maze ((ft. Levi))

maze
come and look for
a mystical maze
(June 2024)

E

t dans l'ombre vient à crever les lumières : vient à brûler les peaux si froides : car elle n'en est que poupée, Chieri ! à toujours se cacher, pour ne pas en être emprisonnée dans ces regards inconnus. que les iris viennent à juger, personne ne comprendrait : à quel point le monde l'effrayait.

de ses sourires :
à déguiser
chaque crainte.

frappe contre les tympans les mots à ne jamais plus en être sincère. tout va bien, qu'elle murmurerait aux étoiles ! car ce soir ne viendrait qu'à pourrir les échos de son monde ravagé. là ,, de ces doigts à en faire bienfaisance, gamins toujours trop visités : et elle s'en fait discrète, ne veut jamais être vue ! quand les charités venaient pourtant à se savoir. mais elle veut fuir, elle veut vivre sans ces peur d'en être admirée : muse éternelle, on t'avait sculptée dans le marbre, MEDUSA !

pour que tu te brises :
de mille et une
fissure.

sort de ces bâtiments ! vient à finalement te cacher, car ils sont là ,, espiègles rapaces à toujours essayer de te capturer. alors tu fuis ! passe par derrière, cache ton visage gelé ,, et c'en est toujours ce que tu viendrais à faire ! quand tu t'en dissimules parmi ces bâtiments toujours trop éclairés la nuit. d'une silhouette à vouloir te photographier, à pourtant te suivre ! et toi tu tenterais de te faufiler  : sans succès ! hors des visions. à finir par en interrompre la route d'un.e inconnu.e ,, de tes délicatesses si fragiles, tu en chanterais les poèmes interdis. car le souffle suffoque légèrement ,, et que viennent à te ronger : ces anxiétés à te tuer de nouveau. — Excusez moi...Ca vous dérange si...si je fais un bout de chemin avec vous ? qu'elle murmure ! voix si douce ,, allures innocentes : car elle n'aime pas blesser, Chieri. effrayée de ses propres doigts, quand le monde continuait à en être trop cruel. — La personne là bas me suit depuis un moment, et pour sa sécurité il vaudrait mieux qu'elle ne reste pas seule avec moi...

sortie de minuit :
à éviter les carnages
de pierre.

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(June 2024)

tw;; drogue

I

l lui arrive, à lui aussi, de vouloir se cacher. Quelle idée sordide ! Au premier plan de tous les projecteurs, il ne fonderait jamais dans la moindre masse. Mais parfois il en trop pathétique, visage trop creusé, trop d'excès, pour leur faire face. Temple à lui-même qu'il n'en connaisse que la plus belle image. Homme fort, protégeant une nation de toutes intempéries, il n'en était pas moins que Collapse, fervent de chaque mission et des plus appauvris.

Sillonner ville parfaitement connue.
Ruelle seule témoin.
De ton immondice.

Visage totalement dévoilé, comprimé recherché dans. une poche, comme si ce n'était pas assez. Nova douce symphonie. Ne pas entendre les limites, addiction qui ne cesse jamais sa trainée. Reprendre les pas pour en déguerpir au plus vite et éviter la moindre traitrise d'une présence inconnue pouvant détruire la couronne.

Du moins, c'est ce que tu croyais.

Quand la course, s'arrête en fait sursauter tout un corps trop en alerte, en proie du poison nouveau. Trop tard. Capuche encore sur la tête, en reconnaitre la voix, trop familière, famille vitale, originelle d'une simple union, il se retourne trop vite, bousculant presque la poupée si fragile. Chieri, toi et tes blessures profondes. Tous aussi cher à son coeur, en commençant par ceux qui avait commencé la valse des étoiles dès le départ. «Chieri ?» Pouce passant sur la joue, découvrant la peur, oubliant les fissures un instant, les mécanismes de défense innée en elle, regard sombre vers l'arrière de sa silhouette pour en découvrir mangeur d'âme qui n'en avait jamais assez. «Putain...viens.» Bras autour des épaules, protecteur, mod d'une vitesse trop rapide, ils quittent lieux si rapidement. Chauffeur retrouvé dans la folie des rues, corps qu'il cache, dissimule derrière la carrure pour qu'elle s'invite dans la voiture, abris de fortune.

Oeillade inquiète.
Distance préservée.
Ton des plus doux.

«Ça va mieux ? Tu ne feras pas de mal à personne, ne t'en fais pas.»

Est-ce que seulement l'un de vous se portait bien après toute la mascarade ?
Célébrité incendiaire.

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(June 2024)

L

e monde est sot : il t'enferme pour en comprimer les pensées ,, vient à tuer les douceurs. c'en était ton poison éternel, Chieri : de n'avoir jamais su en poser ces limites à ronger les poumons fanés. qu'elle t'attrape !

sans te reconnaître :
dans ces prisons
nocturnes !

souffle saturé, sourire à éblouir ,, elle en parcourt le visage, toujours trop blafard ! n'en dit rien ,, se chuchote dans la tête : Levi ,, comme âme à se perdre, elle aussi. vif ! s'en fait tes éclats. quand elle en vient toujours à vouloir disparaître : loin du monde, loin de tous.mais toi ,, tu en sauverais ces peurs à la pourchasser. — Levi ! Je suis tellement contente que ce soit toi ! et les épaules retombent, attrape du bout de ses doigts l'un des pans de ton haut : pour se réfugier auprès de toi ! en oublie les frayeurs ,, quand trop habituée : à être poursuivie par ces démons sans foi.

alors prie les cieux
honore ces déesses éteintes :
pour en trouver refuge.

n'en tourne plus les regards ! sait qu'importe où elle finirait par s'enfuir ,, on viendrait toujours à la rattraper. de ces lentilles à faire s'étouffer la douce. alors toi, Levi ! elle en admire les forces ,, suit chacun de tes calvaires ! à vouloir étouffer sous ses paumes tes craintes à te tuer : celles à te poursuivre ,, toi aussi. quand tu viens à l'engouffrer, dans ces véhicules à ne plus tarder ! soupir à s'échapper ,, qu'elle en pose sa tête en arrière en fermant ses paupières.

le monde est si moche et vous en êtes ses jouets préférés.

— Ne t'en fais pas...Je vais bien...J-J'ai l'habitude...Ils essaient toujours de me suivre avant de lâcher... poitrine fatiguée, à revêtir sourire trop doux ! — E-Enfin tu sais comment ils sont !  quand le visage s'en tourne vers le tient, vient à doucement effleurer du bout de son doigt ta figure si pale et lointaine. avant d'en replier la main, s'assurer simplement : que les peaux ne s'en faisaient pas aussi gelées que les siennes. — Et toi...ça va ? car elle n'a pas peur : s'en fait toujours trop forte ! en face de ceux qu'elle venait à admirer. — Si tu veux on peut aller se balader un peu ? Histoire de... qu'elle chuchote, s'inquiète : meurt de nouveau ! car tu en es tout aussi fragile ,, Levi. — ... de décompresser ?

let's play a game
where we just have :
to keep a secret !

murmurons alors :
nos propres regrets
car elle devine ,, sur tes traits !

[les chaos sublimes.]

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(June 2024)

I

l n'en était trop sordide pour tous les sauver, en même faire respirer leurs âmes misérables ne serait-ce que quelques secondes à défaut d'en faire respirer la sienne, poussiéreuse et lacérée. Mais pourtant elle sourit quand elle réalise sa présence. Cage tordue tombe près d'elle, pour s'en cacher dans une nouvelle, une maison toute entière, frayeurs rejeter qu'elle s'en agrippe à cette statue faible. Mains fermes qui en cachent ses membres esseulés.

D'un cri il en suffirait.
Pour en retrouver.
Tout ce qui est semblable.

Poupées, marionnettes des mochetés, il en resterait que des balades pour oublier, encore au sommet des cieux, sur leurs trônes qui tanguent. Sourire trop doux qui en blesse, tord la poitrine, ne pas croire à toutes les lueurs dont elle aimerait faire croire, en voir les mensonges, en reconnaitre les siens. ((Comme on est si stupide.)) En sentir les sensations dupliquées, fermer les yeux sur une douce caresse, tentative d'en frôler la peau et se rétracter quand elle fuit.«Je sais trop bien comment ils sont justement pour croire que ça va.»

S'accomoder des chaires gelées.
Volant paumes sur le cuir.
Pour en oublier un peu.

Main qu'il resserre dans la sienne naturellement, sans demande, il en acquise les envies d'un hochement de tête, d'un index qui frôle l'intérieur de la peau, un besoin de se rassurer toujours plus, d'imaginer qu'il n'était pas peine perdue. «Tout ce que tu veux. J'ai l'impression qu'on a pas fait ça depuis des années.» En faire semblant d'être normaux, croire qu'ils n'étaient qu'humains.

Encore un peu avant de se fissurer.
D'en faire chanter les chaos.
Murmurer de ne jamais en parler.

Il se penche vers le chauffeur, en chuchote endroit pour satisfaire les envies d'évasions, geste de main simple, dictateur qu'il le faut. Capuche qui se rabat sur la tête, trouver veste à l'intérieur de la voiture pour lui refiler sur les épaules frêles et la cacher, elle aussi, tels des enfants sous les couvertures tendues dans un salon, les peaux en brilleraient presque, n'en serait plus aussi pâles. «On a peu l'air ridicule, mais ça passe, non ?»

With you, I serve
With you, I fall down

Watch you breathe in
Watch you breathing out

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(June 2024)

t

out se casse, sur votre passage : des pavés, à s'en recolorer de carmins, à vos propres peaux, à s'en fissurer en permanence. les rues en sont cramées, de ces incandescences et toxiques. et à ton visage, elle en avait respiré de nouveau : comme si tu en étais bouffée d'oxygène, à percer son myocarde déjà nécrosé.
plus rien n'y fleurit
pleurent les innocences
écorchées à vif.
cachette ! à vous recueillir comme tombeau : dissimule vos peurs, car ici mêmes les sourires les plus fins, pouvaient venir s'effiler. — Ca aurait pu être pire, alors. quand pourtant le monde en était si gris : les étoiles ne brillaient plus depuis déjà trop longtemps, dans ce ciel qui était vôtre. et peut-être que les idées viendraient à en être enfantines ! quand les paumes n'en lâcheraient pas les tiennes : y trouve un peu de réconfort, dans ces océans oubliés.

et dans la nuit : est-ce qu'elles viendraient à vous atteindre ?
ces notes en mineur ,, contant vos exploits.

à voler
vos sanités.

car tu as raison ! à avoir trop attendu, sans doute : pour en retrouver ces analités. et d'un simple sourire, observe les manèges : pour s'en retrouver sous les douceurs d'une veste à cacher les agonies. de ses doigts, à en serrer les pans de ces tissus presque trop délicats, vient à se réfugier ! se meurt sous les inconnus ,, à rire tout doucement, comme si finalement : vous en aviez le droit à un peu de repos. — Peut-être ! Mais c'est efficace ! et amusant. s'égaie tout doucement les visages, pour en oublier toutes leurs misères ,, vient à observer compagnon d'une nuit ! jeu étrange, à simplement vouloir profiter de quelques légèretés. — Après tout....On est pas souvent, ridicules. Alors...Ca change un peu, non ? et on ne vous regarderai pas, pour une fois ,, là ,, à fuir les soleils pour vous en confier aux astres. échanger vos maux, contre quelques rêves nocturnes.

silencez vos chaos
jusqu'à ce qu'en meurent
les doutes.

— Tu nous emmènes où alors ? de son regard presque naïf ! à suivre les pas qu'importe les destinations : car elle en guetterait les quiétudes ! celle qu'elle pourrait t'offrir pour en calmer les moroses tragédies à revivre encore et encore dans tes iris. — Ca fait longtemps, qu'on a pas fait de sortie juste tous les deux. Il aura fallu attendre un timing aussi étrange... qu'elle rigole tout doucement ! s'en sent presque bénie : de pouvoir en retrouver les épaules à en être presque aussi fragiles que les siennes. et les mots veulent en combler, ces vides à en grignoter les entrailles ,, ceux à en donner raisons à vos folies ! comme artifices à disparaître, explosent dans le ciel de leurs milliers de couleurs !
pour mieux s'éteindre
mourir :
et recommencer.

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(June 2024)

B

rèche intemporelle, ils pourraient jouer à ceux qu'ils ne sont pas, ceux qu'ils n'avaient pas été depuis si longtemps, aux accords normaux pour en soulager les neurones brûlés, carbonisés, vos peaux aussi souffrantes d'en récolter tous les regards qui vous épient. De se concentrer d'un ridicule pour souffler , oublier le carmin que le trottoir avait récolté avec vivacité. Dos à Athena, maison des fissures, des malheurs et des bonheurs, il avait semblé un instant que la fuite fût possible, d'une douceur attirante dont il n'avait jamais vu la moindre couleur.
I want you to stay
'Til I'm in the grave
'Til I rot away, dead and buried

Il s'en bercerait d'un seul rire, seul comptine qu'il souhaiterait entendre en dehors du bourdonnement incessant aux tympans, ce sang qui ne fait qu'un tour, adrénaline cuisante, démons sautillant partout pour lui en faire croire qu'il n'était pas si beau, juste horrible.

Il suffit de tendre l'oreille.
Pour entendre encore.

Les notes si fines.
Du bonheur passager.

Les ridicules qu'il se refusait, lui laissant la chance de pouvoir les effleurer. «Heureusement qu'on ne l'est pas souvent.» Déjà assez écorché pour en devenir maitre des cirques et foires. ((Et pourtant c'est ce qu'ils sont.)) À fuir le soleil tant aimé, les caméras. Flip a coin. Destin nouveau. Maitre des contrôles, ne sachant pas où il va, porter par la vie depuis comme il n'avait pas le fait depuis si longtemps. Ville qui ne serait le seule guide, douce amie, soeur d'arme en serait réconfort. «Je n'ai pas de réponse à te donner pour une fois. Un endroit qui te fera du bien sans doute.»
Croisant son bras au sien.
Pour en offrir arc-en-ciel.
Ceux qu'elle avait perdus.
Cataclysme de chaleur sur la peau glacée.

Et ne te détrompe pas.
Il en est aussi émerveillé, de cette chance à votre portée.
«C'est vrai, pardon, je t'ai délaissé un peu dernièrement, j'ai peut-être encore un peu la grosse tête parfois.» A ce regard complice qu'il lui lance. «Ton rire est toujours aussi doux, il fait plaisir à entendre, comme une berceuse.» D'un regard qui passe à l'admiration et au soulagement de la voir revivre. Un index qui se tend vers un foodtruck perdu. «C'est mal pour ma ligne, mais des frites c'est très américain et j'ai envie de penser que je suis à New-York, un peu. Viens.» Guidant leurs pas vers les prochaines étoiles.

Qu'ils s'en composent avant de voir leurs chutes précipitées.

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(June 2024)

p

ourfend vos mondes ,, brisent les étincelles : plus rien ne brille, ni même vos regards ! quand s'éteignent vos firmaments. silence complet ,, les voix n'en n'atteignent plus vos tympans. et rien ne soulage, tout démange, d'en crier vos amertumes à ces nuits sans fin.
mais quand les mains :
s'en joignent
pour se retrouver.
juste un instant, les solitudes viennent à s'effacer. juste un instant, tout semble différent. ses mutismes s'en transforment en douceurs, oublie les silences : Méduse renaît sous ces beautés fragiles. les chaleurs épousent ses froideurs, elle ne sait plus ce qu'en étaient ses vérités, Chieri. se cache derrière quelques sourires quand rien ne peut sonner juste dans le myocarde. ridicule : peut-être l'était-elle, finalement, quand elle courait pour se cacher.

là où même
vos échos :
l'oublieraient.

— Tu te fais bien mystérieux ce soir. destination miroir : souhaite que les calmes s'imposent, que s'en chantent vos requiems, pour vous éteindre en paix. qu'elle en ressert ses fins doigts contre ton bras ! essaie de respirer à nouveau loin des folies à te tuer. alors tu te réfugies entre ces simples touchers, retrouve tes raisons oubliées : et à deux, peut-être parviendrez-vous à renaître sans vous en écorcher les doigts.
dans ces océans
à couler :
sans fond.
— Oh ! Non ne dit pas ça...Je suis assez discrète en ce moment. qu'elle s'en effraie de ces mots prononcés quand les regards s'en faisaient si doux. cligne un instant des cils ,, laisse les tendresses raviver ses teints trop pales. léger sourire à s'esquisser, effleurer tout doucement son visage : car elle n'en reconnait même plus ses traits. — Toujours de si jolis mots...C'est gentil. ça la touche ,, quand les sincérités en frappent sa figure et qu'elle vient à s'enfuir dans ces idylles que tu lui offrais.

le temps d'une nuit
pour tout recommencer.

en suit ton doigt ,, dans les destinations proposées. les iris viennent à luire d'un instant furtif ! à s'imaginer ces festins comme délices si mélodieux. hoche vivement la tête, finit par délaisser le véhicule à en cacher les peurs ! se terre contre ta veste jusqu'à revenir s'en coller à ton bras. et les sourires s'en font si doux ! quand vos chutes n'en n'auraient lieu qu'à minuit passé. — Je veux...le hamburger...là... qu'elle pointe du doigts l'une des photos : lointains souvenirs ! à ne plus en avoir gouté ces luxures, depuis trop longtemps. — Je te piquerai des frites. qu'elle prononce presque trop sérieusement, d'un calme à transpercer sur son visage. quand elle en tente quelques humours innocents, n'est pas réellement douée, Chieri : car les silences en conviaient mieux à ses lippes épuisées.

donne sa main :
pour danser ,,
sous les étoiles.

qu'elle commande ((visage caché)) masque à dissimuler les peurs à la bouffer ,, t'en laisse prononcer les envies ! glisse un billet comme d'une fragile invitation. et ce soir, elle ne veut entendre que les douces berceuses à vous aiguiller loin des horreurs. loin des splendeurs. comme funeste tombeau à vous accueillir dans ces nocturnes sans lieds. s'installe presque trop calmement sur l'un des bancs extérieurs, t'observe un moment : et se demande, pourquoi chaque minute ne pouvait pas en être aussi bienveillantes.
pour toi
pour vous :
à vous maudire.

à vouloir
vous en voler :
vos joies.

déjà trop fragiles ,, elles meurent avant de naître
dans ces abysses trop sombres.