(NSFW) voices silently sing ((MAO))

>éblouit les regards :
vient à t'observer !
cacher les regards.
quand le noir venait à s'éteindre sous tes venues ! portent les archanges vos supplices miraculés, quand le monde fane et que vous venez à fleurir. alors les yeux viennent à briller ,, de ces douceurs à marquer les mots ! vient à tout doucement s'éveiller celui à ne t'en voir que comme muse : celle qu'il peindrait, même quand les étoiles viendraient à disparaître.


fissures à se combler, vient à en fleurir quelques fleurs champêtres ! quand c'est lui qui venait à cramer du bout de ses pommettes. s'en colorent les visages pour ne pas en croiser ton regard : là à balayer trop furtivement ses mèches. — Something sweat....not me ..... explose sa poitrine ! tu viens à le faire déchanter de tes quelques paroles Mao : quand tu sais, il n'en n'était pas aussi courageux ! encore moins fort pour en cacher les timides expressions. qu'il vient alors activer ses mains, pianote dans les cuisines pour en développer alchimies dans les sucres demandés ! tête à se secouer ,, figure à s'enterrer dans ses rougeurs : et heureusement que le dos s'en détournait de tes figures magnifiques.
car tu en es plus belle
encore !  
que ce que tu
lui accordais.
vient à reprendre ses esprits ! quand tes bras à l'enlacer, il en glisserait le bout de ses phalanges contre les tiennes, caresse les doigts d'une main ! pour ne pas pas te laisser partir. — Stop saying that...I-It's...embarrassing... qu'il ne venait pas à le dire méchamment ! compliments et mots délicats qu'il ne savait pas avaler ,, il n'avait qu'à s'habituer un peu : à tes poèmes merveilles ! qui venaient à secouer les poumons ! quand il en devenait si sensible, à chacune de tes sonorités. — I mean...I ... love you too...But no need of compliments... à serrer tout doucement sa paume contre ton bras ! pancakes à frémir ,, pour faire revivre les esprits. — ...because you're...prettier... qu'il murmure sous les baisers ! frissonne le corps, qu'il en finirait par tout doucement se retourner pour en étreindre timidement la douce silhouette.

pour se cacher :
contre toi !

— You're doing something special today...? à glisser baisers contre le visage ! comme pour en occuper la plus curieuse. à finir finalement par lâcher sa prise ,, pour en préparer les délices matinaux. dépose quelques morceaux de fruits ! vient à en tendre assiette à déborder ; et pour une fois : tout en semblait trop agréable ! quand tu étais là.

I can hear the siren
Can you also hear me?

Mao est une beauté comme l'on en voit rarement, pure, douce, ses yeux ne reflètent que l'innocence qui vit en elle, la candeur de ses jeunes années la rend encore fragile, presque fébrile, on aurait peur de la casser, de briser la porcelaine qui est comme un trésor sur elle - Mao est une douceur que l'on ne penserait pas capable des pires choses, elle la première, alors au fond, ça bousille son coeur de savoir qu'elle va devoir briser celui de son époux, fraichement mariés, la voilà qui se comble des lèvres d'un autre, non, pas n'importe qui.

Gaon est ce garçon qu'elle a observé des années durant dans les grandes pièces de leur maison, écoutant attentivement les conseils de père de famille, hochant timidement la tête à ses requêtes. Là-bas, il y avait toujours le thé chaud de mamans et les cookies que Mao préparait spécialement pour le garçon qui, quand il se retournait pour regarder derrière lui (l'étrange impression d'être observé), il rougissait à la vue de Mao, qui se cachait maladroitement derrière les murs ou bien les grands vases. Son obsession pour lui a commencé à cette époque, son coeur battant pour ses traits fins, ses cheveux sombres, quelques mèches retombant devant ses yeux, d'un marron tout aussi foncé. La peau pâle, il ressemblait à un fantôme, triste, ne trouvant pas son chemin. Gaon a toujours eu cette aura mystérieuse, des secrets qu'on a envie de découvrir. Et Mao voulait lui offrir son coeur - d'une façon comme une autre.

Alors elle a fauté, c'est vrai. A laissé son coeur guider ses mouvements, à laisser sa poitrine se coller à son torse chaud pour ne fait plus qu'un, dans des baisers passionnés, à la fièvre loin d'être innocente. Mao s'accrochait maintenant à lui, rêverait d'être pendue à ses lèvres pendant des heures, à l'écouter parler de ses peintures, de plus grands artistes européens, et d'un avenir qui, pour le moment, ne leur appartient pas. I love when you're shy... I love everything about you.. Ses doigts s'abandonnait contre ses pommettes, caressant la rougeur qui les coloraient, ses lèvres gracieusement déposées sur chacune d'elles. Nothing, i stay with you for now. You're my special thing. And you? Do you want to do something? We could paint together... Qu"elle propose d'une voix amoureuse, alors qu'entre ses lèvres se perdait déjà les douceurs sucrées, laissant un peu de sirop rouge contre ses pulpeuses, ne ressemblant plus qu'à une enfant trop gourmande. It's soooo good, you're really good at this. You need to teach me too! Rigolant, ses yeux devenaient des demi lunes, brillantes dans la nuit qu'il était à lui seul - ombre qui dominait toujours.