no one does it better ((hora))

Qu'il en scande ses plus belles victoires.
Secrets démantelés.
Offerts.
Chance démesurée.
Il s'en verrait trop chanceux.

C'était plus grand que tout, plus grand que le temps en lui-même et les infinies déchirant le monde. C'était une incertitude qui se casse, une possibilité qui n'aurait jamais pu être pensée voyant le jour, criant au grand jour que tout lui était dû. L'audace et l'arrogance ayant eu raison du lys blanc, offrant maison au grand jour. S'en vouloir presque aussitôt d'en exposer toutes les plaies béantes. Soleil cuisant, douleur vivante en torturer la chaire calcinée. N'être qu'un mince tableau.
Une image sans vie au fond.
Une pauvreté.
Richesse des autres utilisées pour ne s'élever vers le monde. Elle lui aurait crié de se taire s'il en restait un seul éclat de voix. De n'en émettre aucun commentaire, qu'il en continue de se noyer dans ses prunelles, sur ses traits tant désirés, tant aimés.


Il n'en reste que son sourire, ses doigts si tendus vers le corps tourné dans la glace, capable de l'observer aussi. ((Et qu'est-ce qui pouvait te décevoir de moi au final ?)) Car le bonheur ne pourrait plus jamais s'éteindre victorieux de la bataille.

I would always be yours

Tête se perdant aux creux des trapèzes, déposer dernières étincelles, derniers mensonges, n'en désirer d'être plus que vulnérable à ses yeux. Trop précieux. Trop privilégié. Raison d'en poser les mots, qu'il en reconnaissance toute la chance qui pourrait s'envoler tout aussi facilement. Voleur, déjà au bout du lit, elle lui avait tout concédé , dès la première fois au détour d'une ruelle. Repousser nuage pour qu'elle puisse continuer d'être solaire à ses yeux. Repousser la vermine pour n'en laisser que sa pureté. Et dans ce monde qui s'écrase, se violente, il en resterait un peu d'amour, un peu de folie de votre union tant détestée. C'est l'impossible qui vaincrait pendant que leurs yeux seraient rivés ailleurs. Qu'ils en profitent de ses minutes crochetées à l'envolée. Le silence empêche de riposter, mais empêche aussi toutes promesses.

And maybe it was ego swinging

S'avance enfin sa reine, revenant vers son seul souverain, en conquête de son royaume, en appose les pouces sur les paupières pour qu'ils les voilent. En agrippe robe des mille feux d'artifice, beauté fragile et luxueuse. En faire tomber le tissu trop important et l'oublier pour une fois, n'en dévoiler que peau frêle, frissonnante, presque rouge si elle pouvait en connaitre les mêmes pivoines que les pommettes. En pousser le torse pour faire tomber l'homme. En surplomber la carcasse, en pencher la tête sur le côté faisant voler la chevelure quand elle l'observe d'une nudité qu'elle n'aura jamais su assommer auparavant. Qu'ils en connaissent ses draps à son tour, une pluie d'oreiller qui l'avait fait chavirer, duvet rempli de secrets et d'innocences criantes.

En fondre sur les ressorts.
Repeindre un monde.
Nos enfers certains.

D'un tissu, tirer au-dessus des corps entremêlés, surplombants, voute vers la fuite des plus près, qu'ils arrêtent de vouloir s'infiltrer dans leur monde, obligeant les démons à se tenir loin, les cieux, ce panthéon trop curieux. Ballon de lumière et de tendresse, oxygène qu'il ne retrouvait qu'au creux de leurs lèvres et espérer faire vivre les poumons. H O K U T O Chaque lettre détachée entre les commissures, embrassante poitrine protectrice du myocarde, peau addictive.

Ronces et abimes intimes.
N'en voie que ma lumière
Que tu aurais fait renaitre.
N'en soyons qu'égal.

Un peu démons, un peu divins.

rien ne le déçoit, Heera.
sauf les promesses :
à s'en changer en mensonges.


celles à t'hurler, que dans ses bras tu en trouverais repos. loin des échos à tuer les âmes de leurs maux. les bonheurs n'existaient pas : et peut-être le savais-tu déjà ? que ces émotions n'en étaient que pour contrebalancer tous vos malheurs, toutes vos déchéances. celles à vous faire vous accrocher ,, pour en respirer un peu plus de ces airs corrompus.


car tout se complète, tout en devient si naturel. qu'il veut t'observer, dans ces miroirs à lui faire face : comme déesse à danser sous ses yeux. les reflets se font merveilles, tu en es d'une beauté sans faille ! et que devait-il faire, pour pouvoir t'admirer encore et encore dans ce qui venait à en aspirer toutes tes fragrances ? car ça révère ton esprit ,, découvre tes réalités ! et au creux de ses bras, peut-être parviendrais-tu à en purifier ce démon à l'habiter.
colle ses paumes :
à ta figure
délicate.
sois en ange à vouloir le sauver ! qu'il en dévorerai tes puretés. cache ses regards, pour qu'il n'en garde qu'innocences aux prunelles. celles où ton visage s'en ferait sa seule lune : pour en guider les déchéances jusqu'aux Enfers les plus perfides. car la peau frissonne ! et c'est fou, peut-être l'était-il devenu ! de s'en sentir si faible, sous de simples touchers d'une tendresse à le tuer.


laisse le noir l'envoûter ! tombe les corps sur ces draps à en respirer ta présence. et quand les iris viendraient à se réveiller ,, il n'y en aurait qu'une nymphe à se dévoiler ! transforme le en écume, broie ses malédictions : ramasse ses fragments semés ici et là, pour le recomposer. le faire redevenir, ce qu'il avait été un jour ((simple humain)). de ses doigts, caressent tes côtes du bout des phalanges, comme pour redécouvrir tes épidermes. sourit de ses yeux ,, laisse vagabonder le regard ; et il ne sais plus où les poser !


que tout vienne à se ôter ! qu'importe les parjures prononcées ! et au bout de tes lèvres, il en accroche sa paume contre ta nuque ! pour en garder tes lèvres contre les siennes. ça l'étouffe ! il crève ,, de devoir toujours en regarder trop loin ta silhouette. quel sort lui avais-tu lancé ? pour qu'il vienne à se languir de toi même quand le monde venait à s'éteindre. glissent les doigts, contre ta poitrine, se faufile trop doucement, ses doigts contre ton ventre. enlace la figure, dérive les lippes contre tes tympans : et si lui ne pouvais pas t'entendre, tu viendrais à pouvoir profiter de ses paroles. — You know we could simply cuddle, right ? car c'était différent, avec toi.

lumière que tu étais
tu l'éblouis
le pourfend !

— If you're going like that... caresse le creux de tes reins : t'observe ! à le surplomber. le monde est un peu trop beau, quand tu en deviens son unique paysage. — ...don't expect me to let you go after. qu'il chuchote ! te garde contre ses bras ,, essaie d'en attraper les mains : pour en retourner les corps, plonger le visage contre ton cou : qu'il aimerait tant te dire, qu'il en avait ces impressions d'imploser. — Just this time. Don't try to be strong with me...Just be who you are. And I'll do the same. murmure d'un sourire presque plaintif : car il veut t'en montrer, toutes ses sincérités. quand il embrasse ton front, veut t'en garder contre lui. entrelace vos corps, comme pour s'oublier un peu plus. — Let me hold you, tonight. And take the lead. Heera. qu'il te supplie ,, coince vos jambes, comme nœuds à ne plus jamais pouvoir se défaire. fais le respirer ! au son de tes caresses.  sois honnête, avec lui : car lui n'en dirait jamais réelles inepties !

devenez divins !
ne voit que lui :
car lui renait !