Please, forgive me.. [ PV Daeho ]

25.09.24 23:22

TW : Drogue, alcool & sexe

Please, forgive me..
@Soo Daeho code by Moonset

You are half of me
Une autre nuit bien mouvementée. D'abord un passage dans le club où je mixais de façon plutôt régulière. Une soirée bien chargée, bien animée. J'adorais passer du temps derrière les platines, m'amusant. Et puis, j'avais grand besoin de laisser mon esprit s'évader plus loin. Bien plus loin. Ce qu'il s'était passé avec Nao me hantait encore.. Alors je m'étais oublié dans un verre. Puis un second. Les regards insistants de cette femme plus loin interpellant mon attention. Alors c'est sur son corps que j'avais tenté d'oublier. Un plaisir fugace et à peine satisfaisant lorsque j'y repensais.

Un second amant, essayant d'étancher une soif qui me brûlait de l'intérieur. Une nuit que j'avais passé entre sexe et alcool. Sucrerie glissée entre mes lèvres, habitué à ses effets et n'ayant donc pas vraiment les même contrecoups qu'avait subit Nao. Encore lui, dans mes pensées. Je maudissais mon corps. J'enviais sa candeur. Je détestais ma faiblesse..

Les heures étaient passées si vite que je n'avais pas vu le matin se lever. Aucun sommeil depuis la veille. De l'alcool et ma drogue encore plein le corps et les veines.. C'est d'un pas assez peu assuré que j'étais retourné chez moi. Pas mon appartement perso, non, la maison familiale. Je savais très bien que mon père chercherait à me réprimander s'il me voyait ainsi, quand bien même je n'étais pas le joyau tant attendu dans ses yeux. Un souffle exaspéré passe mes lèvres et je me fais discret. Absent ce père trop envahissant. Heureusement.

Mes pas me mènent à la chambre de mon jumeau. Moitié de moi même. Celui qui aurait toujours cette plus haute importance dans ma vie. Celui que je chérirais jusqu'à ma mort. Celui que je suivrais dans l'au delà si cela devait arriver.. Poussant la porte lentement, espérant ne pas faire trop de bruit. Je ne me rend sans doute pas compte que l'odeur de l'alcool, de la cigarette et du sexe doivent encore me coller à la peau. Faut dire que j'avais pas vraiment prit le temps d'une douche. Posant mon corps lourd au dessus de la couette, mon bras enlace la taille de ma moitié et j'enfouis mon visage dans sa nuque.

Un soupir de satisfaction venant franchir mes lèvres. C'était toujours reposant d'être près de lui. Même si je me doutais bien que ça ne lui plairait pas la nuit que je venais de passer. Même si je savais qu'il allait certainement me secouer un peu d'avoir osé toucher Nao.. Devrais je lui dire ? Bien sur. Je ne voulais pas lui cacher quoi que ce soit. Enfin, presque rien en tout cas. Vrai que je ne lui parlais pas de mon petit trafic perso sur ces fameux bonbons, mais c'était pour ne pas le mettre en disgrâce auprès de notre père. Auprès d'Athéna. Ainsi, si je me faisais prendre et punir, je serais le seul à l'être.

Personne ne devait faire de mal à Daeho. Je le chérissais tant. Je voudrais le protéger plus encore. Garder éternellement sa main dans la mienne. Son corps contre le mien. Mon étreinte se resserre un peu alors que mon coeur se serre douloureusement à la simple idée qu'il me serait arraché par le mariage arrangé. Pourtant, je devrais me réjouir qu'il trouve quelqu'un pour le comprendre et l'aimer, non ? Peut être même irait il mieux avec le temps et serait il capable d'avoir une famille à lui. Alors à ce moment là, je sais que je pourrais le lâcher sans risquer de le perdre. Je n'aurais plus qu'à m'éloigner pour ne pas entacher sa vie de ma présence.

25.09.2024

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Soo Daeho aime ce message

25.10.24 15:56

TW : Violence, mort, pensée suicidaire

Please, forgive me..
@Soo Daehyun code by Moonset

CONCRETE JUNGLE

No god, no religion… just bad…bad decisions.
Osmose chimérique, un chérubin imagine la caresse d’un ange sur ses traits. Doucereuse génitrice épousant le front de son fils. La quiétude, le mirage de cette attention si bienveillante. Adorateur de cette femme dont il ne pouvait que fantasmer sur son existence. Consumée par sa propre existence, le meurtrier ébruite ses sanglots intimes. La progéniture quémande la rédemption, supplies sa propre chute aux bras du divin. Les retrouvailles susurrent l’onirisme parfait. Les désirs sont inscrits, la dextre semble être tendue devant son joli minois. Syndrome de l’usurpateur, le poupin suffoque de sa propre agonie. Disgrâce existentielle, déchirures sempiternelles. Son âme est enchainée à cette enveloppe charnelle. Le reflet qui s’est épris de la vision idyllique d’une moitié ombragé par son substitut. Son poing désire briser ce miroir… toutefois, les fracas sont inexistants. Du moins, ceux de sa fatalité s’émiettent en opposition avec son plus grand souhait.

Quelques diamants liquides profanent les commissures de ses oeillades. Son dernier soupir priait son néant. La fragrance nauséabonde s’entichait de ses draps immaculés. Un froissement de ses traits faciaux, l’imperméabilités de son expression était bafouée par l’agacement et le dégoût. De cette senteur putride, à sa propre subjectivité, l’image de sa promise n’était aucunement atteinte de cette négligence. Délicatement, son essence se tournait vers cette entité jumelle qui partageait son lit pour un moment de quiétude émotionnelle. La temporalité d’une contemplation sur ce jumeau qui sombrait dans la débauche… Toutefois, son agacement horripilant s’abattait sur son frère, encore innocent de la machination de son reflet vivant.

Le monarque de ces lieux s’évadait quelques instants de son lit pour voguer vers la salle de bain. L’écoulement d’une bassine glacée, quelques gouttes d’huile de lavande pour un parfum idéalisé. Un pas suivi d’un second, la magnificence ducale faisait s’écouler le breuvage sur le facial de son effronté de frère. Un réveil plutôt efficace devant cette vision grotesque. Un soufflement du nez s’ébruitait, l’essence de l’héritier froissant son pyjama de soie sous le croisement de ses avant-bras.

« Tu m’expliques ce dépotoir lisible sur toi ? Daehyun, tu pues toutes les débauches de ce bas monde et tu oses graviter dans mes draps ? Tu désires me manquer de respect ? Files te doucher maintenant. Cette odeur irrite mon odorat. »

L’ébauche d’une larme s’écoulait de son oeillade, la ramure de son index venait quérir cette impudente. Son égarement cognitif s’interrogeait sur la symbolisme de cette gouttelette. Est-ce le sanglot interne d’un rêve tant espéré ou une éclaboussure de cette bassine ? La longitude de ce rideau de cil humide en exprimait la signification sans le consentement de son tortionnaire. Une exaspération exprimée, son contrôle semblait fébrile lors d’un repos presque mortuaire.
Le froissement des draps cueillait son attention sur un mouvement de Daehyun, ses prunelles plus douces choyaient cette entité en peine.

« Allez, dépêches-toi. On discutera après, mais laves-toi toute suite. »

25.09.2024

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06.11.24 0:17

TW : Drogue, alcool & sexe

Please, forgive me..
@Soo Daeho code by Moonset

You are half of me
J'ai toujours eu cette crainte au fond de mon coeur que l'on vienne m'enlever Daeho. Ayant eu l'impression que ce fut un peu le cas lorsque notre père l'a alors prit à part et que je n'ai pas été mis dans le secret de ce qu'il se passait.. Lorsqu'il l'a fiancé à cette fille aussi.. Mon coeur la déteste au moins autant que j'aime ma moitié. Et pourtant, mon esprit le sait bien.. Daeho me sera forcément arraché, pour une vie de famille. Pour ce mariage. Peut être pour de l'amour..? Et alors, je me demandais si je pourrais aimer aussi de mon côté. Si je finirais par trouver cette paire qui remplacera la moitié de mon être perdue. Avant de chasser tout cela et d'aller me perdre un peu plus dans mes vices. Je refuse de voir ce jour arriver trop vite. Mon âme souffre d'avance d'une chose qui ne peut qu'arriver. Alors j'essaye simplement de m'y habituer par phase. Pourtant, je finis toujours par coller mon jumeau.

Comme ce soir.

Il n'aime pas que je me complaise dans la débauche et l'alcool, je le sais bien. Pourtant j'y retourne encore et encore. Cette nuit mouvementée, mon cerveau agité par les pensées.. J'avais un peu omis la douche avant de me glisser sur ses draps frais. Un bras autour de sa taille et mon nez inspirant cette douce odeur réconfortante contre sa nuque. Je n'imaginais pas amour plus pur que celui que je ressentais pour Daeho.

Si je ne sens pas son corps quitter le lit, c'est l'eau qui m'éveille bien mieux que le moindre mot qu'il aurait pu lancer. L'eau aussi glacée que son regard, aussi parfumé que sa personne. Je frissonne de tout mon être et passe une main sur mon visage en me redressant, un peu dans le vague encore. C'est toujours aussi étrange que fascinant de voir ce reflet de moi même avec ce genre d'expression. Tant de points communs et tant de différences entre nous. Il était tout ce que je ne serais jamais.. Doué, solide, bien sur ses positions, un peu froid aussi.. Juste lui dans toute la splendeur d'un prince dont j'atteindrais tout juste la cheville. Je ne pouvais que comprendre pourquoi notre père l'avait choisi lui et je ne m'amuserais jamais à vouloir lui faire de l'ombre.

- Te manquer de respect..? Jamais.

Oh ça non, je ne ferais jamais une telle chose. Mon esprit avait simplement refusé de fonctionner plus loin que ce besoin de l'avoir près de moi. Levant difficilement mon corps courbaturé, je quitte le lit de ma moitié pour me rendre vers la salle de bain. En passant si près de lui, j'avais l'envie de le serrer contre moi à nouveau. Cette gouttelette qu'il venait de chasser inquiétait mon coeur et pourtant, je ne fais que presser mes doigts sur son poignet avant de hocher la tête à son ton plus doux.

Est ce que je lui disais assez combien je l'aimais ? Celui qui avait partagé le même espace réduit durant neuf mois. Celui qui partageait des souvenirs d'enfance, des jeux, des moments difficiles. Celui qui partageait avec moi un visage, un regard, une voix. Parfois, j'avais simplement envie de me fondre totalement en lui. Au moins en ne faisant qu'un, je serais certains de ne pas avoir à m'éloigner, me séparer, de cet être si cher à mes yeux.

La douche est agréable et bien chaude. Le délicat parfum du gel douche de Daeho vient remplacer les effluves nauséabondes que j'avais en arrivant. Prenant même la peine de me brosser les dents et me laver les cheveux. Ca me fait un bien fou et réveille un peu plus mes sens. En sortant, une fois séché, j'attrape un peignoir que j'enfile. Mes pas se risquent jusqu'à ma chambre pour prendre quelques vêtements, avant de revenir vers mon frère.

Et à peine ai je passé le pas de sa porte, que je viens passer mes bras autour de sa taille, mon corps s'appuyant contre son dos. Un soupir d'aise et de soulagement. Je me sens enfin bien, complet, adoucit des maux qui tournent dans mon esprit.

25.09.2024

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21.11.24 16:12

Please, forgive me..
@soo daehyun code by Moonset

CONCRETE JUNGLE
TW: maux psychologique, violence, métaphore blasphème, torture psychologique.

Somptueux satellite aux facettes de deux garnements esseulés. Le voile opaque d’une facette, elle grésille devant les louanges d’un idéal fantasmé. La bordure dorée lui sifflotant un dévouement éternel, une plissure des genoux. La brûlure d’un cordage encerclant sa jugulaire, doux damné d’une éternité d’esclavage pour les préceptes familiales. Le poupin des jours enneigés, chantonnait ses sanglots pour quérir une lueur du soleil, la rédemption s’amourachant de sa seule ombre. La précipitation de ses mirettes s’estompant comme l’abolition de ses rêves. Âme désaffectée, les parcelles choient son épopée en des trainées pourpres. La silhouette de ses pas écorchés sur une plage de cailloux de verre. Sa dextre s’élevant vers l’astre lunaire, le bruitage d’un craquement de sa propre chair, un filet de son élixir vital s’écoulant sur ses doux traits faciaux. Ses abominations se repaissent de son intégralité.

La symphonie d’un départ, l’ébauche d’un écoulement de cette pluie de plénitude dans cette cabine. Ses oeillades survolaient ces draps souillés par l’instabilité de ses propres nerfs. Une cacophonie interne qui exprimait son agonie couvée dans le secret. Les dames de service enclenchaient par mécanisme la propreté de cette crise infantile. Un soufflement de son timbre presque inaudible accordant des excuses dont leur ouïe ne pourrait percevoir la fissure d’une bienveillance. Son doigté cueillait l’ébauche d’un dossier. L’angoisse d’y égarer un esprit embrumé dans des lignées abjectes. La douce entrave de fraternel brisait cet cycle infernal. La senteur humée enchantait l’odorat du maniaque, un parfum familier de ses propres produits.

« Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu es encore dans un piètre état. À force de te promener comme ça, tu vas… »

Ses paroles furent obstruée par l’intervention tortionnaire du géniteur au travers la porte. Brutalement, la froideur ébranlée dans cette poigne pour se retirer de cette emprise, se démontrait comme la chute de cette épée de Damoclès. L’image de ce dos s’estompant derrière la porte refermée comme le dévouement d’un sacrifice d’une tragédie. L’hurlement du patriarche écorchant la quiétude de la demeure et le claquement d’une main levée estomaquant la barrière insondable d’un châtiment illégitime. Les rumeurs de cette attitude pittoresque du cadet avaient été susurrer aux oreilles du roi d’un royaume monarchiste. L’attitude de Daehyun pâlissait la ramure de la maisonnée. Un débauché dont le prochain maître devait contrôler pour ne guère ternir la mélopée de ses gênes.

Le tintamarre évacuait sa dernière octave avant le départ de l’emblème. La porte de la chambrée s’entrouvrait de nouveau pour recueillir le damné de ce sermon partial. De ce cheminement, le martyr s’abritait vers la salle de bain pour appliquer une légère pommade sur sa joue rougit par la brutalité précédente. Un soufflement brisait la barrière de sa factice satiété.

« Il serait sage de cesser d’agacer notre père. Et pas besoin de t’offusquer devant lui jusqu’à pester ta rancoeur devant ses yeux. Tu le connais autant que moi, tu sais très bien que ton comportement n’est aucunement responsable. »

Ses oeillades fantasmaient la ramure de cette génitrice au travers de ce reflet. Miroir des maux, rêverie irréalisable. De ses charnues pulpeuses à la couche de carmin, elle semblait lui dire de s’évader dans la démence. Néanmoins, cette fois-ci, une autre dame brisait la réunion des âmes jumelées. Incantatrice de la névrose de Daehyun, la nouvelle épouse du régisseur acclamait son hypocrite tristesse en excusant la gestuelle de son époux.

- Mon cher Daeho, Daehyun… votre père vous aime… mais comprenez… Daeho, tu devrais cesser de protéger ton frère. N’est-ce pas Daehyun ? »

25.09.2024

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Please, forgive me.. [ PV Daeho ]

Jang Seojun

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??? ???

Jang Seojun

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??? ???

Jang Seojun

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??? ???

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Lim Minjae

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Chuu Nao

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