wanna eat together ? ((ft. Ari))

wanna eat together ?
@Sin Ari

Kanon's home March 2024 outfit

rossignol :
à chanter !

là ,, où personne ne pourrait l'entendre. il s'envole, comme pour se réfugier, il fuit, comme pour tout éviter. de ses airs si naïfs, à se jouer du monde : qui n'en voyait pas les regards vipères. alors il se faufile, sourit aux foules de ses perchoirs enchaînés ! à s'en montrer comme roi du monde ,, quand les ailes venaient à perdre ses plumes si colorées.

et Kanon !
ici ,, à respirer :
les poisons.

de ceux qui n'en voulaient que perturber les tranquillités, à se recroqueviller dans cet appartement où les chaleurs venaient à manquer. de ses couvertures toujours trop délicates, de ces oreillers aux couleurs taupes à venir contraster les blancheurs de ces meubles blancs et crèmes. tout en était épuré, chez toi. sauf ce coeur ! à s'affoler de simples regards trop précieux. alors elle sourit ! quand loin des artifices extérieurs, elle venait à profiter des seuls instants où elle pouvait en être elle-même. déesses qui en avaient prévenue celle à en devenir une également : que pour en atteindre ces piédestaux, les montées allaient en être trop complexes.

sourit : dit leur bonjour.
comme une simple poupée.
au caractère immortel.

chaussures attrapées, à venir passer ses doigts dans ses cheveux soyeux, elle en ouvrit sa porte : comme simple envie d'aller faire quelques courses de dernières minutes ! quand les yeux à se poser sur cette silhouette sur son pallier, elle fronça des sourcils : furie à en devenir. — Mais qui êtes vous ? Que faites vous ici ? Qui est donc ce visage que je ne reconnais point ? comme d'un acte ! à réecrire ! à se moquer : de celui qui venait à apparaître et disparaître seulement quand cela lui chantait.

quand elle voulait ,,
elle aussi :
en partager AFFECTIONS,,
à sa seule réelle famille.

— Sin Ari, si tu oses t'enfuir je te préviens je te cours après. d'un ton presque autoritaire ! à ne pas être méchante pourtant, elle s'approcha, de ses airs agacés, à venir remuer ses doigts comme pour tenter de s'en montrer plus grande qu'elle ne l'était. — Et t'étais où ? T'en fais toujours qu'à ta tête ! Qu'est-ce que tu fais là hein ? Tu te pointes vraiment que quand ça t'arrange. bras à se croiser, moue à se former contre son visage de poupon, c'est pourtant son corps qui viendrait à se décaler ! comme pour l'inviter subtilement à rester. car malgré tout, elle en était heureuse, Kanon : d'en voir son visage.

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@ono kanon

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fruits et légumes dans un petit sac, une bouteille en verre remplie de lait, on se pouvait se demander ce qu’ari faisait dehors, capuche sur les cheveux, masque sur le visage. à croire que c’était un voleur, à s'abaisser doucement, à essayer de faire aucun bruit lorsqu’il se retrouvait devant la porte de sa grande soeur, à en vouloir déposer ses cadeaux sans se faire voir. pourquoi ? pour quoi d’ailleurs ?

il était probablement juste idiot. juste. idiot.

porte qui s'entrouvre alors qu’il se trouvait par terre à faire ce qu’il avait à faire. léger sursaut lorsqu’il entendait la voix de kanon, la gêne. à en venir relever les yeux pour la regarder, heureusement que son masque cachait son air d’idiot. mains mises en l’air, à rejoindre kanon dans son petit jeu car il fallait se l’avouer, kanon, ari la suivrait jusqu’en enfer mais ça, ô, il ne le dira jamais de vive voix.  — ce n’est pas ce que vous croyez ! je.. suis un voleur ! ma spécialité c’est que je suis aussi un.. ninja. pfiou, disparition ! à lui tourner le dos, fuir, c’était le bon moment, non ? il ne voulait pas réellement la voir, à ne pas vouloir la déranger, elle qui était occupée avec athena et.. tout ça. — ono kanon ! je pensais que t’étais pas là, c’est pour ça que je me suis pointé. je dérange c’est ça ? prend le sac et rentre, zou, je veux pas te voir en fait. la peur de déranger était encore un peu présente, ils avaient assez joué, non ? ils pouvaient retourner à leur train-train quotidien, c'est-à-dire, se voir de loin. c'était parfait pour le daron, c'était sûrement parfait pour kanon aussi.

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@Sin Ari

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et les sourires :
à se retenir !
pupilles :
à scintiller.
c'est que peut-être venait-elle à lui en vouloir : à celui à se pointer comme si les présences étaient à fuir. quand d'un frère ,, elle aussi voulait pouvoir en partager moments sacrés : sans pour autant le lui dire. car ici, à enterrer les souvenirs, venir éclater les familles comme si rien ne comptait réellement aux yeux de ceux qui les avaient élevés, ils en étaient pourtant trois : à devoir survivre ! là où on avait voulu faire d'eux de simples figurants trop animés.

et Ari ,, tu sais : elle aurait aimé
que tout soit différent.

à l'attraper en plein délit : de vouloir lui tourner le dos pour partir loin de ces présents qu'il venait à lui offrir. — Tu sais ce que je leur fais, aux vrais voleurs ? qu'elle plissa du nez, à le fixer presque amusée finalement ! quand elle ne pouvait pas en menacer ceux : toujours plus puissants qu'elle.  — Reste là jeune homme. Le ninja doit savoir rester à sa place devant ma porte. sourire plus léger, à venir attraper du bout de ses le col du jeune homme comme pour ne pas le laisser disparaître. pas encore.

— Tu viens chez moi, laisse tes petits sacs et te barre comme un voleur ? T'es mon frère ou un de mes coups d'un soir qui se barre en cachette ? à soupirer, car agacée : elle aurait aimé ! pouvoir simplement l'accueillir comme s'il en était chez lui. car Ari, tu l'étais, ici, chez toi.  — Rentre. Tu déranges quand t'es sur le pallier, pas quand t'es à l'intérieur. Moi j'veux te voir. honnêteté brutale ! à venir finalement scintiller : de ses sourires trop sincères.  — Quitte à me filer des sacs, autant que tu me montres toi même ce que c'est, non ? qu'elle finit par le lâcher ! ouvrir un peu plus la porte, comme pour lui faire signe du bras de rentrer.
d'un cocon ,,
qu'il voulait éviter :
comme morose.

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@ono kanon

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difficile,
c’était difficile de calmer les pensées d’ari, lui qui aimait sa famille plus que tout, lui qui leur donnerait tout tout en pensant que lui, seul, n’était pas suffisant pour eux. léger sourire idiot qui s’était formé sur son visage, tout donner à kanon, il le ferait avec plaisir, à s’en demander qui était l’aîné des deux parfois alors que l’enfant de la famille, c’était clairement ari. et s’il était un idiot heureux, tout changea en quelques instant.

à en reprendre son attitude violente, il ne voulait pas lui faire de la peine, à ça non, jamais. mais il ne voulait pas lui prendre de son temps, temps si précieux, bien trop précieux. elle avait mieux à faire, elle, elle avait une vie, un travail, des gens à qui elle comptait énormément. et il aurait dû se taire, juste accepter de rentrer, quelques minutes, rapidement mais non, ce n’était pas ari ça. ari n’était pas le gentil et adorable retraité qu’il aimait prétendre être. à essayer tout de même de dériver la discussion, ne pas parler de lui, c’était bien aussi, non ? — c’est comme ça que tu parles à tes coups d’un soir ? putain, j’aimerai pas l’être. je savais que je dérangeais, pas la peine de le redire. et me voir ? tu me vois pas assez là ? à en venir retirer sa casquette et son masque, là, l à, elle devait bien le voir, sous toutes les coutures, lui et son visage sans réelle expression, lui dans son entièreté, masque de comédie retiré. jouer, soudainement, il n’en avait plus envie, p l u s envie du tout.

et pourtant,
pourtant, il la suivait tout de même, restant dans l’entrée, il n’irait pas plus loin. à prendre un air sarcastique, si kanon voulait savoir le contenu du sac, il lui dira et prendra la fuite directement après. — oranges, fraises, carottes, pommes de terre, lait de chèvre. c’est bon, je t’ai montré tout ce qu’il y avait. juste pourquoi tu veux que je rentre ? je t’ai manqué c’est ça ? à vouloir cacher que dans le fond, c’était à lui qu’elle avait manqué. lui qui aimait réellement être auprès de sa famille.

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@Sin Ari

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et dans les esprits, à venir valdinguer : le monde venait à devenir fou ! peut-être n'avait-elle pas été assez attentive , à ce que venait se passer autour d'elle. se perdre dans les mirages, chaos à toujours résonner, peut-être que rien ne tournerait jamais rond : quand pourtant elle aurait aimé avoir une vraie famille ! un peu différente, toujours unies : pas aussi brisée. quand elle viendrait à s'énerver, si Ari ne faisait pas d'effort pour communiquer : à trouver cela mignon, elle, qu'il en fasse aller-retours pour en offrir simples sacs, quand elle préférerait pourtant en partager moment à deux.
là ,,
où tout :
semblait compliqué.
à l'inviter : là où il en était toujours le bienvenue. à jouer de ses arrogances, pour l'énerver un peu plus. — Heureusement pour toi alors que t'es juste mon insupportable frère. qu'elle roula finalement des yeux, avant de le fixer, les bras croisés : comédie à ne pas réellement la faire rire, quand elle l'en trouvait particulièrement agaçant, aujourd'hui. — Non pas assez faut croire, j'avais oublié. à venir lui ébouriffer les cheveux comme une enfant, pour finir par s'enfuir dans son appartement : elle s'engouffrerait dans ces lieux si emblématique ! à vouloir croire, qu'il ne partira pas.

— Purée mais dans cette famille y'en a pas un seul un peu mignon ? Pour la peine t'as qu'à tout poser là bas. à pointer du doigt sa cuisine, le remuer en cercle : comme si elle venait finalement à en donner ordre innocent. — Et oui. Tu m'as manqué. Et alors ? qu'elle se retourna finalement ! à le fixa un instant avant de sourire presque fière d'elle. — Tu cuisines ? Je vais tout faire cramer de ce que t'as rapporté sinon. comme pour l'obliger à rester juste un peu : un instant, quelques minutes ! sans avoir à la fuir plus. car elle, elle était sincère ! et alors elle viendrait à l'embêter un peu plus ! le forcer à ne pas prendre ses jambes à son cou :  et alors, elle viendrait à rayonner un peu plus ! comme pour en rattraper tout ce temps perdu.
là : à s'éviter !
catastrophe ,,
permanente.

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@ono kanon

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égo,
égo mal placé qu’ari avait acquis depuis quelque temps. ô, qu’est-ce qu’il en était devenu exécrable. à vouloir fuir loin de kanon, parce qu’il méritait pas de son temps, parce qu’elle méritait mieux. ô lui qui voulait juste déposer son cadeau et fuir comme si de rien n’était, main prise dans le sac, égo qui était bien plus fort qu’il osait le penser. à toujours fuir sa famille le plus possible et ce depuis quatre longues années, honte, il pensait réellement qu’ils en avaient en le voyant. et un léger soupir sortait de ses lèvres kanon, ô qu’est-ce qu’il en était faible pour elle, faible pour sa grande sœur qu’il aimait temps. ô, qu’est-ce qu’il donnerait juste pour voir un éternel sourire sur son visage et pourtant, pourtant, il était là à vouloir prendre la fuite. — t’abuses trop kanon. arrête de me traiter comme un enfant, pourquoi t’ébourriffe mes.. hey reviens. à en venir à rougir légèrement tout en remettant ses cheveux en place. chier. kanon le faisait chier.

il entra alors dans l’appartement de kanon, juste pour quelques minutes, quinze minutes à tout casser, pas plus pas.. plus. parce qu’il devait cuisiner en plus ? à en être réellement saoulé mais ce n’est pas pour autant qu’il n’allait pas se mettre aux fourneaux. à tout faire pour lui faire plaisir, à tout faire pour lui donner un peu de bonheur pour aujourd’hui. tablier enfilé, cheveux attachés en arrière, assez pour ne rien avoir dans les cheveux. — t’as des oeufs ? j’en ai pas, je peux pas élever des poules. je vais te faire une omelette, ça te va ? en vrai je m’en fiche si ça te va pas. je te fais même une omurice. t’as intérêt à tout manger sinon je me casse. peut-être qu’il était un peu trop dur avec kanon, peut-être qu’il devait juste être le petit frère adorable qu’il était pour lui faire plaisir mais non, il avait dit qu’il ne restait pas longtemps, il partira directement après que kanon ait fini son déjeuner.

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@Sin Ari

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Ari : à t'en voir comme enfant en permanence ! gamin qu'elle venait à embêter, choyer, de ses affections presque trop envahissantes, comme pour en combler ces vides ! te montrer : que tu n'étais pas seul. car peut-être n'en trouvait-elle que réelles douceurs, aux côtés de celui à la fuir ! à rire, de ses réactions ,, venir s'amuse : de le voir bouder, de ses doigts à en avoir recoiffé sa figure.
partager les instants :
comme mélodies
redondantes !
de ces éclats de voix, à résonner dans son appartement, regarder la silhouette du plus jeune prendre part à ces lieux si solitaires. elle aurait aimé le garder là ! quand elle savait, qu'elle ne pouvait en imposer les prisons de cristal, à celui qui lui faisait charité de sa venue si soudaine. alors excuse à nouveau trouvée ,, d'une cuisine qui lui était grande ouverte, elle le regarda prendre place, rire à s'envoler de nouveau ! sous ces victoires qu'elle venait à enchaîner. car tu lui avais manqué, Ari.

alors elle trottine ! pour venir t'aider ! vient à t'écouter, chercher ce que tu venais à lui demander ! de tes allures à se vouloir rebelles. — J'ai tout ce qu'il faut, les oeufs : et l'appétit ! alors je compte bien touuuuuut manger ! Surtout pour une omurice ! Monsieur grognon ! à ne pas lui en tenir rigueur, se moquer des quelques mots durs : car de sa présence, il venait à prouver bien plus, que ce qu'il ne le voudrait sûrement. alors à glisser les œufs sur le plan de travail, préparer quelques boissons sucrées, elle prit finalement place juste en face de lui pour l'observer, à s'installa sur l'un de ces sièges hauts : comme spectacle, qu'elle ne voudrait aucunement rater. — Et si je t'engageais comme cuisinier ? Tu viendrais plus souvent ? innocence de quelques mots, visage à prendre place au creux de ses paumes ! comme créature à en observer tous ses faits et gestes.

à vouloir graver ton visage : de ces temps si rapides.

— Tu manges avec moi, hein ? à balancer ses pieds dans les airs ! tester les limites : de celui à toujours vouloir la fuir. — D'ailleurs, je peux savoir pourquoi ça t'embête autant de rester ici ? Je suis ennuyeuse, mais au point de détaler à chaque fois que je m'approche... et d'une moue factice, à simplement vouloir un jeu. elle était curieuse ! sans doute un peu trop : toujours, quand il s'agissait de ses frères.

alors juste encore un peu
Ari : reste ,,
quelques minutes
de plus.

à t'en montrer
tendresses
immaculées !/

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@ono kanon

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peur,
il fallait se l’avouer,
ari avait peur la plupart du temps.

peur de perdre kanon,
peur de perdre sa famille,
peur de se perdre lui-même.

pouvoir qui n’était qu’une malédiction,ô lui qui a dû sauver le monde plusieurs fois, lui qui doit garder tous ses traumatismes pour lui, lui qu’on prend pour un menteur, lui qui ment à athéna pour ne pas leur donner accès à un trop grand pouvoir.

ô, à toujours vouloir fuir quand tout devenait sérieux, car même ça, il n’aimait pas. et aujourd’hui encore, il aurait aimé fuir kanon, la fuir pour toujours juste pour s’en vouloir plus. toujours plus. qu’est-ce qu’il était finalement sans sa grande sœur ?

à en jouer l’enfant fort,
à tout garder pour lui,
alors que dans le fond, il était faible.

f a i b l e.

à en parler froidement à kanon, à se rebeller, laisse moi partir.

—  kanon, je deviendrai jamais ton cuisinier personnel, père peut t’en prendre un qui est meilleur que moi. un vrai chef. et je suis pas censé venir souvent, faut que tu t’y habitues, à un moment, je pourrai plus venir.

pessimiste ? ari ne l’était pas, non, il était juste terre à terre, trop, t r o p terre à terre. il savait très bien la fin de sa propre histoire, il n’y avait pas un seul futur à sa portée qui finirait en good ending, a u c u n. quant tout ceux à sa portée l’éloignait toujours de ses personnes favorites. telle était sa destinée, assume ari, assume que t’es mal parti, assume que ta vie se fera en enfer.

—  j’ai pas faim, je vais juste te regarder manger, t’inquiètes pas, je partirai après que tu aies fini. kanon..

ô, kanon n’était pas le problème, elle n’en sera jamais un. elle qui était le tout d’ari, elle qui était la personne la plus proche de lui dans le cercle familial. est-ce qu’elle pourrait comprendre que le problème était ari ? ari et son cerveau, ari et athéna, ari et son pouvoir ?

—  c’est pour te protéger. je te trouve pas ennuyante, bien au contraire, et tu le sais, non ? que je ferai tout pour te voir sourire, pour te rendre heureuse mais kanon, soit réaliste, je peux pas toujours être là. je serai bientôt plus là.

légères émotions tristes qui commençaient à apparaître sur le visage d’ari, ô, il donnerait tout pour que le temps s’arrête ici, pour quelques instants, juste quelques instants.

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@Sin Ari

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sonnent les glas :
à effrayer
ses douceurs !
quand elle le regarde, vient à en voir famille à se détruire : et Ari, pourquoi venais-tu à la fuir ? elle n'en comprend pas les maux, n'en comprend rien de ces violentes froideurs. et ça la tue, l'immole de ces feux sans vie ! quand elle en cherche les sourires, et n'en trouve que paroles à venir à arracher les cœurs.

soupir à s'envoler
regard
à se froisser !

dévisage celui à s'en montrer si loin : car au final, tu n'étais pas réellement là, Ari. quand elle venait à en chérir les figures plus que tout ! à n'avoir que cette impression de déranger en permanence ceux à ne pas en voir le monde comme elle venait à le voir.  des sourires à alors fondre, des regards à finir par s'éteindre ,, elle en baisserai les yeux ! viendrait à se mettre à bouder : comme si tu en avais prononcé mots interdits, Ari. — Alors j'ai pas faim non plus. qu'elle se redresse ! finit par s'éloigner de la cuisine pour ne plus à avoir à en tendre ces humeurs à tuer les siennes.

et qu'en seraient
tes prochains mots ?
quand tu venais à dire
que tu partirais.

— Tu protèges personne, t'es juste ridicule, Ari. Puis comment ça, tu seras bientôt plus là ? de ses bras à se croiser : le regard bien trop triste. et peut-être que viendraient finalement à larmoyer les yeux ! ceux à s'émouvoir de tout : car ça fait mal, quand venaient frapper les réalités aux tympans des plus fragiles. — C'est bon, j'ai compris. Alors part maintenant. Je m'en fiche de ta nourriture, et si tu veux absolument partir alors vas y. Je te retiens pas. J'en ai marre. qu'elle en essuie ses yeux ! vient à finir par tout rejeter : car elle n'en supporte plus, ces promesses à n'en n'être façades ! quand elle sait se protéger seule : quand elle n'en avait besoin que d'une famille ! pour ne plus avoir à s'enfuir loin des affections.

égoïste : à vouloir tout avoir.
de ces joies ,, à ces bonheurs.

s'installe les fins corps, sur son canapé, vient à se recroqueviller ! pour ne plus rien attendre de ceux à l'entourer : et elle ne comprend pas ! refuse de comprendre. alors si tu devais fuir, c'est elle qui viendrait à le faire. qu'elle aimerait ne plus à vous aimer : car elle ne veut pas que tu disparaisses, Ari ! alors elle en fermerait les yeux : pour ne rien voir, de tes fuites.