rebel army ((ft. Mao))

et pour se découvrir :
t'en tendre les doigts
pour effleurer les soleils !
car sans le vouloir, tu brillais, Mao ! sans ne jamais t'en rendre compte ,, t'abaisser à ces simples lettres qui n'en désignait rien de ta personne. alors juste une fois, viens avec elle tenter d'en attraper les étoiles ! rire contre vos malheurs, pour en devenir vous aussi, un peu vivantes. quand Kanon, à regretter tous les passés : ceux à vous avoir ri au nez ! ceux à t'en avoir donné ces impressions, qu'elle venait à se moquer de tout ce qui t'était arrivé.


alors à essayer de tout mouvoir ! d'en emporter vos maux loin de ces existences si fébriles ! de ses tympans, à pourtant venir tout doucement fleurir de tes mots : essayer d'en comprendre, Mao ! pourquoi de tes douceurs, les mains ne s'en étaient pas liées depuis le début ? —Je vois ça ! Que tu es sincère ! qu'elle rigole tout doucement, rayonne de joie : à toujours avoir voulu ,, au fond, venir te voir t'épanouir bien plus. alors elle en attrape les phalanges ! vient à vouloir t'en partager toutes ces lueurs à exploser : car elle en est si heureuse ! presque touchée ,, à vouloir t'en apporter toutes ses affections ((amitiés nouvelles)). et proposition faite, sourire à ne plus en quitter les lippes !

elle en saisirait :
tes mains
si délicates.

— Faisons ça
! Fuyons ! à te tirer tout doucement, Mao, ne pas en éloigner son regard de toi. tout oublier, pour tout recommencer. tout réécrire ! de ces contes merveilleux. — On pourrait commencer ... Par un Purikura ! Pour marquer la journée ! qu'elle voudrait en garder vos visages : comme souvenirs d'un instant. — Après on pourrait faire un peu de shopping ! Pour s'acheter...JE SAIS ! Des petits bracelets assortis ! qu'elle s'extasie ! essaie d'en imaginer : ce que venait à faire amies entre elles ,, pour ne pas te décevoir. et alors peut-être que les nuits pourraient en être interminables ! à vouloir t'en montrer ces éclats que tu possédais, comme pour briller à ton tour, Mao. car elle t'admire, de tes mains à en créer : réels mirages ! — Eeeet ... finir sur un karaoke...? s'étonne à réfléchir, de ses pas à marcher à reculons sans t'en lâcher !
cligner des yeux :
t'admirer
avant de rougir.
s'empourprer sous ses bêtises, qu'elle essaie d'en détourner le regard : pour ne plus en paraître aussi niaise. — D-Désolée...! O-On peut faire n'importe quoi... de ces engouements, à parler bien trop, légère moue à se faire ! et elle avait peur, que tu viennes à l'en trouver assourdissante : celle à en avoir toujours souhaité, ces réconciliations si merveilleuses.

Amitié naissance, et le coeur de Mao se gonfle, d'une douceur qu'elle avait pourtant redouté auprès de Kanon - de ceux qui s'élèvent dans les sphères d'Athena, quand elle n'a rien qu'une perle fragile, inutile - gamine surveillée pour pas qu'elle sombre comme son père, dans des abîmes qu'ils redoutent.
Dans sa tête, y'a trop de parasites, mais son coeur prend le dessus, quand c'est dans ses yeux qu'elle trouve une sorte de réconfort, Kanon est douce, tendre avec elle. Et elle sursaute ! Quand les mains de Kanon frôlent celles de Mao, pour l'attirer loin des foules, loin des soirées, des lumières et du bruit, les joues rougies, elle laisse son masque tomber - celle d'un caractère faux, Mao loin d'être la peste qu'elle a tant prétendu être !
Je... J'ai jamais fait tout ça alors...D 'accord. Resserrant sa main, plus fort, contre ses doigts, alors qu'elle sent que Kanon a peur, hésite un peu, probablement incertaine que Mao accepte ce qu'elle propose, ou qu'elle l'accepte. Elle fait un pas vers elle, plante de nouveau son regard dans le sien ! Montre moi! Tout ça, je veux m'amuser avec toi. Montre moi comment tu aimes t'amuser, je suis sûre que c'est super! Laissant l'optimisme l'emporter, ouvrant petit à petit son coeur envers la belle.

Alors peut-être qu'entre les nymphes,
Un lien plus fort que tout pourra naître.
Kanon, refuge inespéré.