When they meet, they become humans again ???? Chieri

Et le dépit des âmes
noircis par l'homme.
Humanité envolé, sous des airs angéliques
l'appel à l'aide est
silencieux.




Jolis bout de statues plongé dans un silence sans fin au milieu du champ de bataille, Aecha connaissait les pouvoirs de la petite déesse solitaire et silencieuse. Véritable fantôme, similaire à son utilisation du pouvoir, une ville fantomatique et sans bruit. Lèvres scellées, toutes comme les siennes sous l'horreur qu'elle avait vécu. Et Aecha, témoin des horreurs qu'elle avait vécu, témoin de ce mutisme forcé ou accepté. Et ses pas l'avaient amené jusqu'à elle, le palpitant se serrant à l'idée de l'avoir en adversaire. Aecha rêvait de la délivrer, de la sauver de ce monde noirci à l'encre, oubliant d'ajouter des nuances de bonheur et de pureté. Silencieusement, elle avait déposé un lycoris non loin de sa position avant de s'envoler, une promesse silencieuse : je viendrais te voir.






Le pas silencieux, bouquet de fleur en mains. Si elles étaient signes de son arrivé, elles étaient pour Chieri, signe d'une protection, d'une promesse silencieuse que rien ne lui arriverait. Que le monde pourrait brûler, elle la ferait revenir des cendres pour lui permettre de vivre dans un jardin fleuri sans noir, sans douleur. Et le balcon passé, venant toquer doucement à la fenêtre, surveillant les arrières. Après tout, elle n'était personne, elle n'avait point le droit de rejoindre une TEN, qui pouvait la balancer dans les secondes qui suivaient. Sa silhouette se dessina derrière le verre et un sourire étira les lèvres rougies d'Aecha. Sourire sincère, si précieux, dans ce monde ou elle avait oublié de sourire et d'aimer son prochain sans peur. "Hey petite ange." souffla t elle comme un secret quand elle lui ouvrit la fenêtre. Bouquet mis en avant, entrant quand cette dernière lui permit de le faire. "C'est pour toi." assura t elle, se délestant de son présent, enlevant ses chaussures comme une jeune femme bien élevé, laissant ses bottes reposer dans un coin. Si elle devait fuir, elle le ferait pieds nus, ce n'était rien. Regard inquisiteur, inspectant sa silhouette puis son visage à la recherche quelconque d'une blessure, d'un signe, d'une trace de violence subite. "Que faisais tu sur le terrain Chieri?" Voix douce et inquiète, inquiète de devoir réellement se battre un jour contre elle. "Le terrain ne te va pas au teint, petit ange." affirma t elle, nuançant avec de la douceur pour ne pas la brusquer.

le monde se fige.
grignote les âmes :
dieux méprisants.
les échos ne chantent plus ,, et s'en meurent les instants sous des maux invisibles, qui viendraient empoisonner les myocardes. ça sonne creux : car les voix sont éteintes. danse entre ces silhouettes à se fissurer, comme chaos à te tuer. les mains sont maudites !


n'en prononce rien ,, observe ces corps à contempler les méandres. et tu es là ! ((Aaecha)) pour en sonner son propre glas. n'en n'est que fantôme : même ici. enfermée dans ses calvaires, innocences déjà éclatées, à pourtant essayer de les retrouver : à travers quelques sourires qu'elle viendrait à t'offrir.
de loin :
pour s'effacer
d'un seul regard.







se bercent les regards si fébriles ,, dans ces lieux solitaires. malédiction sans fin à hanter les carcasses. tu noies les absences, Chieri. quand de ces prisons viennent à chanter ces fenêtres toujours silencieuses ! le regard se tourna presque trop rapidement ! visage presque étonné : à en reprendre couleurs, sous ses peaux toujours trop gelées.  et les doigts accourent, pour en ouvrir ces vitres maudites ! s'en retrouve les mains emplies de nymphes à étouffer toutes ses peurs. elles éclatent en cendres, finissent par embrumer tes poumons comme pour te tuer encore : tes supplices à toi, que personne ne verrait. —  Elles sont...vraiment belles. qu'elle murmure !
les sourires fleurissent !
dans les pétales
à éblouir.
quand elle en dépose le bouquet parmi autres merveilles du monde ! cligne finalement des yeux sous les allures à t'en guetter, approche la figure d'une douceur exquise : pour en rassure ces traits trop tirés. —  J'étais en mission. calme à orner les traits, croise le regard : émerveille un instant celle à ne plus vivre. —  Il faut bien que je fasse quelque chose...Je ne peux pas rester enfermée tout le temps, Aecha... et elle sait ! que les inquiétudes n'en faisaient que sonner aux lèvres de chacun : aux tiennes ! trop fragile peut-être dans ce monde qui en avait brisé tes ferveurs. et qu'elle aimerait pouvoir s'en tenir si fière que toi, Aecha : comme déesse à régner sur ces chaos perfides. —  Alors ne t'en fais pas pour moi. Tout va bien. car elle se le devait.


vient à t'en servir simple thé ,, aux allures de candeurs ! car elle en aime tes présences, celles à rassurer, celles à rappeler : celles à lui dire, que tu avais survécu. mais les regards ne changeraient sans doute jamais. et ça la tue, d'en paraître si faible aux yeux de tous. et un jour, arriverais-tu à ne plus avoir peur pour elle, Aecha ? —  J'espère que tu as fais attention, en venant ... de ces interdits qu'elle viendrait à garder sous silence : à t'estimer ,, ô comme plus belle encore que ces fleurs à illuminer ses yeux. d'une énième peur à la ronger ! celle de t'en voir disparaître sous les captures à l'incomber. qu'elle en éviterait : d'avoir à te faire face ! pour ne pas en briser vos rêves déjà crevés. doigts à doucement t'effleurer pour t'en offrir les tasses ,, confie tous ses secrets ! tu en connais d'elle ce que tous avaient oublié. ((ses folies jusqu'à ses cauchemars))

Et dans l'innocence d'un regard
se déguise le plus beau
des monstres
perfide dans ce monde
qui a détruit la princesse
des nuits
déesse des ruines.  


Les visites solitaires qui prenaient place sous la promesse d'une fleur, d'une pétale perdue et d'un sourire entendu. Aecha ne pouvait qu'apprécier cette princesse perdue dans les tours d'ivoire d'Athena. Un bouquet offert et un sourire dévoilé, la jeune femme était si simple à combler et pourtant. Si elle pouvait, elle l'enleverait à ce monde et lui déroulerait le tapis rouge, entourée de fleurs, toujours. Chieri était cette fleur magique, cette fleur convoitée et séduisante. Elle était ce bourgeon qui assurait le sourire aux autres.
Et son inquiétude qui se dessinait sur son visage, ne se calmant pas malgré la douceur de ses mots. Aecha secoua doucement de la tête, replaçant une mèche de cheveux de Chieri par la suite. "Tu as le droit de sortir. Mais sur le terrain...tu es mieux au milieu des fleurs petit ange. Pas en devenir la tombe de chacun..." murmura t elle non sans douceur et sans peine. Garder son secret et l'utiliser, voilà les secrets d'Athena qui révoltait plus que tout Aecha. Une TEN, la prunelle des yeux d'Athena et pourtant, il la souillait jusqu'à la moelle sans regarder en arrière. "Ton...Yuri..." prénom légèrement craché, bien qu'un jeu s'était installé entre eux. "Ne peut il pas t'aider?" La voulait il vraiment sur le terrain? Doux sourire attendrit fleurissant sur ses lèvres avant qu'elle ne vienne déposer un doux baiser sur son front, signe de protection. "Je m'en ferais toujours pour toi petit ange. Toujours."







Chaleur du thé entre ses mains, son regard fixant sa silhouette avant de sourire à sa remarque. "Voyons petit ange...tu sais très bien, personne ne peut m'avoir. Ne t'inquiètes pas, je fais toujours attention à ce que personne ne me voit. Je ne t'amènerai jamais des soucis." Et pourtant, la voilà chez l'ennemi numéro un, à pouvoir mourir entre ses doigts sans qu'elle ne puisse rien dire. Aecha était toujours sur le qui-vive. Mais autour de Chieri, elle en oubliait parfois le danger, l'épée de Damoclès qui flottait au-dessus d'elle. Faisant craquer doucement ses doigts, les phalanges douloureuses, son regard se promena sur les innombrables fleurs. "Pourquoi tu ne travailles pas avec les fleurs?" Réelle question, cela l'avait toujours taraudé de ne pas comprendre ce choix de carrière. "Tu es douée avec. Bien mieux que moi, la plupart n'arrive pas à survivre. Sauf mes Lycoris." Peut-être était ce le destin que de la voir lié à ses fleurs.  Doux cauchemar venant ensevelir le monde sous les ailes d'un papillon. "Je devrais peut-être te demander des cours à ce rythme." Une gorgée de son thé, appréciant la chaleur se déversant dans son corps. Peut-être parce qu'elle oubliait Aecha, ce qu'était la chaleur, la chaleur humaine, la douceur. Et sous ses yeux, la jeune femme venait à redécouvrir ce qu'était une relation saine et douce. "Alors, raconte moi un peu les dernières news? Quelqu'un en vue? Des amis ? Des nouvelles choses?" Peu lui importait, tant qu'elle entendait sa voix et la voyait sourire.

prisonnière
de ces ruines
maudites.
les carcasses n'en sont que statues oubliées dans ces méandres sans fin : à n'en voir que douceur, dans ces présences à s'en faire toujours trop inquiètes. ça sonne comme malédiction, à ses tympans, à n'en être que pétale trop fragile à orner les paumes de plus grands. mais elle avait grandit, Chieri, n'en n'était tout simplement plus cette enfant dont vous en aviez le souvenir. quand pourtant les fleurs viennent à combler ses vides !

orne les lieux :
de couleurs
flamboyantes !

pour faire revivre ses poumons ! t'en accorde chacune de ses attentions ,, sous tes innocences accordées. et ça la touche, vient apaiser ses torpeurs : trompe ses démons ,, de vouloir en accorder un peu plus de ses confiances à celle que tu étais. —  Tu sais bien que je ne peux pas rester loin des missions...Je ne suis pas revenue pour simplement rester enfermée...et ne servir à rien... et qu'importe, si ses mains en devenaient tombeaux d'autres âmes : de son monde déjà anéanti !
n'en restait finalement
que quelques bribes :
à pouvoir fleurir de nouveau.
que les yeux s'en ferment, sous toutes tes attentions. d'un baiser à faire frémir les épidermes ,, vient à bourgeonner tout doucement son myocarde : car tu lui en offres bien trop, Aecha ! quand elle ne pouvait que t'en donner quelques sourires silencieux. — Et que veux-tu que Yuri y fasse...C'est ma décision... qu'elle en effleure ton poignet ! essaie d'adoucir ces humeurs à en river les regards bien trop sur elle. — Alors ne t'inquiète pas, et si tu veux...tu peux toujours venir me voir... comme pour vérifier : que les paroles n'en seraient jamais mensongères !


qu'elle voudrait t'en offrir bien plus ,, que ces timidités à ronger les regards. esquisse un léger sourire ,, laisse les artifices s'évaporer : et ça renait finalement, dans ses mots, comme soleil à en remplacer la lune. — Je n'ai pas peur pour moi. mais pour toi de vos minutes toujours trop comptées, viennent à s'en perdre vos idylles précoces : et ça l'attriste, vient en tuer un peu ses espoirs ((à savoir !)) qu'elle n'en faisait que calomnies aux lois suprêmes. qu'elle en laisse les corps venir s'asseoir, tapote discrètement près d'elle pour que tu en suives ces conforts oubliés.
et elle ne sait pas :
ce qu'en voulait
ces pulsants déjà morts.
— Tout simplement car je préfère en prendre soin et les voir vivre tranquillement plutôt que de devoir les travailler et les couper... à répondre presque trop sérieusement ! d'un léger rire à venir surprendre ses lippes pour en river son regard sur toi. — Mais tes lycoris sont parfaits. Je ne suis pas sûre de pouvoir les conserver aussi bien que toi...Finalement c'est toi, qui devrait m'apprendre. car ils venaient à resplendir, entre tes doigts, Aecha ! à n'en paraître que trop moroses entre les siens. qu'elle n'en connaissait que les solitudes ,, redécouvre à tes côtés les amitiés oubliées : comme pour revivre un instant.

là : sifflent vos damnées
à conter le temps.


— Pas grand chose, tu sais...Je n'ai pas le temps pour ça et...j'ai pas grand monde autour à qui je pourrai m'intéresser...Et...je sais pas...peut-être que c'est pas pour moi... car les romances venaient à t'effrayer : tu n'en crois plus à ces contes sans fin ! t'éloigne du monde ,, ignore les regards ! à te cacher pour ne plus briller. sabotage personnel, et tu voulais simplement pouvoir respirer sans étouffer. juste une fois. — Mais sinon...Je suis devenue mentor. Et je dois dire que c'est plutôt agréable ? Autrement tu n'as rien raté. penche la tête vers toi, tend finalement doucement ses phalanges :  pour en effleurer presque affectueusement l'une de tes pommettes. — Et toi ? Plus passionnant j'espère. Peut-être même que je pourrai prendre des notes. qu'elle s'amuse un instant ,, n'en est pourtant qu'angoisse à se demander, comment tu allais réellement. — Pas trop...mouvementé ?

Flétris sous ses pétales
petit ange perdant
foi en l'humanité
petit ange, prisonnier
du passé

Doux sourire au bout des lèvres, secouant la tête, en désaccord avec paroles. Attrapant doucement ses mains, lui montrant ses dernières. "Tu n'es pas inutile...tu es utile, tu n'es pas faite pour devenir un monstre, laisse les autres le faire...tu n'es pas fait pour créer un jardin de statue sans vie, tu es faites pour fleurir au milieu du jardin d'Aphrodite." Loin des ruines et des tombeaux, loin de la froideur et de la noirceur. Elle était ce petit ange qui devait briller aux yeux de tous, qui devait survivre et amener la lumière. "Je serais le démon de tes nuits mais soit l'ange de mes jours..." murmura t elle avec douceur. Chieri était faites pour briller, sur un trône qu'Aecha lui façonnerait. Mais elle serait mieux loin d'Athéna, loin de ce système qui l'utilisait pour augmenter leur jardin de Meduse. Elle secoua la tête en désapprobation. "Il proclame pouvoir tout faire alors qu'en réalité..." Il n'était qu'une faucheuse du mauvais côté. Il n'était que le démon des vies, aspirant le souffle de chacun pour son propre bien. Il lui avait retiré le sien aussi. Il lui avait enlevé cette justice qu'elle aurait pu gagné. Douces caresses du bout des doigts sur sa joue, elle voulait prendre soin de cette petite âme. "Je viendrais toujours vérifier et je rendrais fou qui compte ose te faire du mal." Et cela, même si c'était de son camp. Elle les ferait payer un à un.


"Alors n'aie pas peur pour moi, cela serait le début de la fin..." Qui aurait peur pour la noirceur de ce monde, papillon virevoltant sous les cris de douleurs sans fin (( jouissif )). Chieri ne devait pas porter ce genre de sentiment encombrant. Elle devait penser à elle-même et seulement elle-même. S'asseyant à côté d'elle, observant la vie fleurir sous ses doigts avant de rire légèrement.  "Je t'en ramènerai dès qu'ils feront la tête." Rendez-vous secret pris, promesse échappée du bout des lippes mais pourtant si sincère, elle lui en ramènerait des fraiches quand elle le souhaiterait.

Seule touche de couleur
carmine
maîtresse de la mort.



Et elle l'écouta, réciter sa vie, ses moments et ses peurs. Sans intervenir, souriant à sa douceur sans fin. Aecha s'enfonça un peu plus dans sa place. "L'amour...je ne sais pas ce qu'il vaut, je ne l'ai jamais goûté et ne veut le goûter. Mais je suis certain que dans ce monde...quelqu'un est la pour prendre soin de toi. Je prendrais sa place le temps que je sois sûre que tout est parfait...ne cours pas..;marche à ton rythme petit ange." Parce qu'après tout, ton démon surveillera toujours tes arrières. "Qui est ton élève?" Histoire d'éviter de trop le blesser ou s'en prendre à lui. Pensée  silencieuse dont elle ne révèlerait pas la vie.
Sourire ornant ses lèvres carmines. "Je ne suis pas dans l'amour mais dans le plaisir charnelle et je semble avoir trouver...chaussure à mon pied." Rire espiègle de repenser à Jaekyung et de ses moments échangées. "Mais rien de bien agréable pour tes oreilles petit ange." Puis elle se souvint Aecha. "Ah si !" Relevant sa jupe, dévoilant des dagues accrochées à ses cuisses, elle en sortit une, finement ornée de fleurs en tout genre, méduse gravé sur une face. "Je t'ai crée cette dague. Garde la toujours sur toi, elle te protègera." Finement travaillée par ses soins, elle en offrait que très rarement, pour ses proches et ses personnes importantes. "Je préfèrerai que tu n'aies pas à l'utiliser mais...sait on jamais..."

tu en chantes :
ses péans sacrés !
Méduse à renaître.
que l'on t'observerait : et c'est toi, qui en était statue de sel. perdue dans ces jardins suprêmes où même les fleurs ne venaient plus à fleurir. alors ça sonne si doux, ces rêves que tu lui contes aux tympans. observe vos mains comme destinées oubliées. et c'es si beau ! que les rires s'en profileraient contre ses lèvres ! laisse les poèmes l'éblouir un instant.

car tu en es merveille
Aecha.

— Ne dis pas de bêtises... qu'elle murmure, caresse doucement tes doigts avant de relever la tête pour t'admirer un instant. — S'il y a bien quelqu'un de doux ici, c'est toi. car regarde toi, à vouloir faire d'elle ce qu'elle n'était plus ! tu en veilles sur elle comme famille : t'en fait miracle dans ses regards ! car tu en es presque l'un de ces songes, qu'elle ne parvenait même plus à voir, la nuit. — Peut-être que c'est toi mon ange, finalement, Aecha. car t'en rayonnes à ses yeux  ! bien plus qu'elle ne pourrait jamais. quand tu fuis tes propres réalités, vient à t'échapper au travers des autres.
et c'est étrange :
ô combien
tu en rassures.
échauffe ses regards, tu ne l'en vois pas comme démon, Yuri. c'est complexe ,, ça sonne comme cacophonie : et pourtant tu as confiance, en celui tiraillé par les limbes. — Il est pas si méchant...tu sais...Il s'y prend juste un peu mal...Et...c'est compliqué pour lui aussi... d'une malédiction à vous hanter ! oublie rapidement les devoirs pour s'en reconcentrer sur toi : à faire fleurir toutes ses fleurs, dans ses poumons embués de poisons. qu'elle en resserre tes doigts ! fronce un instant des sourcils ! car tu n'en n'es pas bourreau, Aecha : pour celle qu'elle était. — Non...Tu n'as pas besoin de faire ça ... Et évidemment que je m'inquiète ? Ca serait étrange autrement. quand tu en faisais déjà partie : de son quotidien.

plus belle des fleurs :
à pouvoir fleurir ici.
c'était toi ,, à lui murmurer
les infinis.

marque les mémoires, de ces promesses induites : qu'elle veut se rappeler de ton visage à chaque pétale à resplendir dans ces lieux. parenthèses d'un monde où personne ne viendrait à vous chercher. ça respire comme fuite divine, elle en retrouve envies de vivre un peu : loin de son château de pierre à venir tomber en ruines. alors regarde la, Aecha ! observe ses ailes s'en colorer tout doucement de ces carmins sans âmes. car c'est eux, qui en faisaient pourtant à présent ses réalités fantômes.


quand tu en délivres du bout de tes lèvres mérites incompris. et ça la charme pendant quelques instants ,, vient effacer tous ses maux : car elle n'en croit plus à rien. si ce n'était peut-être tes paroles si légères. — Je n'ai besoin de personne d'autre, si tu es là. Après tout, qui pourrait me parler aussi délicatement si ce n'était pas toi ? rire léger, s'envole les papillons de tes épaules pour venir vous en épouser les sourires. — Et c'est un jeune héro. Il est plutôt prometteur. Même si je n'ai pas l'habitude... car ça l'occupe ! change ses pensées.


— Tu sais que mes oreilles ont sans doute entendu bien pire, non ? s'amuse un instant de ces innocences que tu voyais en elle : heureuse pourtant de savoir ! que tu venais à en trouver quelques compagnies. — Mais je suis contente, si tu l'es. mais les regards attrapés ! elle t'observe un instant, redresse sa silhouette trop fine ! et les yeux pétillent un instant ,, lippes à s'entrouvrir : sous les merveilles tendues.

te regarde :
comme déesse
à sculpter les cieux.

Héphaïstos en personne à en avoir trouvé chemin jusqu'à toi ,, que les fleurs viennent à naître dans les métaux ! glisse ses doigts délicats contre ton offrande ! à venir en serrer de ses petites paumes cette dague aux allures de souvenirs ((de ton souvenir)) — Je...Elle est vraiment sublime ? M-Merci...J'en prendrais soin ! émotion dans les vocales, elle viendrait à chérir les ornements si précieux à présent ,, comme serment à t'en faire si mélodieusement. — Même si je pensais que c'est toi qui viendrait me protéger... qu'elle te taquine ! t'embête un instant : sait très bien le faire d'elle-même, sans avoir à t'en mêler à ces limbes à fuser. — Elle est trop belle, pour être utilisée. Je saurai ne pas m'en servir, ne t'en fais pas. Même si...elle me rappellera un peu toi, finalement. d'un sourire délicat ! s'en redresse tout doucement pour en effleurer ta joue d'un simple baiser. se relève ! t'observe un instant comme muse à s'en éprendre de toi : car tu es merveille, derrière ces sortilèges à hanter les cauchemars.  — Moi j'ai rien à t'offrir....tu veux manger quelque chose ? Tu n'as pas fait tout ce chemin pour me noyer de compliments et de cadeaux, non ? qu'elle en accroche sa nouvelle dague à sa ceinture ! vient fièrement l'exposer à en trouver poésie dans les lames. ça la rassure ((tu en calmes ses folies)).  — Tu sais...Je suis contente, que tu sois là. confie les ecchymoses, t'en avoue les conforts permanents.

enchante ses serpents
siffle tes chants envenimés
pour en contrecarrer
ses morts trop précoces.