser les douleurs imaginées : et juste un peu, tout en sembler si paisible, dans ces tavernes maudites. — Then I'm sorry, Mister Haknyeon. qu'elle rayonne ! rentre dans ces jeux un peu idiots, quand elle vient finalement à cligner tout doucement des yeux ! fronce des sourcils timidement avant d'en secouer les mains ! — No no no ! I don't need any money, keep it for you. qu'elle murmure ! vient à soupirer de nouveau : comme d'une évidence symbolique. — Its your present, for being kind with me. So take it or I'll be angry... comme d'une fausse menace ! celle à ne pas savoir s'énerver réellement, contre lui.


là où tout était si gris, comme silhouette oubliée de ces entrailles si fastidieuses. — Hmm...No, nobody. But that's okay I can take a taxi, or just walk, it won't be bad qu'elle en relève les corps ! vient à se recoiffer passivement ,, avant de s'en tourner de nouveau vers lui. — Why, you're worried ? qu'elle s'amuse ! vient à sourire trop innocemment ,, quand elle ne pourrait pas nier : que cela venait à en toucher celle qu'elle était. — Or are you going to offer me a ride home ? That would be quite gentlemen of you. et peut-être que juste un peu : elle aurait aimé en faire plus ,, pour que les nuits en soient appréciables.
que le monde en soit plus beau :
malgré les tempêtes
à ravager les quotidiens.