muse & waze ❀

éclate en rires, hoche la tête d'un sérieux si faux qu'il pourrait en briser les étoiles. — C'est vrai c'est vrai...T'as raison....L'année prochaîne alors ! quand pourtant les énergies en étaient insatiables : court pour essayer d'en gagner un peu de temps ,, à ne pas réellement réussir quand tu en étais bien trop agile ! par rapport à celle à n'en connaître que les règnes doucereux. — C'est pas ju- ! quand à te voir la dépasser : touche finalement les nuages de ses pieds à voltiger !
enfant en éclats :
à rire et sourire
émerveillée.
qu'elle s'accroche à tes épaules à venir refléter le soleil : chaleur à se dégager de ta peau comme pour en sentir un peu plus les étés magnifiques. — Pff....! C'est nul. Mais je t'accorde la victoire. de sa fausse moue résignée, qu'elle t'en tapote le dos presque amusée ; tu venais à en faire resplendir les journées de ces énergies confiées. ô or brun à couler dans le creux de ton regard, auquel elle voudrait en confier tous les secrets du monde. car tu en étais été à toi-même, Jaehwan. quand tu murmures à ses tympans symphonies : joues à s'empourprer légèrement avant d'en sourire plus radieusement encore. — Tu es bien trop aimable, Monsieur Yi ! et peut-être que dans une autre dimension, les résonnances en auraient été parfaites.

quand tu en étais déjà :
amitié bien trop chère !
à ses doigts si fragiles.

qu'elle en retrouve le sol, finir par se changer rapidement : tire les tissus, retrouve quelques dignités sublimes. attache ses cheveux humides pour en délivrer la nuque avant de te rejoindre de ses parfums marins aux saveurs salines. et toi, océan accroché à la peau, c'était d'une douceur sans fin. — C'est parti alors ! se met finalement dans ton dos pour en pousser d'une délicatesse sans fin ce dernier et essayer de te faire avancer ! simple jeu perpétuel qu'elle voulait partager ,, excitation légère à n'en vouloir qu'être amusante, aujourd'hui. qu'elle en abandonne finalement son plan pour trottiner jusqu'au véhicule, t'observe un instant avant de finir par s'installer sans réellement t'attendre. car le temps comptait : et les journées venaient à passer trop vite. — C'est nul qu'on doive rentrer...Mais au moins on peut le faire de manière amusante, non ?