no one does it better ((hora))

Why am I alone ?

Vent glacial.
Fuite des cieux.
Autosabottage ou égo démesuré.
Elle ignore elle-même ce qu'il en reste.
Qu'il la juge plus tard.

À ne laisser la place à aucune possibilité, quand il n'en reste plus rien, d'une voix, bousillée, malus froid à créer la douleur d'une gorge lacérée, rien de trouver de mieux à faire que d'endormir les alliés pour offrir repos qu'ils n'arrivaient pas eux-mêmes à se donner. En oublier les blessés, les lits d'hôpital froids auxquels elle devrait faire face.
Destinée dont elle s'y refuse.
Empathie plus grande qu'elle n'aurait pu l'avouer.
Indissoluble dans l'égo indétrônable. ((Mensonge que tu ne pourrais pas te faire avaler à toi-même.))


D'un manège presque récurrent, les réflexes sont réels, même si les neurones lâchent, le myocarde se veut lourd, dissimuler pour ne jamais être vu près, regagner un endroit bien connu, demeure qu'elle se refusait depuis les pires lacunes. Les murs nous connaissaient trop. Nos faiblesses, nos passions folles, nos querelles, d'une haine passant à l'affection. Il en serait trop spécial d'en recueillir le lys esseulé et pourtant il en obtient la médaille, d'un mensonge envoyé sur le téléphone, géolocalisation un appartement oublié, dans ses immeubles délabrés.

It's time, it's time
If I just save you, you could save me too

Pour en donner la chance d'en caresser les paradis, une fois de plus, malgré leur extinction, d'une robe trop élégante pour les lieux, cataclysme de leurs différences, de leurs univers qui tentent encore de s'imbriquer, puzzle impossible à assembler, les pièces se briseront juste pour pouvoir se lier. Jalousie qui pouvait mourir il n'en resterait que lui pour l'admirer. D'un silence terrible, bouteille de rouge volée à la soirée, comme les verres qu'elle brandit sous ses yeux, à tomber sur le canapé à côté de lui.
Sans mascarade.
Comme si elle en était intacte.
Artifice sans tâche.

En tendre le verre, tinter avec le sien dans le seconde. Les mots dissipés, il n'en resterait que son rire, ses moqueries pour en border la pièce.

Tes lumières des ténèbres qui ne m'auraient jamais autant rassuré.

et tout venait à imploser ,,
des calmes ,,
aux horreurs.
refont surfaces, ces monstres à vouloir en dévorer les corps : ils en ruinent les orées à s'illuminer ! car de ces soirées de fêtes, viendraient à crever les rires ,, dans les brûlures à pourfendre la ville. que les nuits avaient failli les envelopper ! à en ignorer les chaos ,, dans les conforts des appartements ! mais rappelé à la réalité, accourt les figures : compte les étoiles, sur le bout de ses doigts.


et au fond, il ne sait pas ! n'en craint que les pétales viennent à se répandre sur les sols : car peut-être que rien ne venait à tourner rond ! mais toi ,, tu en méritais tant : de ces calmes, à ne plus éclater ! et de tes allures de déesse, il essaierait de te retrouver, suivre les adresses ! comme pour en guider ses pas : là où personne ne viendrait à vous remarquer. alors il s'éclipse, disparait dans les ombres !
ruines : à se répandre
se meurent
les idylles.
rejoint alors, celle aux destinées miraculées, qu'il en attend alors les silhouettes : avant que tu n'en apportes ces liqueurs si grâcieuses. et il te regarde ! vient à t'observer comme si tu en étais seule à régner dans ces nocturnes piétinées. et que tu en es si belle ! à venir le rejoindre, tendre les verres, il fixerait ta figure comme pour t'en soutirer mots impossibles. — Alors comme ça on s'enfuit de cette petite fête ? J'étais pourtant sûr que t'avais un cavalier, non ? hausse un sourcil, vient à se caler un peu mieux près de toi : pour en effleurer du bout des phalanges, épaule si fragile ! car tu n'es pas seule Heera ! et tu ne le seras jamais. — Et donc, t'as volé une bouteille pour la partager avec moi ? Il était si ennuyeux ?

.
savoure du bout des lippes, les carmins acidulés ,, et à être si loin du monde : vous pourrez enfin respirer ! de ces spectacles à ne plus être donnés, simple réalité à frapper ! quand peut-être en était-il légèrement rassuré : de ne pas avoir à te chercher, dans ces folies si miséricordieuses ! — T'es bien calme........ penche son visage, pour en croiser ton regard ! vient à glisser son doigts, contre ton menton : pour en figer les iris dans les riens. — A croire que c'est vraiment traumatisant, leurs espèces de gala. qu'il en cherchait les poèmes ! épouse les déesses ,, de ces airs si affabulateurs. car il viendrait à se cacher, pour en partager tes lueurs. vient à les ternir un peu, de ses ombres si mortelles : et toi, tu en étais celle à faire taire les ténèbres.
tuer ses agonies :
car tu en étais Reine ,,
de ces Paradis perdus.

Elle en partagera des horreurs
uniquement s'il en est le créateur

Brise les silences. Bouscule-là pour oublier comme elle est misérable en tant qu'héroïne, trop égoïste pour réaliser ses idées égocentriques. Ce regard mortel visé sur le nombril, en oublier les plus faibles. Espérer qu'il en vive des jalousies affamées de ne pas être dans la même pièce, qu'il en vive une certaine inquiétude au son des explosions quand elle pourrait tomber elle aussi. Qu'il s'en montre un peu humain, démon rongé par tous les enfers des vacarmes des possibles.

À ne pas se faire attendre
Pour en exprimer sa joie
À la nouvelle victoire obtenue.

Et tout ce qu'il en reste, c'est un souffle, pas le moindre sifflement pour s'exprimer, des airs, des yeux qui se plissent pour se retenir dans lâcher un rire s'il était possible, sourcils qui en montrent la danse à toujours se froncer, ne plus jamais s'écarter lorsqu'il la frôle en reprend ses rôles près d'elle. J'en savourai le vin, tout comme toi, sur tous les mots que je ne peux te souffler. L'illogique d'en offrir la présence dans toutes ses faiblesses, signe d'une guerre bel et bien en berne.


Peut-être en ressentir quelques regrets criants quand la réalisation fait son entrée qu'il en cherche à comprendre tous les silences qu'elle n'offrait jamais en dehors de ses colères. (( Et si tu savais comment ils sont traumatisants et puérils.)) . Préférant tes ténèbres qu'elle n'en reste muse d'un seul endroit, même si elle en connait les pires brûlures. D'un regard de défi, d'en toucher sa propre gorge tapotant la peau, croire qu'il pouvait en reconnaitre tous les signes. Et le pousser légèrement.
Comme il aime
À le malmener
Dans toutes les perfections.

En chercher le téléphone. J'ai perdu la voix. Laisser la réponse derrière entre ses doigts et poser l'index sur les lèvres, prunelles presque meurtrières, de cette main libre tirer légèrement sur ce manteau sombre. Menace silencieuse d'en oublier toute moquerie dont il ne se retenait jamais. Tinter la manucure contre son verre pour occuper ses mots avec le carmin, qu'elle n'en soit plus le centre de tout.
Mais comment pouvait-il en être autrement ?

Émerveillé à ne plus compter les jours.
À juste souffrir de l'absence dès qu'il est possible.
God, why didn't I stop it all?

et de quelques mots :
sais-tu qu'il pourrait
t'en dire néant ?


car ils ondulent, dansent sur sa langue : viennent à faire rêver quand nombreux n'en sont que pour faire beaux. les syllabes s'alignent : il ne sait pas s'adresser à celle que tu étais. murmure les idioties ,, à ne savoir que les aligner, quand ton regard venait à faire surface. alors il veut se faire oublier ,, lui : celui réel, là, tout au fond. pour se noyer un peu plus dans ces douleurs aux fragrances de printemps.


joue ces rôles fantasques pour ne pas t'impressionner ,, il s'en fait valet imprévisible ,, à faire taire les poèmes ! car ils n'en étaient pas beaux, entre ses lèvres. alors vient à t'énerver contre lui ! hausse ces voix si mélodieuses : qu'il n'en n'ose plus commettre d'outrages face à sa déesse. lui, à n'être que simple humain déchu aux rangs les plus bas ,, n'en mériterait que les ignorances ,, à se languir de toi : sans comprendre ! que tes silhouettes ne pouvaient pas rester éternellement auprès de lui.

observe :
ces langages silencieux.


— Oh I see, you want me to kiss you on the neck, right ? mais il sait ! que ta voix avait déraillée : qu'elle ne chanterait pas, ce soir, pour le bercer de tes beaux songes. et pourtant d'un écran à venir en déjouer ses envies, il haussa les épaules : à se laisser tirer. et tout ce qu'il viendrait à penser derrière ces menaces si parfaites : c'est à quel point tu en étais d'une beauté à le tuer. ô loin des images à se dessiner sur ton visage ,, de ces caractères, à venir t'en choyer de quelques couleurs. tu resplendies : et il devient fou.

— Your voice is gone, so I can mess with you how much I want. Isn't that wonderful ? à attraper tout doucement son poignet ! venir en épouser le revers : remonte à ce visage ,, pour en épouser les lippes aux alcools enivrants les carmines. — Try to be mad at me, it could be fun. d'un sourire malicieux ! qu'il en caresse du bout de sa phalange le creux de ton cou : ô et peut-être viendraient-elles à revivre ,, sous les caresses si subtiles ! ces vocales à se cacher de lui. vient à en finir sa coupe ,, pose les verres comme présent oublié ! et dit lui, Heera, ô combien il n'en était que trop risible : à ne faire que penser à toi. — So, were you having fun ? Did you dance ? dit lui : pour qu'il en oublie ces peurs qui en avaient tordu les entrailles.


— You should show me how to dance. It would be a good mood, with some music, and  glass of wine, no ? rêve encore de grandeur ,, il t'en tendrait la main discrètement comme invitation furtive, à faire comme s'il ne savait rien ! quand les corps venaient à valser si aisément. — Forget it. I'm not that good, and I prefer messing with you. menteur. à ne juste pas être assez décent : pour t'en offrir ces contes imaginés, dans ces ruines. quand il en crevait d'envie ,, ironie à n'en montrer que ces faiblesses. — Unless you teach me. You won't need to yell at me. se rattrape ! joue ! à vouloir semer le doute ! quand le corps se penche ,, vient à en déposer baiser : sur l'épaule à faire frémir les regards.
efface ces idées folles
à croire : que tout vous était possible.
pour narguer les cieux.

Douces conneries.
Douces moqueries.
Ils en repeindront le monde.

De ces blagues sordides.
Comme il était bon d'en illuminer la nymphe

I beg you, don't embarrass me, motherf*cker

Si elle en tombe toujours plus pour lui. Si elle n'en voit qu'à travers ses prunelles si sombres, porteuses des secrets criants. Si elle n'en réclame que ses compliments bien dissimulés, ses caresses jamais cessées. Ces envies d'en crier aux scandales, à une chute vertigineuse  qui en éveillerait les nausées, pire que toutes les explosions qui pouvaient tomber sur cette ville. Elle pourrait cesser de croire en sa lumière, il y croirait encore jusqu'à faire taire tous les menteurs.

Don't make me hate you prolifically

Faire proliférer, les lames envers sa personne, qu'elle en paie les coûts de sa fuite et d'en choisir le diable comme refuge. De tous les jeux dont il a besoin pour vibrer, à lui refiler oxygène à toi, Heera, asphyxiée d'en être si droite. Outrages qu'elle accepte, qu'elle adore de ses plus grands silences, remercie le ciel. Et pourquoi c'est toi qui me fait vivre à nouveau ? Si ce n'est la première fois. please, please, please Un peu plus de toi, Hokuto. Qu'il en donne ses lèvres aux gouts du carmin, il en profiterait de tous les plus beaux présents incapable de s'enfuir à présent de ses meilleurs rouages.

Colère commune.
Presque addictive

Un tour dans les veines.
Elle fleurit.

Il n'en resterait que les iris pour lui exprimer les mots cloués. Les frissons qui trahissent tous les arguments, les oeillades jamais similaires aux réponses du corps. ((Tu finiras par me faire mal.)) Don't bring me to tears when I just did my makeup so nice S’il veut connaitre les danses qu'elle n'a jamais eu la chance de valser, à l'intérieur de ses étreintes pour se rassurer au rythme de leurs pas. Démon en à trouver la beauté d'un lys autant admirative de lui, même à chaque excès. Il n'en reste que les mains, à se débattre, pousser, tirer malmener, prunelles à écarquiller, lèvres qui s'entrouvrent toujours dans le vide. Provocation par millier, il ne pourrait jamais s'arrêter, sa nature n'étant pas ici. Qu'elle en devient si agitée, perdre le calme qu'il la catégoriserait. Caresse rapide dans les mèches ébènes, en retenir d'en déposer baiser, d'en humer le parfum une fois de plus. Now I can't even look at you

Vous pouvez y croire.
Tout est possible.
Les absences égarées
Maintenant que la musique est effacée.

Griffes à se resserrer sur les épaules, oxygène ravalé, arrêter de respirer, juste un peu, pour s'écarter et se redresser sur ses pieds. Princesse d'une nuit, elle pourrait en offrir presque les balades romantiques. Une valse dans tout ce carnage. Talon tapant au sol, index pointant l'endroit pour qu'il s'y joigne. Qu'il offre la danse, même si les étoiles ne leur collent pas à la peau.Et quand il apprend l'impatience, elle vient en joindre les mains aux siennes pour qu'il vienne sur la piste.Elle en accuserait les alcools, victime facile.En accuserait cette nuit terrible aux innocents, à sa perte de ne pas les avoir sauvés. Mais il n’en résulterait qu'une seule réponse, qu'un seul coupable. Scared I'll find out that it's true


Poser ses phalanges sur ses hanches positionnées l'homme pour en former la position des amants déchus. Grimaces sur les traits et cette envie de poser la tête sur son épaule, ravaler par cette lèvre inférieure mordillée trop fort. Musique qui pourrait s'en éveiller des lattes affaissées, des murs lacérés quand ses pieds annoncent les premiers pas, menton se relevant pour lui tenir tête. Mais tu es si faible, si peu crédible. Même si les épaules en sont parfaites, doigts qui trahissent le tout, caressant la sienne, replaçant leurs formes pour n’en effleurer plus que l'épiderme et mimer de ses lèvres.
YOU'RE DUMB

Pour éviter d'en prononcer.
De ne plus lâcher à nouveau.
Et réaliser qu'elle ne pense qu'à toi.

repeignez ensemble :
ce monde si fade.


alors enlace ces fantômes, pour les rendre réels : car il a peur ! ne le dira jamais. de t'en voir t'enfuir ,, loin : là où ses doigts ne pourraient plus t'effleurer. et alors tout en redeviendrait gris ,, de ces visions qu'il méritait. car tu n'es toi même digne que des maux les plus infâmes. ne te fourvoie pas : songe aux horreurs, car Hokuto, si tu en devenais trop heureux, les chutes finiraient par te tuer.

c'est toi, Heera
qui en serait sa faucheuse.


qu'importe si les voix ne venait pas à résonner ! il en ferait sonner les corps : car c'en étaient les seules réalités qu'il voulait croire. celles à ne jamais vouloir tromper ,, trop innées, d'un naturel à envoûter ! car rien ne peut en cacher les émotions, comme ces mots affabulateurs, quand les peaux s'effleurent : qu'il t'en vole tout ce dont tu aurais aimé lui crier ! alors juste le temps d'une soirée, laisse le rêver encore un peu.
donne lui ces danses :
pour qu'il s'effondre
dans ses vestiges.
qu'il provoque ,, qu'il t'en susurre idioties : et toi tu n'en prononcerais jamais les sentences. alors qu'attends-tu, pour le renier ? lui ,, à jeter les éclats, pour te regarder briller toi seulement. car si tout devait se terminer, alors il aimerait pouvoir valser ne serait-ce qu'une fois : comme pour t'en offrir ces douceurs encore inconnues. regarde le encore juste un peu, comme lui venait à le faire : qu'il en croise tes iris pour sourire un peu plus. griffe le de tes doigts contre les siens ,, emporte le : jusqu'à ce qu'il s'offre tout entier à tes vertus merveilleuses.


d'un corps à en suivre le tien, lève les carcasses ! pour en rejoindre les ordres silencieux. qu'il rigole d'un air trop chaleureux ,, s'en fait comble de tout un univers ((le vôtre)) et ça bat trop fort : et ça le tue. — It seems you know what you're doing. You're a pro ? attrape ses mains ! qu'il se laisse faire. épouse ton corps : à en tenter les imbécilités. quand il en connaissait chaque rouage, voudrait t'en montrer ,, qu'il savait en choyer les silhouettes. serre la taille de ses paumes, vient t'enlacer un instant comme éveil à se faire ! il rigole ! n'en quitte jamais ton visage. et peut-être que juste une fois arriverait-il à croire : à ces ballades que tu lui promettais. épouse ses épaules ! quand lui t'en garderait tout près. rapproche les visages, pour embrasser la tempe, et susurrer : tout ce qu'il savait déjà. — I know I am. But that's what you like, no ? des pas à ne pas se faire si hasardeux ! il viendrait à en prendre les devants.

ronde parfaite :
laisse le faire ,,
repose toi sur lui.


— I hope it's better than at your party. car il ne peut s'empêcher d'en tisser les remarques ! te fait tourner : rattrape la figure ! laisse les sols craquer ,, sous les silences misérables. à n'en faire sonner que vos pas ! comme douce mélodie. il en décrocherait la lune, l'accrocherait autour de ta nuque : comme souvenir permanent ! souviens-toi de lui. comme si c'en étaient vos derniers mots. glisse ses doigts au creux de ton dos, vient à se pencher pour en coller son visage contre ton cou ,, ferme un instant les yeux : respire ton parfum ! et comment faire, si lui s'était déjà perdu entre tes bras ? — It's quite nice to dance, finally. qu'il murmure, t'en raconte les tendresses oubliées : et juste là, viendrait-il à s'en montrer trop docile. trop sage. comme pour en apaiser tous vos maux de quelques mouvements à balancer les corps. emporte les loin des orages ,, d'un baiser contre la nuque ,, enlace le : comme si le monde pouvait disparaître. — It feels nice...

alors ne le lâche plus !
étouffe le : jusqu'à ce qu'il succombe
à ces idylles fantasmées.

Même en créant les chutes
Il serait mieux que tout

Meilleur que l'oxygène et tout ce qu'elle s'était déjà offert, à presque devenir incolore pour lui, le suivre dans un monde ne lui appartenant pas, peau qui en brûlerait instantanément s'il devait en frôler les parois. À se couper les ailes pour tenter de le suivre quand même. Ne plus en discerner les regrets et l'égo. Il n'en restait plus rien. Voix maintenant évanouie pour protester toute sa haine. Admire les plaies béantes qu'il laissera derrière. Après un léger conte de fées dont elle n'y croyait déjà plus. Mais elle avait osé. Juste une fois.

Faucheuse.
Chacun leur tour.
S'entrainer.

Mais jamais l'un sans l'autre.
Leur perte, leur lumière à la fois.

Elle n'en aurait jamais offert danse, moindre valse, incapable d'en connaitre la moindre tendresse, piquante dès qu'elle le pouvait, dès qu'il était possible d'en lâcher un simple soupire. Et elle en ordonnait, pourtant, l'union qui en ferait, encore et encore le démon qui s'adonnerait à tous ces jeux. ((Eros je te maudirai d'en être ma perte.)) Et te pardonnerai de m'en faire fleurir même si cela doit être aux bras d'Hadès. Elle aura peur de tout. Même aux monstres sous le lit qui n'ont jamais figuré. Peur de ne plus jamais rien connaitre en sa présence. En commençant par ses phalanges posées sur sa taille avec un naturel déconcertant. Peinture qu'il connait, classe des hautes sphères qui lui appartient comme les ténèbres. Joyau malgré les enfers. Baisers répétés, demandés, cette manière de l'aduler dans un simple regard, d'arriver encore à la faire rougir même après avoir découvert tous ses rouages. Rougeurs jamais bordés d'un sourire, lèvres si souvent pincées, d'une mâchoire contractée, de lui répondre, de vouloir lui résister, frisson pour la trahir, les mains tous autant.

Laisser les rondes apparaitre.
Fondre dans ce pilier.
Visage à se choire contre l'épaule

Et dis-lui comme c'est mieux.
Même si ça fait mal

Comme chaque ronde est extraordinaire, rends les pieds plus faibles, les jambes presque molles. Il n'en reste qu'un seul guide, se laissant valser par lui maitre des arts. En trouver protection, refuge impénétrable. Mains en s'en détacher pour en serrer le corps, étreint, offrant plus grande symbiose de leurs corps et offrir message qu'elle aurait aimé éteindre. Du bout des doigts, en tracer trois lettres : Y E S.
Oui, il n'en est plus addictif que toutes ses soirées.
Oui, il est bon de valser auprès de lui.
Oui, elle ne veut jamais que s'arrête.
Baiser contre sa nuque à son tour, mèches qu'elle aime enrouler entre les doigts éternellement. Baiser contre le cou, contre la joue. ((Et heureusement tu ignores à quel point j'ai été un désastre ce soir.)) Plus que tous ses décombres, nouveau lieu de leur rencontre.

Et quand elle en serait assez à bout de souffle, les pas en connaissent la fin, l'arrêtant dans ses gestes. L'observer dans la lumière de la lune, comme la première fois, l'ayant connu ainsi, sous la lueur des astres laiteux. Cette envie de lui dire de rentrer avec elle, mais toujours résister d'en donner plus grand secret. Remercier la voix incendier, se rappelant quand les lèvres s'entrouvrent soufflant le vide.  Se résigner à tout ce qui lui reste. M O R E. Reprenant les pas pour guider cette fois à sa place. D'en avoir la chance de le charmer à son tour, qu'il en supplie encore Lilith, elle-même esclave aux multiples étoiles dans les iris. D'en prendre les doigts de l'homme, posant sur cette poitrine qui se débat, hurle douleur dès qu'il est là, sans jamais arrêter les pas.

Bouleversés n'étant plus le terme pour décrire leurs états.
Ébranlée et forte.
Peut-être en manque de sourire.
Mais pas moins d'admiration.
Et de réclamations.

I'm mad for you
It's sad but true and I know it

chante ton nom
à ces tympans :
si sourds !


monte jusqu'au soleil pour en embrasser ses éclats ,, brûle ces peaux que la lune venait finalement à réparer. quand ce soir tout n'en était que chaos : mais ici, les réalités venaient à vous fuir : à créer de vous-mêmes chaque beauté à effleurer, pour qu'elles viennent s'en éteindre comme secrets, lorsque les corps se sépareront. et de ces idylles, tout en devenait si complexe, loin de ces valses miraculées d'entre les débris d'un monde.
alors juste un peu :
écoute tes réponses :
du bout de tes lippes !
car les silences en étaient toujours tes meilleures réponses : de ces sourires qu'il t'offrirait ! quand tes phalanges s'en faisaient diseuses de bien des promesses ! qu'il veut en être le plus grand, à tes yeux : même si lui ne viendrait jamais à briller, comme toi tu le faisais. alors plonge le dans ces démences sans fin ! celles à venir lui faire croire qu'il pourrait t'en faire sourire à son tour. quand viennent à tourner les corps comme pour tout oublier : de quelques baisers à effleurer les peaux ,, comme amertumes à s'envoler.


sous les étoiles, sous les chaos ,, dessinez ces miracles infâmes ! quand il s'en fond contre toi, enlace les figures ,, donne lui un peu de toi, comme lui venait à se perdre dans vos étreintes. car ça fait rêver, car il ne veut pas oublier ! ces regards que tu venais à lui offrir : toi, déesse intouchable ((à t'échouer contre ses paumes)). qu'il vint à t'admirer, de ces pas à se rendre muets à leur tour. comme pour t'en laisser choisir : si tu viendrais à sombrer un peu plus, dans ses propres enfers. mais peut-être en était-ce finalement devenu les vôtres : à tout oublier ensemble ,, comme si plus rien n'en méritait votre attention. quand tu en captivais ses iris : toi ,, à en avoir toute la sienne.

un peu plus : à la dérive.
Lilith ,, épouse Hadès :
à travers les temps.


alors il s'en laisse guider dans les rondes splendides ! te laisse cette main à effleurer les myocardes. car ça sonne si doux, sous ses peaux, et les regards en suivent ta figure, pour dessiner ta nuque jusqu'aux invitations silencieuses à t'écouter. qu'il t'en offre quelques pas nouveaux, resserre ta silhouette contre lui : avant de tout arrêter. — Let me listen to it more. comme si les malices s'en faisaient perpétuelles : à ne rien vouloir arrêter ! sauf si c'en était pour se retrouver contre toi. qu'il en saisit tout doucement tes mains, recule pour en retrouver les sofas délabrés ! te tire bien trop délicatement ! quand tu en étais si précieuse : à venir coller sa tête contre ta poitrine, tympans aux portes des merveilles ,, à venir s'en faire si silencieux, de ses bras à t'entourer. ferme les yeux, soupir oubliés contre les peaux. et juste à cet instant, il t'en offrait chemin vers ses faiblesses les plus immenses.


— Can't I just stay like this ? car les battements apaisent les inconscients, détend ces corps trop usés ! jusqu'à ce que n'en meurent les peurs de te perdre incompréhensibles. car tu en provoques émotions : qu'il avait rejeté depuis si longtemps. —It's sad. Finally I love hearing your voice. comme d'une conclusion ! à une réflexion trop logique : car le calme venait à le laisser se porter par tes parfums. à comprendre, que sans toi, il n'en était plus rien. car lui n'en n'hurlait de plus aucune douleur. — Can I tell you a secret ? comme s'il viendrait à t'en révéler tragédies ! quand n'en sortirait de ses lippes que vérités évidentes.


alors de ses sourires :
réclame lui ,, tout ce que tu voulais.


à en tuer : tout ce qu'il était.

He ruined all my plans
And he just makes me so crazy

I know everyone sees
That he'll be the death of me

Incapable de s'en voir refuser la moindre chose dès qu'il se voudrait désireux. Forget me. Pour nous avoir imposé ça. D'en avoir emprunté cette routine qu'elle ne savait pas faire sans. Cette même route pour en croiser le même chemin et ne finalement jamais quitter cette échine, cette épaule si naturellement caressée dès le premier instant. Elle en aurait dû être moins mystérieuse, moins piquante pour ne pas en tirer le jeu. En éveiller les prunelles curieuses, les rires probables des jeux de Satan, homme qui s'ennuyait de ses propres instants sombres, jusqu'à en accepter quelques couleurs même trop diluées. Elle en était qu'un blanc trop criant ou d'un noir trop sombre. Et pourtant.
Ça suffisait.


En faire redoubler les ardeurs du myocarde déjà essoufflé. En faire grimacer ce visage de poupée, ne connaissant pas toutes ces précipitations pires qu'un feu d'artifice à même la cage thoracique. Côte qui s'éventre pour laisser l'organe rejoindre le sien et s'écouter dans leurs propres chants. Seules protestations de ce monde n'était que les traits tendus, pieds suivant la trajectoire, corps criant la présence, à s'en déchirer la voix.  ((Tu t'en passerais au bout de tes peines.))
Jamais, même. Naive.
Tête qui se pose sur cette poitrine, fragile, presque transparente, vitre fissurée, Entend-tu sa douleur ?
Lilith déjà épouse d'Hadès.
Perséphone volatilisée.

Il en avait préparé le terrain.
Rabattu les certitudes.
Et pourtant.

Elles tremblent encore, les phalanges quand elle comprend. À ne plus savoir le toucher quand il souffle les vérités. À ne presque plus oser de peur de l'abimer, hiver de nature, désirant plus que jamais d'être l'été. À le laisser épouser confidence qui en fait trembler tout son être. Tu pourrais presque en pleurer Heera. Si tu savais comment faire.


Le silence en était presque une bénédiction, car les réponses manqueraient et tes fuites Hokuto, n'en serait plus qu'impossible, moqueries retirées, Heera ne pouvait même pas s'imposer. Apaisante pour la première fois, plus qu'en dehors d'un chant, aussi par la simple présence, loin des sommeils inévitables. S'allonger sur le sofa pour l'accueillir contre elle et finalement arriver à trouver les touchers lumineux, poser les doigts contre le crâne, retenir cette tête presque si fragile. Retenir pantin contre elle, ils éclatent dans la nuit dans leurs contrastes de lumière. En caresser un instant les traits dissipés contre son âme, pousser les mèches sur ce front pour en voir un peu plus, en voir toute la vulnérabilité du monde en lui.
Et peut-être que tu en mériterais plus.

En voler baiser sur les lèvres pour ne pas qu'il pense à une fuite possible. Fouiller dans le sac pour en trouver foulard de soie. Poser sur les yeux, lèvres contre l'oreille pour en susurrer en silence de lui faire confiance. Le faire voyager entre les débris, le tirant d'une main. Passer entre les portes d'une planque qui n'était pas si loin du quotidien, jusqu'à arriver à ce monde, jamais partagé. ((Maison bien à elle. )) En déverrouiller la porte, mais ne pas lui laisser la chance d'en admirer les murs. Continuer l'ascension vers l'inconnu, jusqu'à sa chambre. Refermer la porte, retirer enfin la soie, pendant qu'elle retire bijoux devant sa glace, pour se cacher un peu de ce qu'il était sur le point de découvrir, sa vie entière, une intimité rudement gardée. Rien de fabuleux.

Réalité sur ce monde pauvre, n'en était rien d'une reine.

A moment of warm sun
But I'm not the one

room // room2

qu'il voudrait dormir :
éternellement !
contre tes poumons.


là ,, quand les corps viennent à en créer harmonies de quelques pas ! que tu en laisses traînées de blanc ou de noir : lui venait à en trouver nuancier parfait ! pour toujours t'admirer dans ces somptueuses teintes. car tu ne les vois pas ! ces tons à s'en faire divins. un peu comme toi ,, très loin de lui.
et jamais :
les mains ne te
lâcheraient.
de ces visages mélancoliques, c'est lui qui viendrait t'en chanter péans ! ceux contant ô combien les nuits pouvaient en être belles ! tristes ,, jusqu'à en être vos dernières. mais c'en étaient les douceurs qui viendraient régner ! loin des immortelles douleurs : pour simplement se contenter de t'avoir entre ses bras.


abîme le ! comme lui viendrait à le faire sans le vouloir. tu en devenais refuge loin des carnages ,, quand les rues s'en faisaient moroses : et toujours plus joyeuses, quand il pouvait venir te rattraper ! t'emmener loin de tout, entendre remontrances et invectives pour en renaître sous tes voix muettes. mais à ce moment : il n'y en aurait que le bruit de vos étreintes ! qu'il en suit les corps, vient à resserrer ses bras autour de ta taille ! lève les corps pour venir se reposer contre toi ! cils à effleurer les joues, soupir presque de complaisance ; arrête le temps ! là, juste là. pour ne pas que tout ne vienne à s'effriter.



de ces touchers à faire frémir ses innocences oubliées ,, tu en dérobes ses sourires ! vient à le faire tout doucement s'oublier : de tes contacts, à épouser les peaux ! quand il vient à rêver, d'en connaître les repos éternels entre tes bras. lèvres à s'éclairer ! écoute les doux soupirs : mais Heera, tu avais déjà tout de lui. quand tu lui en voles précieuses pour en assombrir les regards. vole lui ces quelques fuites possibles ((quand il n'en désirait rien de cela)). nuit à s'éterniser : mais il n'en voit plus son étoile ! celle à illuminer les nocturnes même quand en sonnaient les glas. — You're really something...You know if you wanted to blindfold me or if its your kink you could just have said it ... de mots à s'amuser ,, car il t'en laisserait tout faire !
des blasphèmes :
aux incandescences
virtuoses.
accroche ses doigts aux tiens, ne fait qu'en suivre les pas comme douce mélodie : guide le, jusqu'aux Cieux ! monte vers les précipices ((tes secrets)) ! ceux ô jamais partagés. quand les tissus retirés, il vient à en découvrir tout ce qui te compose : de quelques notes abîmées, n'en juge pourtant rien ! découvre de ces iris morts les lieux à s'adoucir de ta présence : toi, à en retirer tes apparats si lumineux ! pour redescendre sur ces terres flétries. — I guess we're at you're home ? qu'il sourit : espiègle ! à en guetter tous les détails qui faisaient de cet endroit le tien.


qu'il s'installe sur le rebord de ton lit ! attend que tu en défasses tout ce que tu avais autour des nuques : ouvre ses bras, agite les doigts, pour t'inviter à en rejoindre les étreintes. — Aren't I a bit too privileged ? What an honor. qu'il sourit ! vient à vouloir te protéger de tous ces maux ,, recréer un monde, où tu n'aurais plus besoin de briller, pour réellement en être scintillante. — Guess I really am. Can I sleep here ? pronnonce les naïvetés ! vient à s'en montrer bien trop joyeux : ignore les décors de vos tragédies, car ici venait à vivre un peu de toi. ((à tout aimer)) — Or do you wanna blindfold me again... quand lui ne viendrait qu'à vouloir te garder contre lui ! enlacer les corps, cogner sa figure contre ta silhouette, pour en retrouver ces apesanteurs passées ; celles à lui donner envie, de continuer de respirer.

fabuleux :
à ses yeux ,,
ces ronces
intimes !