(NSFW) voices silently sing ((MAO))

et il t'entend, Mao
il te sent !


car ce soir, n'en était qu'une de ses nombreuses prières à la lune : laisse lui en épouser, les nymphes solaires ! juste cette fois, avant que ses rayons n'en brûlent les peaux, avant que ses regards n'en figent les coeurs. car il l'aime ! comme si le monde n'avait plus de sens. et des caresses ,, à en chuchoter les maux : elle en serait celle à en illuminer les cieux, de ses éternelles beautés.
et tu sais, Mao :
il n'en admirait
que toi !
à embrasser ton visage, choyer l'ange que tu étais : qu'importe les pêchés, le monde en était déjà pourri ! que vous pourriez en demander un peu de douceur, là où en crevaient vos pulsants. et le sien venait à s'étouffer, sous chacun de vos touchers : car il peut en être beau aussi, cet univers, si tu en berces les corps de tes bras pour en faire fuir tous ses cauchemars. et murmures ! secrets à se faufiler, entre vos tympans : c'en étaient promesses indélébiles ! à s'en graver sur vos peaux, ce soir.

à tout oublier !
entre vos baisers.

que les corps viennent à se caler tout doucement, s'enlacent les figures : s'étreignent les lippes entre elles ! quand il se laisse faire, se fait entraîner dans ces douces rondes ,, pour t'en entendre dire, tout ce qui viendrait à en faire vivre les tendresses. de ses pommettes s'en colorent de carmins les peaux ! que les touchers viennent à réchauffer les épidermes ! il en glisse les doigts contre ta taille, faufile les mains sur la silhouette ! de ces mots, que lui ne venait pas à maîtriser. — If you want it...then... faufile les lèvres contre la joue ! à murmurer contre sa peau les amours renaissants : et il en épouse les constellations, vient à glisser dans ton cou ,, pour en perdre les baisers sur ces peaux de cristal. de ces doigts, bien plus courageux que les siens ,, acquiesce les demandes : dévoile les peaux ! frissonne aux baisers ,, comme pour en commettre sacrilèges tragiques.


qu'en sourient timidement les commissures, vient t'en voler baiser fugace ! — Stop it. You're the one, being pretty, Mao. qu'il vient à se fondre contre le corps ! glisse les doigts sur les peaux ! soulève timidement les tissus, pour en embrasser les épidermes dissimulés : sans ne rien forcer ! de ces allures si fragiles ,, aiment les parfums à venir tinter contre les visages, qu'il en caresse les clavicules du bout de ses lèvres ! le ventre du bout de ses doigts ! en guette ta figure ,, pour savoir : si tu en chanterais louanges à faire frémir. — Should I...do what I want ? et es-tu sûre, Mao ? que ses bras en étaient ceux souhaités ? quand lui n'en avait rêvé que de tes étreintes !
toi ,,
comme intouchable
muse !
à faire rêver, la nuit, de tes miracles au bout des lèvres ! que le corps vient à te surplomber ! en entrelace vos jambes : jusqu'à t'en capturer entre les siennes. et tout n'est que douceur, qu'il vient à caresser de l'une de ses mains ta tempe, joue de quelques une de tes mèches, avant d'en poser la tête innocemment, contre la poitrine ! — Even being just like that...it just feels unreal... et de ses phalanges, il viendrait à jouer avec les tissus, caresser secrètement les courbes ! pour parsemer dans le noir : ces peaux de baisers trop discrets. jusqu'à en jouer, du rebord des vêtements ,, car elle en est trop précieuse ! et qu'il a peur, Gaon : de venir en abîmer les corps si splendides. — Can I really touch you...? and...remove...you know... qu'il murmure, vient à jouer avec le rebord de ces vêtements, dessine sur ta peau quelques cercles du bout des doigts : car tu en es si belle ! que plus rien ne prenait sens, à ses yeux.
alors juste un mot :
pour qu'il vienne
tout te donner !

I can hear the siren
Can you also hear me?

Les baisers se gravent sur sa peau comme des tatouages éternels, indolores, incolores, à jamais sur son âme, sculpté dans sa chair, la douceur de ses lèvres - Les courbes de ses mains, sa paume contre ses hanches, sa taille. Son amour dégouline de ses lèvres pour se noyer un peu plus en lui. Bourreau à la belle gueule, son souffle chatouille ses joues, fait rougir sa peau - il sonne comme un prince, comme un dieu. L'univers bascule vers des ailleurs qu'elle n'a jamais imaginé - autre part que dans ses rêves fiévreux, où les illusions dansaient autour d'elle.
Ses yeux s'accrochent à son regard, et dans ses bras, elle veut mourir, souffler ses derniers mots, si c'est ça le bonheur, elle l'accepte le coeur ouvert ! Et qui aurait cru - que la belle tomberait pour l'ombre que l'on pointe du doigt, que son battant s'épancherait pour un autre. On lui prête des allures de princesse, d'impératrice, gamine qui ne désire que la simplicité -
Que toi à ses côtés,
L'envie de se réveiller dans tes bras.

Et le dos se courbe à chaque contact - à chaque instant où ses doigts frôlent sa peau, laissant quelques gémissements trahir son plaisir, alors que les lèvres dévorent la chair de son peau, tête qui bascule en arrière, elle soupire - poitrine qui se gonfle d'air, ses doigts dans ses cheveux, tire légèrement. Yes... Do it. Des accords qu'elle lui offre sur un plateau d'argent ! Son esprit se perd, n'est plus qu'à lui, se noie dans cet océan de mystère et d'inconnu qu'il est - et elle l'aime, peu importe sa complexité, peu importe ses secrets ;
Et s'il faut, elle les gardera avec elle, jusqu'à la fin,
Jusqu'à son dernier souffle.
Dis moi tout ce que tu aimes,
Tout ce qui te fait frissonner,
J'en serais gardienne.

Ses yeux paupières se ferment à son contact contre sa tempe, son visage se blottit contre sa paume, souriant tendrement - légèrement. Burt it's real. Qu'elle murmure, rouvrant les yeux, l'observant contre sa poitrine, et il sonne à sa place - vision qu'elle a tant désirée, elle aimerait le garder dans le creux de ses bras à jamais. Il se redresse légèrement, ses phalanges autour de ses vêtements, elle hoche la tête. Yes. Et pour lui,
Elle dirait oui à tout.
A une vie paisible,
Comme à toutes les aventures du monde.
Et à son tour, elle se redresse, le pousse d'une main contre son torse pour qu'il suivre le mouvement. Elle le laisse faire, quand il retire les tissus qui couvrent sa chair, sa poitrine. Et ce moment paraît irréel - n'est en rien une illusion. Ses bras trouvent leur place dans son dos, et sa tête se dépose contre lui, sa peau contre la sienne, plus proche qu'ils ne l'ont jamais été. Il gémit presque de cette proximité, de sentir sa chaleur contre ses seins, son coeur contre le sien, battant si fort qu'il pourrait tout briser. Ses pulpeuses se déposent contre son cou, descendent jusqu'à ses épaules, en épouse ses clavicules. Et ses mains viennent finalement se refermer autour de son visage, où elle déposer un chaste baiser contre ses jumelles.
Lentement, son dos retrouve le matelas, le laissant la surplomber, elle s'accroche au rebord de son bas pour l'attirer de nouveau contre elle, enroulant l'une de ses jambes autour de l'une des siennes, l'autre épousant sa taille, laissant la frontière ouverte - à toutes les luxures.

Fais d'elle ta reine -
Le secret de tes nuits,
La nymphe de ta vie.
Car entre ces cuisses, tu es son seul roi.

s'enfuient les horreurs :
vertiges
mélodieux.
quand il en embrasse les peaux, vient à en croiser tes cieux : tu en es seul paradis, Mao, dans ces limbes à venir le retenir. et peut-être que juste une fois pourrait s'en briser les morales ! celles à hurler, que les joies n'en seraient que fictives. ô miséricordes, offre leurs ces instants de repos : que personne ne pourrait venir à renier ! car de ces amours à unir les myocardes, tinteraient les carillons de ces printemps indolores.


quand il admirerait les figures ,, choierait les anges : pour pouvoir t'en tenir entre ses bras toujours un peu plus longtemps. découvre tes peaux, du bout de ses lippes : et viennent à brûler les siennes, de ces affections retenues ! car tu en étais et resterait toujours, celle qu'il viendrait à aduler, Mao ! comme d'une douceur à siffler à ses tympans, beautés sans nom : à raviver tout un monde, dans ses regards effacés. alors il t'écoute ! vient à tout laisser tomber : car si tu en disais que c'en était les réalités alors il en croirait chacun de tes mots !

comme vérités absolues
à s'en faire :
poèmes sur tes lèvres.

qu'il en suit chacun de tes gestes, vient à comprendre ,, apprendre : comme tu en étais délicate ! là, de tes touchers, frissonne son corps des simples dermes effleurés, et s'il le pouvait, il viendrait à te garder : sous ces royaumes que vous veniez à construire. retire ces tissus ,, vient à te découvrir ,, et le monde en paraissait beau : pour une fois ! quand il effleure les peaux, rougit à ces touchers si innocents. tout est bien trop réel ,, à ne plus douter ! que tu en étais son seul repère, Mao. qu'il en embrasse ta peau, laisse tes jambes s'en caler contre toi ! glisse les doigts ,, pour effleurer chacune de tes parcelles : du bout de ses phalanges, caresse les ventre, descente interminable ! à épouser les secrets enfouit : et juste un peu ,, qu'il en cueille tes peaux, vient à fondre contre toi : redécouvre tes baisers ,, à ne t'en laisser répit qu'une fois vos songes terminés.
effleure les paradis ,,
miroitent les envies
à ces luxures offertes.
et de ses iris, qu'il en essaie d'agripper tes visions : t'admire en silence, à en sentir encore, ces baisers offerts contre ses épidermes. et tout est trop beau ,, que même le diable ne pourrait en interrompre les bonheurs : ceux à le rendre plus humain encore, quand tu venais à le regarder enfin. qu'il en épouse chacun de tes secrets, veut en faire frémir les regards, de quelques caresses à prendre vie au creux de tes cuisses, c'est le dos qui s'en redresserait ! pour ne rien oublier. — Oh..wait, sorry. qu'il en décale les épaules ! vient saisir dans ses placards oubliés petite boîte aux secrets renfermés ! pour ne pas en salir : ces corps si précieux. et alors à revenir vers toi, se recaler entre tes étreintes, il en embrasse ta poitrine ,, vient s'en faire d'une tendresse absolue ! de quelques baisers à te parsemer, il viendrait caler ses doigts contre tes jambes, pour en attendre chacune de tes validations. lèvres à venir en capturer de nouveau les tiennes, embrasse tes joues de quelques fragilités ! à sourire timidement : de ces corps, à avoir l'impression de revivre, contre toi. — You're okay...? et alors il viendrait danser avec toi ,, sur les draps merveilleux. caresserait ta silhouette : comme pour te répéter, qu'il en avait toujours demandé ! ces embrassements si fugaces. qu'importe ! à simplement vouloir t'en sentir au creux de ses paumes : car même d'un rêve éveillé, il aurait besoin de t'avoir auprès de lui.
Reine éternelle !
il t'en serait dédié :
comme apothéose.

I can hear the siren
Can you also hear me?

Y'a des choses qu'elle s'est imaginée tant de fois, l'embrasser, le serrer dans ses bras, le couvrir d'un amour dont elle a le secret. Et il y a des choses qu'elle s'est refusée, comme cet instant, parce qu'elle se disait que ça ne pouvait pas arriver - liée à une autre âme que lui, il est pourtant le seul maître de son coeur. Tout à cet instant lui paraît irréel, pourtant elle frémit au contact de ses mains contre sa chair, elle rougit quand il l'embrasse et murmure contre son oreille. Son coeur frappe, tambourine dans sa poitrine, se briser au moindre mot ! Mais entre ses mains,
Elle le sait en sécurité.
Car il se pense monstre, Gaon,
Pourtant pour elle, il est son sauveur.

Corps qu'elle apprend à connaître, à soupiré contre lui quand ses doigts découvrent chaque muscle, chaque imperfection qui se cache sur lui - et elle aimerait embrasser chaque creux, chaque pliure, pour l'aimer toujours plus - le faire sien comme il l'a fait sienne en ce jour. Son regard ne le lâche pas, s'adoucit à chaque instant qui passe, une de ses mains contre sa joue qu'elle caresse de son pouce, elle se redresse légèrement pour attraper ses lèvres, doux baiser. Gaon... Thank you... Qu'elle murmure contre ses pulpeuses, car elle sait ô combien certains ne feraient pas attention à elle - laissera l'égoïsme prendre possession de l'instant.  Son front se colle au sien, avant qu'il ne dérive sur sa poitrine, elle sa cambre, soupire, tirant les draps de ses fines phalanges, et son souffle se fait sauvage dans ses poumons -
Ses yeux se ferment, et ses bras finalement, se referment autour de lui, trouvent leur place dans son dos quand il trouve son chemin entre ses cuisses, de ses doigts et bien plus - lui donnant toutes les permissions, pour celui qu'elle aime, qu'elle désire si fort. Son visage blottit contre son épaule, elle murmure contre sa chair son prénom, gémit avec tendresse, se détendant, lentement. I'm okay. It's perfect. Rouvrant les paupières pour le regarder, le plus beau des tableaux, elle l'embrasse dans cette union magique, unique. Elle n'est qu'à lui - lui offre tout d'elle, quand de ces vices, elle ne n'avait jamais péché.
Et que les étoiles soient témoins ! De l'amour qui implose entre eux,
Qu'elles entendent le chant des gémissements, le prénom que Mao soupire - crie quand l'orgasme fait trembler les muscles de ces deux êtres.

Et Gaon,
Sais-tu à quel point tu es chanceux,
De pouvoir la serrer au creux de tes bras cette nuit.

Ses jambes sont encore tremblantes, mais elle tient encore, enlaçant le corps contre elle, alors que l'eau chaude coule sur eux, lavant toutes les luxures de la soirée. Cheveux rattachés pour ne pas qu'ils mouillent, elle passe ses mains sur sa peau, dépose le savon sur ces courbes aimées. I love you... Elle le prononce comme la plus belle des merveilles, le sourire envoutant son visage, alors qu'elle cherche ses lèvres, de nouveau, l'embrasse plus tendrement, enroulant ses bras autour de son cou. Hold me forever... Ô qu'elle aimerait mourir dans ses bras ! Vivre chaque instant à ses côtés, oubliant tout ce qui leur fait encore barrage - car tant que le soleil ne se serra pas levé sur eux, il n'y a rien d'autre qui existe. Are you tired...? Qu'elle demandant, rinçant leur corps avec l'eau brûlante, venant réchauffer le froid qui s'installe au contact de l'humidité. Déposant quelques baisers ici et là ;

Et si elle le pouvait,
C'est ton âme qu'elle embrasserait

et dans tes yeux :
se reflète
l'univers !
celui à scintiller, comme si tu en appartenais aux étoiles ! toi ,, à briller de tes éclats ! tu en étais douce nymphe à prendre vie : là, toujours au creux de ses rêves. quand tu danses sous ses peaux, vient à faire vibrer les passions miraculées ! il aime à en mourir : sans ne jamais rien dire ! sans ne jamais rien te chuchoter ! car c'est mal, mais le mal pouvait parfois en être si beau.


qu'il en enlace les corps ! vient à embrasser les épidermes ! douceur à en redonner quelques couleurs à celui trop blafard : de ses doigts, agrippent les peaux si splendides ! vient à se perdre dans ces parfums délicats, à lui rappeler champs de fleurs qu'elle venait à faire fleurir contre les épidermes ! et lui à s'en charmer, de celle à en hypnotiser les consciences ,, il viendrait à lui souffler tous ses amours ! ceux à le brûler depuis si longtemps, même quand il ne saurait jamais comment en montrer un peu mieux ces sentiments esseulés.
Mao :
à l'aimer
de tout son être.
que les corps viennent à se coller, s'essoufflent les poumons ! de bras à s'enlacer, épouser son corps : qu'elle s'en blottit contre lui ,, et qu'il en embrasse les tempes ! frissonnent les muscles, explosent les immortels plaisirs : et tout viendrait à prendre sens, là ! de ces baisers qu'il viendrait à te rendre comme Olympe à se dessiner contre vos lèvres. d'un sourire tendre, en fait disparaître les soleils : car les nuits étaient vôtres !

de ces eaux
à en purifier :
chaque instant.

qu'il en glisse les bras, autour de sa taille ! soutient les corps : comme s'ils en étaient si précieux. de ses cheveux, à lui tomber devant les yeux, il en observerait son visage si délicat entre ces rideaux noirs ! vient à embrasser son front, te laisse en cueillir ses lèvres : et Mao, radieuse comme le soleil ,, tu en étais son seul astre ! — ...love you too.. qu'il murmure contre son visage ! vient à glisser les doigts contre le dos ! à ne pas oser en serrer les étreintes, pour ne pas en briser tes ailes, Mao. — I'm not that tired...And you ? effleure la peau, du bout de ses doigts ! vient à caresser les épidermes ,, dégage les mousses : caresse la nuque, de ses phalanges apeurées d'en toucher les dermes. — It was a tough ... night...right...? se saisit d'une serviette ! enroule la douce dans les tissus ! réchauffe les corps ,, loin de ces eaux à unir les silhouettes. — Wanna...sleep here...tonight...? or you're going back...? murmure les inquiétudes : à ne pas savoir ce qu'il voulait ,, se demande si tu viendrais à rester ! à vouloir t'en garder entre ses bras ,, juste un peu ! d'innocences à percuter ; quand il sait, que les bonheurs n'en seraient que trop éphémères.
alors chante :
ces idylles
merveilleuses !