beautiful world ((ft. Mao))

and I'm in love with you
what can I do about it ?

de ces regards à se bercer de quelques songes : tu apparais toujours, là où les myocardes viennent à se serrer. accroche contre sa peau, tes parfums si entêtants, comme pour se souvenir qu'il n'y en aurait qu'une seule muse à hanter les regards. toi ,, comme depuis des années : fleurit sur ses croquis, figures éponyme ! tu éblouis les iris comme si tout son monde en devenait un peu plus coloré.
loin de ces noirs
à absorber :
de sa silhouette.
car tout le ronge, vient à le pourrir ,, celui à s'en faire moitié : folie à te guetter, Gaon, quand tout venait à s'éteindre, et qu'elle ne disparaissait pas. comment la tuer, sans te tuer toi : cette ombre à voler les sanités ? guette alors les mirages, fourvoie les épaules. et le temps est long, dans ces pièces où viennent à en errer effluves de vernis et de peinture.


quand peut-être n'aurait-il jamais dû en rester si droit ! qu'il vienne à remonter le temps : et que se serait-il passé, s'il en avait interrompu ces effervescences d'un temps ? celles où les hésitations venaient à embaumer les cœurs, et que les pas s'en faisaient trop timides. car encore maintenant : il ne savait pas comment te le dire ! à quel point il en tenait à toi. mais s'abîment les étoiles, dans ces yeux à en avoir oublié comment croire aux mots !
Mao : à faire renaître
espoirs sans fin
au creux des paumes !
alors il s'en fait poète d'un jour ,, continue à peindre sur ces toiles comme immortels plaisirs : jusqu'à ce que résonne à sa porte venue miraculée ! yeux à tout doucement vaciller, sous ton visage si sublime : à ne pas comprendre, pourtant ! pour venaient à fleurir entre tes doigts fleurs si délicates ! à obnubiler le regard de celui à en aimer les florales si parfaites. quand toi, tu venais à en faire disparaître tous ses doutes : toutes ses craintes, de ta simple présence. — Mao...What are you doing here ? You didn't told me you wanted to come ? qu'il en jette regard derrière lui ! à en plisser finement les yeux d'un faible sourire. — It's quite a mess, inside.... comme si venait à en être parfaitement rangé ces murs, habituellement ! à juste vouloir toujours en accueillir ! comme pour t'en faire sonner louanges merveilleuses. — And what's with the flowers...Someone gave them to you ?

Et j'ai grandi, avec l'envie de t'avoir à mes côtés,
Des rêves de petite fille, persuadée que tu ne m'aimais pas.

La chaleur caresse ses épaules, le soleil épouse les traits de son visage, enfant de lumière qui s'émerveille de tout - de ces fleurs aux coins de ses yeux, dans les jardins, éblouissent toutes les belles gueules - Et Mao, c'est son monde entier qui éclaire le cosmos, tout est beau, tout est soudainement plus léger ! Le coeur apaisé des trahisons, elle a confié ses erreurs comme ses sentiments, à l'homme qui partage sa vie - celle qu'elle a cru aimer pour oublier le garçon de l'ombre,
De peur qu'il ne l'aime pas,
Aussi simple et fragile qu'elle est.
Le battant fracasse sa poitrine, ses doigts sont moites à force de serrer les tiges du bouquet qu'elle garde contre elle - les minutes sont longues jusqu'à lui, elle a l'impression que le chemin est interminable ! Qu'il se rallonge pour qu'elle ne puisse pas se jeter dans ses bras, étendre ses mains jusqu'à sa nuque pour lui dire - Qu'elle est enfin sienne, enfin libre, qu'il peut la serrer dans ses bras, sans jamais plus être coupable.

Son poing s'écrase une, deux, trois fois contre la porte du minuscule appartement, sautillant presque d'impatience alors qu'elle a le souffle court, reprend sa respiration alors qu'elle entend les pas arrivés jusqu'à la porte - ses joues déjà rouges. I knoooow i'm sorry! I wanted to surprise you... Fausse mine boudeuse, elle se penche pour observer l'environnement quelque peu dérangé. It's okay! I'll help you to clean. Car Mao a le don d'avoir réponse à tout ! Elle a le regard curieux, à la fois pétillant, sa grouille dans ses entrailles, se fait toute petite pour passer derrière lui et entrer dans l'appartement. Elle est stressée, ça se sent dans sa voix, un peu dans ses gestes à répétition, ses lèvres pincées alors qu'elle cherche ce courage qu'elle n'a jamais eu durant ces dernières années. I have so-... Oh wait, first, the flowers! They're for you! Rougissant encore plus alors qu'elle tend le bouquet contre le torse du garçon - blanches et roses, d'un amour candide et encore timide. Elle laisse ses mains se libérer de son cadeau, frottant ses paumes contre le tissu de sa robe - So... C'est comme revenir en arrière - toutes ces fois où elle a cherché le courage de lui avouer, avant d'abandonner. So now... You can kiss me and... Hold me... Without feel like an option or.. like ... uh... You can... love...me...freely... Elle fixe ses pieds - ses mots n'ont aucun sens et elle panique, fini par plaquer ses mains contre son visage et s'agenouiller. Oh my god, i'm so hopeless...........What i'm trying to say is... I talked with Minhun and we're no longer together... I told him about you, about my feeling, and now... Now we can try to be happy together... You and me... Son coeur bat si vite qu'elle ne pourrait pas le rattraper si elle le voulait - ferme les yeux aussi fort que possible, pour ne pas à avoir à affronter son regard, même si sa tête est plus proche du sol que de lui, elle se relève doucement; relevant avec timidité son regard dans le sien. Do you want it...? Les mots tremblent à sa bouche,

La peur que tu l'abandonnes aux portes du paradis.

de ces portes à s'ouvrir :
fleurit les printemps !
à envahir son regard.
car tu resplendies ! tu viens à émerveiller les iris de celui à toujours s'en terrer dans les hivers du nord : mais le gel était fini ! les oiseaux revenaient à chanter au pas de sa porte pour en annoncer le retour des éclaircies. s'enfuient les monstres à se tapir derrière son dos, quand ils en sont effrayés par tes douceurs ! mais lui s'approche, te laisse entrer dans lieux en bazar ! muse à en faire se bloquer ses regards : car tu en es éponyme de ces saisons si délicates.


— N-No ! Don't worry I can clean by myself...I'm just... qu'il en bredouille les mots ! vient à te regarder encore une fois : car ça rougit, contre les joues ! et qu'il t'en trouve bien trop merveilleuse. — I'm happy to see you... quand plus rien n'a de logique ! fleurs à finir entre les mains, à cligner des yeux : et tu en es trop vive pour lui ! n'en comprend alors aucune de tes manigances quand il en respire pourtant la douceur des fleurs : leurs parfums ! pour finalement s'arrêter sur place !
et çà s'échauffe :
dans le pulsant
à éclater !
car les mots viennent à sonner bien trop sensibles, à ses tympans. douce utopie, à siffler contre ses oreilles : et le monde devait en être bien plus beau ! car tout s'éclaire, tout vient à s'animer. et s'en éteignent les remords ,, juste un peu ! quand il en cache finalement son visage derrière sa paume, tente de comprendre ce que tu venais à lui dire : car c'en était trop complexe à assimiler, pour celui à se morfondre dans les tragédies. et juste une fois, tu viendrais à lui sonner ces idées si emplies d'espoir. —Wait wait wait... que les poumons étouffent ! remue tout doucement les mains pour que tu en calmes les mots !
et Mao, tu sais :
il en avait tellement
attendu !
que tout se libère, pour pouvoir respirer de nouveau. —So you're saying...you two...broke up ... like...really...? qu'il finit par tout doucement en poser les fleurs ! tend les doigts ,, vers le visage de la douce. effleure un instant le bout de sa joue, avant d'en enlacer la silhouette ! comme si plus rien ne venait à compter à part eux. —Of course I want it ... but... resserre tout doucement ses bras autour de toi ! vient à se cacher contre ton cou : car il ne sait que disparaître contre tes peaux ,, sans ne jamais resplendir. —And your...marriage...?, qu'il chuchote, presque inquiet !

car il sait : que les joies
n'en étaient jamais
si faciles !


— I guess it's...it's not really important...right now...but... car ça lui restait en tête : et pourtant il venait à se noyer, dans ces joies si douces. — It's not that easy...am I wrong...? comme si les peurs pourraient en ronger un peu plus ces sourires ! à finir par se redresser, qu'il en plonge son regard dans le tien : pour réaliser, qu'il n'avait plus à en retenir les gestes. — Whatever......Can I kiss you now ? pose les mains, contre ses joues ! caresse de bout de son pouce les joues si fragiles. et c'est étrange, Mao, ce que pouvait en provoquer de simples poèmes du bout de tes lippes ! dulcinée à en offrir rêve éveillé : et alors venaient enfin éclore les étoiles dans les nuits à lui servir de pupilles. juste pour toi !

à t'accorder :
tout ce que tu souhaiterais !

quand lui :
ne voulait juste plus
se cacher de toi.

Et j'ai grandi, avec l'envie de t'avoir à mes côtés,
Des rêves de petite fille, persuadée que tu ne m'aimais pas.

Tout semble plus doux, peut-être même plus beau, quand son coeur vient fleurir sous les douceurs de l'amour, leur amour. Celui qu'elle peut enfin offrir à Gaon sans le laisser douter de sa place au milieu de cette relation, de ce mariage qui vole en morceaux dans les airs - les vérités sont prononcés, et ça ne fait pas mal.
Ca soulage, ça fait du bien, de mettre des mots sur ses erreurs, sur ces débordements que les dieux jugent ! Ils ont fauté, ce sont laissé tenter par la chair d'autres corps, que celui qui leur était destiné.
Mao s'accroche à Gaon, qui brille comme un sauveur dans son univers - le centre de son cosmos tout entier. Elle se tend à sa nuque, se lève sur la pointe des pieds pour l'accueillir dans son étreinte, elle inspire son odeur, son parfum qui se grave dans son esprit, comme contre sa peau et ses vêtements. Son regard se plante dans le sien alors qu'elle caresse ses joues du bout de ses doigts fins. Yes... We broke up. I cheated, he cheated too. I love you, he loves someone else. I guess we're kinda dumb... Elle rigole discrètement, dépose quelques baisers contre ses lèvres, lui laissant peu de temps pour parler, ses mots n'ont pas de place dans l'harmonie de son esprit, là où les oiseaux chantent, où les papillons dansent. We can't divorce now but yeah... We will, later... I'll explain you why.
Pourquoi ça prendrait plus de temps,
Pourquoi il faudra se faire patience, quand derrière ces beaux mensonges, il y a des âmes à protéger, à chérir, dans le secret des sentiments.
Candide, colle son front contre les siens, déposant une main contre le coeur de l'homme - celui avec qui elle rêve de partager sa vie - destin ironique qui se moque d'elle, d'eux, de ceux qui osent tout savoir de la folie des émotions. I need to protect Minhun a bit, with our marriage... The person he loves... Is a V... Elle baisse le regard un instant, soupire. I know, its not what you wanted, it's not what i wanted either but... I can't let him down... I'm sorry about that... Elle s'ancre de nouveau dans son regard, posant ses lèvres contre les siennes, l'embrassant dans une union libératrice - il n'y a plus aucune frontière entre eux, seulement des mensonges à tisser pour Athena, et leurs quelques proches. Kiss me Gaon... Kiss like the first time.
Et elle se noie dans ces étreintes amoureuses, où les sentiments ne sont plus interdits.
Sa langue à la recherche de la sienne, les joues qui rougissent, elle mordille ses lèvres quand elles osent s'éloigner de quelques millimètres - elle ne veut pas l'abandonner. Ne veut pas qu'il l'abandonne. I love you so much... I waited for this moment for so long...
Chuchoté contre lui, elle ne veut plus jamais le lâcher, ne veut plus jamais partir.
I'm yours, Han Gaon.

She's yours, Gaon.

étreint les âmes, du bout de ses doigts. enlace vos frêles rêves ,, à se demander si tout n'en était pas trop compliqué, finalement. quand tout cogne entre les tympans ,, il a du mal à comprendre, Gaon !
écoute :
essaie
d'accepter.
quand ça brise les myocardes, s'échappent les idylles d'entre ses doigts, comme si finalement les joies en étaient presque partielles. et il ne sais plus ,, si les sourires devaient fleurir sur son visage ,, se décomposer : accepter tout simplement, ces accords partiels à embrouiller ses idées. de quelques baisers, détend finalement les éphémères doutes à tuer les douceurs ,, resserre les bras comme pour se rassurer légèrement : pour ne pas te voir disparaître, derrière ces situations à rendre fou celui trop sombre.


quand au fond les joies en étaient pourtant à fleurir au creux des poumons : respire de nouveau, sans avoir peur de t'en toucher ! et ça se bouscule, tout se mélange ,, comme si le monde pouvait venir en aspirer toutes ses craintes. — I see... qu'il murmure, essaie de réfléchir ! quand les corps s'enlacent, resserre ses bras autour de toi ! finit par délaisser vos embrassades pour en poser la tête contre ton épaule. — It's...not really pleasant either, as a situation. I guess I can't do anything about it. et ça l'agace ! sans savoir pourquoi.
et il soupire :
n'en est que fatigue
dans ces complexités.
qu'il finit par relever la tête, t'observe un instant avant d'en laisser les lèvres épouser les tiennes. laisse les agacements de côté ,, n'en parlerait que lorsque les amertumes en délivreraient ses logiques : et alors concentre toutes ses douceurs ! à embrasser les merveilles ! caresse le creux de tes reins ,, vient à t'en offrir baisers délicats. quand s'effleurent les innocences oubliées ,, agrippe tout doucement ta nuque du bout de ses doigts. visage à s'en colorer tout doucement pour en cramer les joues, il en explose les pommettes ! embrasse tout doucement sa joue : pour tout doucement en bercer la silhouette de la plus belle entre ses bras. — Love you too.... seule vérité ! qu'il voudrait te montrer : pour te faire comprendre !

qu'il t'avait :
toujours attendue.

— Don't be in such a hurry...It's not like we have plenty of time... qu'il murmure ,, en est presque trop calme, quand doux sourire vient à repeindre son visage. oublie les doutes, oublie les effrois : pour en reconstruire vos souvenirs, ensemble. — I guess we can't really date openly...but...let's have a date. propose presque trop délicatement ! veut en oublier vos misères ! car à partir de maintenant, il pourrait en recouvrir de baisers ce visage sans en avoir honte de t'aimer : sans avoir peur d'en réduire en cendres, tout ce pour quoi tu avais travaillé, Mao.
d'un sourire sincère :
effleure ton visage
pour en combler ces joies.