lighthouse ((hora))

Without you here
Everything feels so clear

À trébucher vers le déni toujours plus fort, s'emparer du peu de choses dont elle peut en créer une attaque féroce, lui bloquer l'accès des messages et presque en rire de s'épargner un instant de sa présence, si dangereuse.
Aux creux des poumons.
Chaque poussée d'oxygène.
Il y est.
À se rappeler comme il les cassait, c'est tout ce qu'il en reste, esprit à s'accrocher aux chevilles, n'en jamais relâcher la moindre prise pour s'hanter de ses traits même les yeux ouverts. Incapable d'assumer proprement, comme il avait raison de te le reprocher.


Tout ce qu'elle aimerait se faire croire à elle-même, les papillons, bourdonnements au creux du ventre exprimant la hâte, une nervosité nécessaire de revoir les traits, s'arrêter sur chaque visage et espérer y relire les mêmes traits. Repousser pour mieux retrouver et continuer de feindre l'indifférence. Refuser de voir les réalités criantes devant soi, démon réel qu'il était fréquentation qu'elle devait laisser derrière. Et tout ce qu'elle trouve pour calmer les palpitants, cylindre goudronné à étouffer les poumons de tabac avec des espoirs de calmer les nerfs abimés, à l'attendre au détour d'une ruelle, comme si elle ne voulait pas être vue avec lui.
Tout était bon pour y croire.


L'araignée sait toujours se faufiler, à faire sursauter, Lilith, sans jamais longueur d'avance. En juger la carcasse, ces envies de vouloir s'accrocher au cou pour unir les pulpeuses et étouffer les envies revenant toujours à la nicotine. «Tu t'es pas perdu, bravo.» Espérer qu'il en perde un peu le nord et le magnétisme qui ferait en sorte de la retrouver peu importe l'endroit.
Mais c'est le tien, Heera.
Qui le retrouve.
Ta propre attirance ravalée.
((En train de te tuer sur place.))
«T'as parlé combien de temps dans le vide avant de réaliser que je t'avais bloquée ?» Fierté des coups bas pour n'attiser que la course et espérer la venue au point de rencontre.

et comment respirer ?
quand les poumons, en avaient été volés.


il déchante ! trahis les jeux infâmes ,, quand il en vient à prier que tu ne t'en éloignes jamais trop. empare toi de ses Enfers ,, il voulait venir respirer : ces candeurs que tu lui offrirais. cache ses monstres ,, au font des cages thoraciques. dissimules les crimes : comme pour ne pas t'effrayer. et pourtant, chaque instant passé ensemble venait à t'en faire croire un peu plus humain ! oublie ,, ces hérésies ! vient à lui fermer les yeux, sur ces maux que tu venais à créer. alors ne t'en montre pas trop proche : cache toi de lui, en public. car personne ne devait te voir avec lui.



malédiction lancée ,, sort inarrêtable ! bannissez les de ces royaumes artificiels ! qu'il t'emmènerait parcourir le monde ,, pour en fuir les oracles néfastes ! et aujourd'hui ,, peut-être viendrais-tu à comprendre : qu'il n'en était que figure à se faire fantôme, dans ces mondes ! quand il vient à t'observer, de loin ,, savoure les visions ! cache les visages, d'un masque à ne pouvoir qu'en être ôté de nuire. comprend le, ce n'est pas toi, qu'il viendrait à fuir. mais eux, de leurs regards à transcender les esprits.
alors il s'approche !
te dérobe : tes nicotines
pour te saluer ,, de ses arrogances.
vient à t'en voler bouffées de poisons ,, habitude qu'il finirait par te prendre aussi : pour que tu en trouve toujours plus agaçant, celui qu'il était. — Tu vois, je retrouve toujours mon chemin. à toi, s'en grandir ! pour en imposer les prestances. t'en rendre tes cigarettes, venir sourire délicatement, pour en hausser les épaules. — Tu n'as qu'à me débloquer. Tu verras tous mes petits messages. comme pour se jouer de lui : et regarde, à quel point il t'en était dédié !


dans ces allées à s'en devoir si précieuses. — Mais je te supplierai peut-être plus tard. Allons-y, à moins que tu ne veuilles que je le fasse au milieu de la rue. car ainsi, il pourrait continuer à t'admirer ,, toi à en être plus qu'un simple souvenir.  qu'il t'attrape alors la main ! vient t'en offrir visite dans ces lieux si particuliers ! s'approche des entrées, saisit l'épaule de l'un de ces gardes : pour venir effacer leur visite prévue ! quand tu découvrirais : que les murs y étaient vides de monde. — Tu voulais aller au musée, non ? Alors profite. Ca n'arrivera pas tous les jours. de l'avoir seulement pour toi. de ces paradis recrées, il viendrait t'en protéger silencieusement.  car il en avait réservé ces allées ! soudoyé les âmes : leur avait tout fait oublier. — On a un peu de temps devant nous. avant que ne vous rattrape les réalités maudites. car tout était éteint : à en avoir déjà fait le tour ! personne ne vous verrait, aujourd'hui. garde la pour lui tout seul ,, à en empêcher le monde de t'aduler toi !
que tu resplendis
entre les arts !
mystérieux.

À n'en vouloir voler plus que l'étouffante nicotine.
D'une âme tout entière dévorée
Et les successions de pensées pour tes traits.

Take away the memories
Erase them, push them out to sea

Les permissions trop présentes, trop rapprochées, ils étaient encore là, à s'entrecroiser dans ce monde qui ne voulait pas d'eux.
Danger.
En jouer des interdits.
Elle n'avait pas assez consciences des vérités horribles pour le laisser s'approcher aussi facilement, le laisser l'énerver trop facilement, renvoyer que de simples regards mortels quand il se voulait jouer à chaque instant qu'elle respirait. «Rends ça.» ((Échange les places, immisce-toi à sa place.)) Jamais ne lâcher les prunelles volant au ciel, au rire sarcastique pour se moquer à quel point il pouvait bien ramper. Toi, Lilith, qui aimait toutes ses révérences, à l'imiter pour en faire de même. Qu'il te remarque encore et encore pour ne jamais tomber dans son oubli douloureux.  «Je verrai si tu mérites..»


Ne jamais laisser la belle réfléchir, ses fuites si terribles, si rapides, mains déjà jointes, éclats des souvenirs comme flashback qui la tourmente et lui en chatouille la nuque tout l'épiderme. «J'aurais aimé te voir me supplier en plein milieu de la rue.» Et d'un pouce qui caresse l'intérieur de la paume, la sienne, chaque parcelle de sa chair portant les éponymes du lys blanc. Puis l'écarter quand il fait son manège, en froncer les sourcils, puis soupirer, presque une envie de rebrousser chemin quand elle comprend.


Descendre une marche. «T'es sérieux ?.» Les échappatoires volatilisées, il en offrirait les silences si souvent réclamés. Alors il n'en resterait que leurs regards et leurs pensées, prisonnière de Lucifer de nouveau.   «Je vais aller avec toi toute seule là-dedans ? » Entendre le vide ravissant, le coeur qui balance, voir comment il pouvait tout donner pour elle. Charmée, bordée de ses colères.  «Putain. » dit-elle entre les incisives s'engouffrant dans les lieux.  «Hokuto...» Murmure entre les lèvres. «T'avise pas de me coincer dans un coin pour... » Des paroles qui s'arrêtent en plein milieu, prunelles qui s'agrandissent et rougeur des pommettes.
Toujours la même.
Le devançant entre les oeuvres, presque en fuite.
Ainsi, évitez d'en poser ses iris sur toi.
Pour en devenir le seul chef d'oeuvre qu'elle puisse vouloir admirer.

vie insupportable :
quand les corps
s'en éloignaient.


te piéger, dans ces lieux si merveilles, tu en amuses, extases à faire frémir les regards : et peut-être que juste un instant, il venait à rêver de quelques poisons à s'en partager ! pour vous tuer à deux, dans ces tragédies si sublimes. qu'il en rit ! roule des yeux, vient à te capturer un instant entre ses doigts ,, pour que tu ne lui échappes pas à nouveau : loin des lueurs des cieux.
juste un peu :
à serrer vos phalanges !
comme destins
liés.
— T'es sûre ? Ca peut toujours s'arranger, mais j'espère que tu encaisseras les conséquences. de ces regards à juger, de ces yeux à vriller : quand lui viendrait à faire cela dans l'ombre ! pour que personne ne t'admire. pour que personne ne t'observe : à en ruiner tes triomphes ! ceux à flâner sur le bout de tes cils, épouse les rougeurs passées de tes joues. qu'il en savoure les caresses, jusqu'à ce que tout ne s'estompe !



qu'il t'en délivre de tes prisons : vient t'en offrir instant de liberté ! et peut-être venais-tu à ranimer les éclats ,, de tes pensées ,, à s'en faire plus vives que les siennes. ((à avoir déjà : tout imaginé)) de ces murs, à abriter : déesse éternelle. — Te coincer pour ...? Dis moi...Tu penses à des choses bien trop peu innocentes en ma compagnie... vient à t'en retourner les ferveurs : car qu'importe ô combien il viendrait à t'épouser de ses regards ! il ne t'en écorcherait pas à nouveau. — Dans tous les cas, le musée est à toi, alors fait ce que tu veux..J'ai des manières, tout de même. d'un sourire à se faufiler à ses lèvres, qu'il en vient à te rattraper !

s'accroche à toi !
enlace les tailles :
pour t'en susurrer...


— Je ne compte pas te sauter dessus ici, rassure-toi. effleure de son souffle ton oreille ! — Alors profite, et amuse-toi. à ne pas vouloir en avoir fait tout cela : pour t'en tirer tes simples colères. qu'il en relâche sa proie si délicate : pour s'éloigner, ranger ses mains dans ses poches ! te laisser vivre : dans ces lieux qui t'en étaient dédiés. comme pour en repousser les silhouettes ,, vient à se poser dans un coin : t'observe discrètement, à tourner entre les peintures. sans ne jamais s'en retrouver ,, dans tes allées. splendide lys ,, reprend de tes blancheurs, ici. car personne ne viendrait à en déranger : ces paix si grandioses ! alors il te laisse respirer, essaie de t'attraper du bout de ses doigts au loin ! comme dulcinée si délicate.
comble tes absences :
par tes figures
divines.

I guess the world's not enough

But if you walk away , remember
I need that heart to breathe

«Tu continues de prendre tes rêves pour une réalité. » Et me surprendre d’en faire de même dès que tu brilles dans la pièce.

Des conséquences jamais encaissées, qu'elles viennent l'écorcher plus qu'elle ne l'était déjà. ((Si c'est tout ce qu'il reste de nous.)) Quand l'écroulement sera prononcé, les souvenirs vivants de n'être qu'une reine dans un seul et même univers subsistera même dans les derniers rêves essoufflés. À n'avoir jamais été naïve, doutes terribles, forment leurs griffes autour de sa chaire pour toutes les cachettes réclamées.
Il n'en resterait que tragédie.
Cette taille enlacée.
Ce thorax au abord de la mort.
Symphonie maudite.
Quand il l'étreint, pose ses paumes sur la porcelaine, jusqu'à détruire le souffle, éveillant des frissons dignes des pouvoirs des enfers. Index à effleurer les phalanges, aux paupières presque voilées, sol dérobant du lys blanc pour rejoindre les flammes. Renaissance entamée. Sweet blasphemy Renaissance éclatée.


Et si j'en suis ton tableau, sois le mien.«C'est toi qui est intrigant...» Murmure gardé pour elle. Offrant toujours les plus beaux plateaux d'argent et ne se contenter que d'un paysage qui ne figure même plus sur les oeuvres, danse de cette diablesse se guidant de ses fascinations sur elle pour choisir son chemin. Touchée, comme elle balance pour cet instant unique et le sentiment de vide puissant d'en être loin et presque oublié les arts vénérés si souvent savourés.

Que tu es beau
Dans toutes tes vénérations
À m'offrir le monde.

Emprunter un couloir, volatilisée et en retrouver les omoplates, l'échine, t'observer de loin un instant. Aimer même les simples mèches mal replacées sur ton crâne. S'approcher, effleurer le bas du dos d'une phalange. «Qu'est-ce que tu as à cacher ou à prouver Hokuto ? » Accrocher les abords du pantalon du même index. Contact futile. «Tu voulais vraiment mon attention pour me réserver un musée complet, mais on a toujours si peu de temps. On ne devrait pas être là...non ? » Pour toute réponse, elles volent en éclats, se posant à sa hauteur pour en élever les talons, en offrir ultime offrande sur cette joue connaissant les manèges. «Bien joué. » Quand elle est charmée, une fois de trop, quand il rampe alors qu’elle est à genoux pour lui.  «Arrête de m’observer comme une proie et viens » À s’aventurer dans la prochaine pièce.

Te quitter
Pour mieux te retrouver

miroitent :
ces folies
à vous guetter.


voltigent ! pour t'emporter avec lui, dans ces danses macabres. qu'il en aime ta voix, vient à le charrier de tous ces maux qu'il venait à mériter : ô si tu savais, les idées n'en étaient que funestes naufrages permanents. et peut-être en voulait-il réellement : que ces rêves en deviennent votre réalité. t'ignore ,, vient encaisser ! oublie les absurdes : car tu en étais seule qu'il ne voudrait pas effrayer.


Reine à se frayer chemin : il t'effleure un instant, comme pour t'en voler tes souffles. s'amuse de ces allures si innocentes : pour te les voler aussi, ces candeurs sublimes. t'en dérobe tes mots ,, se soustrait à tes visages ,, pour t'en garder toujours là, où le monde viendrait à l'oublier lui. simple statue à se mouvoir ,, ondule dans les pièces : tu en es maîtresse des lieux, et lui ne peux plus t'ignorer ! de ces regards à ne faire que te détailler.


à en être sa seule pourfendeuse :
à pouvoir l'atteindre.

qu'il en tourne la figure, vient à crisper les doigts : sous les envies de t'attraper pour en sentir tes peaux. accroche tes doigts à lui, vient à le faire sourire ! quand tu venais à frapper à la porte de ses Enfers. et que viendrais-tu faire, si tu en entendais les histoires discordantes ? — A prouver ? Pas grand chose. A te cacher, plus que tu ne pourrais le penser. car il est honnête, se fait déchéance avant que tu n'en sois déçue de lui : ne l'abandonne pas. même si dans ses plus doux rêves ,, il n'y en avait qu'issue à se fissurer. car jamais ,, tu n'en verrais lumière ,, à ses côtés.  — Mais garde tes questions pour...une autre fois. Pas aujourd'hui. ne gachons pas nos rares moments : à s'entretuer.
à venir écraser :
ces myocardes
à t'appartenir.
— Et pour le musée, c'est juste que je suis un peu fou. Je me suis dis que tu méritais au moins ça. menteur, menteur, menteur. à ne cesser de vouloir la tromper : regarde où tu finirais ! dans ces chaos sans nom ,, seul ! à te promettre, que ce n'en serait que douleur de plus. quand tu veux la préserver, venir lui en offrir tous tes regards ,, lui en donner un peu de toi, car ça fait mal. rien que d'y penser.


les mots résonnent : à ne les avoir jamais entendu. papillonnent les regards, s'en désoriente un instant les visages ,, d'un sourire tendre, il voudrait s'en faire encore plus grand ! pour en mériter ces quelques baisers.  — J'aime bien tes récompenses. A quand la prochaine ? qu'il s'amuse ! vient effleurer ta main de la sienne pour en tenter d'en serrer ses doigts disparus : te suivre alors n'importe où, à s'en tenir si sage.  — Je t'admire, c'est différent. d'un visage à se pencher vers le tiens, comme pour en incruster dans ses iris : tes profils somptueux. — C'est plus intéressant que de regarder les tableaux. D'ailleurs, c'est ton truc les musées, du coup ? essaie de te découvrir ,, bien plus que les corps : pour s'en faire remarquer ! venir tout doucement contourner tout ce qui venait à vous séparer, à te faire face ! venir en rompre ses propres promesses ,, quand il ne peut pas te laisser.  — T'es du genre activités calmes alors...On aurait pas dit...Mais c'est vrai que ça te va plutôt bien.

vient s'étendre sa paume :
offre les chaleurs
d'un instant !

Quelle en devienne les tableaux qu’elle admire.
Beauté à se poser dans ses yeux.

Et pourtant les œuvres ne sont que pour elle, mais tout s’embrouille, à ne voir que lui, encore une fois. À peut-être aimer les voiles comme les détester. Vouloir disparaitre du monde un instant pour en garder l’apothéose nouvellement connue. Qu’elle en soit un secret éternel, une éclipse dans les jours terribles pour apaiser les cauchemars brillants en lui.


Fou d’en créer les plus beaux paradis pour oublier les hécatombes, pas assez dingue pour la retenir et en créer le vide qui la ferait revenir. Des effleurements des chairs, rien de plus, en attiser les souvenirs et les laisser en suspens. Emballer les myocardes avant d’en couper leurs symphonies douloureuses.
Quand il s’intéresse réellement à elle.
Voulant connaitre les secrets qu’il n’avait pas encore arrachés.

I'm picking up the pieces, please just look the other way Que j’en garde plus que tu ne le voudrais. Ses petits morceaux si près de mon cœur.

«Je finis toujours par tout savoir Hokuto, mais comme tu veux. Tu as raison, je mérite tout.» Et elle le laisse, dans ses étonnements, à ce baiser d’une joue louangés, en apercevoir les sourires charmés, laisser le sien fleurir quand elle lui fait dos, se remémorer comme il est beau sous les charmes du lys blanc. Le seul et unique, sans un autre pour lui en voler position précieuse.(( I'm not falling asleep, wish my heart would beat slower.)) Paume tendue, elle en observe le cadeau, les liaisons criantes, les envies transperçantes
de le retrouver. Générosité de la déesse à lui offrir les phalanges, serrer un peu trop fort cette main manquante au rythme de ses journées. Épiderme qui avait tout parcouru tout découvert.
«Tu changeras jamais, tu es trop gourmand.» Quand elle en était plus que terrible


«N’admire que moi.» Démon avoir touché les impossibilités qu’elle en offre des actes inespérés, les regards effacés, seul au monde encore une fois il n’en reste que les faiblesses, à se détester déjà de ce qui pourrait lui traverser l’esprit. Passant ses bras autour de son cou, en jouer de ses arrogances effacées de toute la sagesse dont il n’avait jamais fait preuve, barrières bousculées à sa manière. «Tu t’imaginais quoi exactement ?»

Se rappelant combien vous étiez inconnus
À l’un et l’autre.
Besoin de compléter les ombres.

En accorder un peu d’elle
S’horrifier du froid.

Pulpeuses dansantes, frôlant celles manquantes.

de ses yeux :
à épouser
les galaxies.


de ces œuvres oubliées, tu en étais seule à immortaliser tes beautés. qu'il n'en voit que tes silhouettes ! dans ces tombeaux aux silences meurtris. bruit anéanti ! vient à siffler à ses tympans les questions : et pourquoi tu fais tout ça, Hokuto ? quand ton monde n'en était que damnation permanente. à être son seul secret ,, préserve les tympans de ses cauchemars, pour que tu n'en vois que les charmes invertueux.

et au fond :
il a peur ,,
de n'en être
que souvenir.


lui, aux allures impassables : tu n'en connaîtrais que ce qu'il viendrait te donner. enfouis les vérités, se noie dans les immondices ,, il t'en garderait loin de tout, quelques minutes de plus ! quelques jours : pour ne pas suffoquer, sous tes regards. ((quand tu lui en volais déjà, toutes ses respirations.)) et tu en sais déjà tant de choses, pourtant  ! à lui allouer baisers victorieux, qu'il te suivrait jusqu'aux fins du monde : pour en braver les interdits ! t'en demander ces phalanges contre les siennes. — Trop gourmand alors que tu m'acceptes tout. Il faut savoir me limiter, Heera. Et être cohérente.



qu'il sourit ! t'en confie les regards : car c'est toi qu'il adulerait de ces iris plantés sur ta figure. s'en glisse les bras autour du cou, à finir par en glisser ses mains contre toi ! tu joues avec lui ,, comme lui venait à le faire : à en bousculer, ces esprits maudits. — Pas grand chose... Peut-être que tu sois plus concentrée sur les peintures... qu'il murmure, effleure ces lèvres à en tenter le diable ! t'en offre ce que tu demandes ! à capturer les merveilles, pour mourir toujours un peu plus, dans ces paradis que vous vouliez transformer en réalités.

embrasse-le :
jusqu'à le terrifier.


quand il en fait vriller les baisers, sourit tout doucement contre ta figure ! miroitent les instants ,, d'une muse à s'en faire vertige d'un instant. — Alors quoi...maintenant c'est toi qui pense à des choses étranges ? qu'il en enlace les corps ! effleure la taille, resserre ses doigts contre toi ! vient à te capturer entre ses bras ,, et juste un peu : peut-être en était-ce les seules douceurs, qu'il pourrait venir réclamer. — Ou alors c'est ta manière d'essayer de me soutirer des infos ? et il en embête le monde, ne te libérerait pas ! emprisonne sa seule déité, pour la capturer vive, venir t'en voler tant de baisers ! pour faire fleurir les fleurs, contre ta peau. car de ces instants, peut-être n'en attendait-il qu'un miracle ! où tu viendrais à l'oublier lui, pour vivre dans ces banalités si splendides. — Mais c'est bête, maintenant je ne compte plus te lâcher...comment tu vas faire, pour le musée...? innocences à venir s'en faire si fausses ! sourire à blasphémer de nouveau : et les supplices s'en éteignaient toujours, quand il venait à t'embrasser. comme pour en faire taire ces désillusions : à créer vos merveilles, sans ne compter sur personne.
retrouve tes sens :
à ses touchers !
pour mourir ,,
encore un peu.



promets le lui.

Show me you're better off without me

Même si j'en crie mon désespoir.
Prouve-moi que la séparation est possible.

Que les déceptions en soient moins intenses pour chaque minute échangée qui ne sont plus forte, les liant sans cesse alliage puissant impossible à délier. Partager chaque souffle, chaque expiration, chaque frisson, chaque battement décalé à laisser les moments solitudes n'être qu'une aparté, un exception hors de la règle.

Les limites déraisonné.
Une fausse possibilité.

Quand tu en désires toujours plus Heera
Vouloir l'accuser.
Pécheresse de première d'en laisser le démon dans ta demeure.

Sans doute pour n'en perdre aucun détail d'une mémoire dont elle aurait peur qu'elle se détraque, qu'il se mélange dans ses souvenirs. ((N'en devient jamais fantôme pâle. ))Peinture tangible dans son existence, à le poursuivre sur tous les murs du musée.Laisse-moi me perdre laisse les incohérences filer.«Tu n'as aucune leçon à me donner en ce qui a trait à l'incohérence..» Pour tous les doigts qui filent déjà sur son corps, à vouloir faire croire qu'il pouvait résister contre la déesse adulant chacun de ses détails plus que toutes les prières existantes sur cette Terre.


D'un sourire vivant sur ses lèvres à chaque pression des pulpeuses entre elles, comme le soleil était bon, dorénavant. À se partager des réalités dans les symphonies des lumières, en oublier un peu plus les étoiles et les astres. Qu'ils en soient ardents, envoyer balader tout un monde qui les refuse ensemble. Maitre d'un univers en dehors des noirceurs. Conquérir la belle, offrant les plus beaux rêves, miracle, éclat d'un rire entre les baisers d'une fin repoussée, n'éloignant plus le corps qui accapare les hanches. «Tais-toi..» Sourire sans fissure, ils devenaient oeuvre des lieux.

Vole-moi les plus belles étoiles.
Vole le monde.
Ne serait-ce que pour m'impressionner.
Un peu.
[Et si tu étais mon musée.]

«Emprisonne-moi un peu alors, profite avant que je revienne à la raison et que je te soutire mes meilleures informations.» Aux bras qui se se referment contre lui, qu'il se mêle un peu à elle formant sa propre prison. Embrasser le visage et espérer redécouvrir les mêmes saveurs, ne pas détecter le moindre parfum d'une autre âme. Ce partage inaccessible, qu'il n'en adulte une seule. Et en poser les mains contre la mâchoire. Fonds en elle, dans ses iris perfides. «Tu as pensé à moi toute la semaine.» Sans question, sans suspens, une affirmation audacieuse, un ordre, il n'y avait pas d'issus pour l'homme joueur. «Forcément ils sont ennuyants quand ils sont pas moi.» En montrer ses apprentissages, murmurer au tympan. «Ça ferait des jaloux de savoir que tu loues des musées rien que pour moi.»  D'en jouer de ses mèches folles en restant aux fonds des prunelles, mèche tournoyant au bout de l'index.
Tu es beau de tes faiblesses.
Que je ne pardonnerai jamais.

bousille :
sa tête ,, brûlent :
ses Enfers !


quand tu en forgeais les incandescences de tes figures ! il en enlace les paradis, toi, sa déesse : pour laquelle il en embrasserait les chevilles ! à t'en demander ces attention célestes ! quand chimère qu'il était ne pourrait qu'en daigner t'en demander de le remarquer. accuse le de tous tes maux, lui : à être coupable de ces vertiges incessants. il t'en volerait ton monde, pour te forcer à en rester dans le sien ! briserait chacun de tes rêves, pour venir te les recréer : et en être le seul, à ne pas pourrir, sous tes regards sublimes.


qu'il embrasse les merveilles, tu étais Rigel ! toi, à briller comme seule à ses yeux : il t'en donnerait toutes ses couleurs, pour s'en repeindre de gris et venir s'effacer ! pour que tu scintilles, que tu rayonnes, Heera : de ces allures si somptueuses. emprisonne la carcasse, vient glisser ses mains sur le bas de ton dos, pour ne jamais plus te laisser partir: et qu'il rigole ! sous les mots : à toi le rendre fou, de ces délires à le submerger. — Ce n'est pas moi, qui brasse le chaud et le froid. car regarde le : à le tuer peu à peu, mort imminente ! les pulsants viendraient à vriller !
de ces souffles
qu'il voulait :
te voler.
revit enfin ses regards, à chaque baiser ,, tu en fais de lui un être vivant : l'un de ceux, à s'enticher des sentiments ((et de ces jeux : tu en serais la seule, avec qu'il aimerait continuer de rêver.)) alors à se taire ! sous les demandes ! t'en accorder tous ce que tu viendrais à désirer : il en était valet impétueux : à en supplier sa reine, d'en épouser le démon qu'il était. au risque de tout faire flamber ,, de ces terres, à vos corps ! dessine contre tes lèvres, les inatteignables vertiges : il t'en conterait, ses merveilles. celles à ne prendre vie, que contre ton corps. — T'emprisonner...Ne tente pas le diable, joli cœur. Qui sait de quoi je serai capable. car il était prêt à tout, pour t'en dédier ses horreurs ! et de tes touchers, venaient à frémir les peaux ! reste ainsi pour ne faire de lui que pantin à ne peut plus pouvoir respirer, sans toi. sourit des douceurs, et de ces mains contre son visage !


— Fais attention, dans ce cas. Les gens jaloux seraient capables de tout pour m'accaparer. Même si pour le moment, il n'y a que toi qui m'amuse, ces derniers temps. doués de bien des choses : sauf des mots ! qu'il ne veut pas être pardonné, qu'il ne veut pas que tu l'aimes : pourchasse le, comme lui viendrait à se suspendre contre tes jambes. à libérer une de ses mains de ton dos sans te relâcher, vient glisser sa phalange contre ta pommette ! recale quelques une de tes mèches derrière ton oreille : pour en effleurer subtilement les contours de cette dernière. — Mais aujourd'hui, pas de folie. J'ai promis de me tenir sage, alors n'essaie pas de me distraire.  embrasse du bout de ses lèvres, ce visage si délicat ! à venir chercher les siennes : pour en mordiller les beautés ! — Et peut-être que je répondrais à tes interrogations. Compris ? alors fais en : tout le contraire ! car lui ne pourrait jamais résister ! à ces infâmes pulsions.
ne plus rien promettre :
si ce n'en était ,,
de te garder pour lui.