stand still ((ft. TUZI))

et dans les regards :
à venir ,,
flâner !

certains viennent à hurler : comme si la fin du monde pourrait bientôt en être atteinte, d'autres venaient à errer ! car ici ,, les murs blancs en étaient sans doute le seul lieu où les remords pouvaient venir s'éteindre. carnages à abîmer les visages, couloirs à laisser dépérir les âmes parfois trop fragiles : ici, c'en était toujours peintures à déplaire, qui venaient à blesser ses regards si tragiques.


des chants qu'elle venait à mettre de côté ! tu n'étais qu'une poupée à déambuler comme vestige qu'Athena voulait créer : image d'une SAINTE, à en aider tous ceux dans le besoin ! quand les doigts fragiles venaient parfois à trembler de fatigue, à force de se servir de ces dons bénis des dieux. alors elle regarde, récupère les numéros de chambre que l'on vient parfois lui donner comme pour se débarrasser de corvées trop fastidieuses. soupirs permanents, de ses douceurs à venir étreindre les plus délicats : peut-être finirait-elle aussi, dans ces lits un jour.

talons à claquer ! elle déambule, vient à se promener dans ces corridors bien trop froids. de ses doigts à toquer à l'une de ces portes sans vie : car qui sait ? qui venait à se cacher, derrière l'espace des soins mineurs. — Bonjour ! En quoi puis-je vous aider ? qu'elle prononça presque bien trop poliment : à n'être ici que par pure obligation, Kanon. — J'espère que ce n'est pas pour une simple coupure. car ici ! à abuser de sa patience : il y avait parfois bien plus grave, à traiter, que ceux à s'en penser malades de tous les maux du monde. et peut-être que les agacements pourraient s'en faire sentir ! sans pourtant s'en montrer dédaigneuse.
car tout était :
trop épuisant ,,
loin du SOLEIL.

Cela faisait quelques mois que Tuzi avait officiellement signé un contrat avec Athena, et il sentait déjà son désamour grandir de jour en jour. Bien sûr le côté très maniaque du contrôle et magouilles pour écraser toute possible ombre lui semblait déjà évident, mais le voir de ses propres yeux donnait un goût amer en bouche. Même les informations concernant l’attaque du 18 juin 2004 étaient censurées, impossible d’avoir ne serait-ce qu'une piste sérieuse puisque la liste des noms de tous les héros présents ce jour-là était classée. Pour ne rien arranger, certains des supers se permettaient de faire des choses dangereuses et absolument pas nécessaires mais très spectaculaires uniquement pour se faire mousser par les médias et l’opinion publique.

Voilà la raison pour laquelle il se retrouvait à l’hôpital en tant que patient aujourd’hui. Un “camarade” pensait que ça serait trop cool de lâcher une pluie d’éclats tranchants sur toute la zone de combat quand bien même des civils s’y trouvaient encore, l’un de ces éclats avait fini logé entre les omoplates du chinois. Comment un simple appel pour briser une bagarre entre deux supers avait pu tourner ainsi ? Dans son malheur, il avait quand même eu de la chance, ce n’était rien de sérieux, mais impossible de retirer le fragment lui-même, son amplitude de mouvements affectée en plus de la sensation lancinante bien que totalement tolérable. Bon, son dos pas possible de s’en occuper par ses propres moyens, mais avec un peu de négociations, Tuzi gagna le droit de se recoudre l’abdomen comme un grand.
Le pauvre ne put retenir un petit glapissement de surprise, se figeant lorsque la porte s’ouvrit pour révéler Kanon.

“Sparrow..?”

Ses yeux ne la quittaient pas, scrutant le moindre signe d’hostilité, alors que sa voix sonnait calme, mais quelque peu incertaine. Une question à la fois pour confirmer son identité et pour tester la température, une invitation à ne pas agir sans réfléchir. Choisissant de prouver sa non-agression, il termina le dernier point de suture avant de couper le fil et de poser le matériel usagé sur le chariot médical à sa disposition. Puisqu’il était torse nu, le pantalon de son uniforme tombant négligemment sur ses hanches à cause du manque de ceinture, il s’avérait difficile de ne pas remarquer les nombreuses blessures récentes parsemant sa peau claire. Hématomes, coupures et égratignures, le tout à différents stades de cicatrisation, et causé par le fait que rien de ce qu’ils enseignaient durant les entraînements ne pouvait les préparer à la dureté des opérations en situation réelle. Cela sautait aussi aux yeux que toutes les plaies étaient saines, correctement traitées, et à en juger par le travail tout juste accompli, il s’agissait de son œuvre.

“Désolé de te décevoir, mais c’est bien une coupure. Est-ce que ça compte comme simple si le projectile est toujours attaché ?”

Le Yang pouvait sentir qu’il n’était pas le seul à passer une sale période, donc pour essayer d’alléger un peu l’atmosphère, un brin d’humour s’imposait. Dans une preuve de pacifisme, le brun se tourna pour exposer son dos meurtri à celle que beaucoup considéraient comme un ange, ses mains bien en évidence. Grâce au miroir installé au-dessus du lavabo de la petite salle d’examen, il pouvait tout de même garder un œil sur ce qu’elle faisait, sur ses réactions. Là aussi des blessures diverses et tout aussi bien entretenues parcouraient le buste dénudé, et en suivant le liquide vital s’écoulant lentement, on arrivait à la source du problème le plus pressant en l’instant. Une écharde de cristal scintillant et définitivement aiguisée se trouvait logée pile entre ses omoplates, longue comme une dague de lancer et enfoncée de quelques centimètres seulement. En somme, pas une urgence vitale, mais quand même quelque chose qu'il serait bon de ne pas garder en soi qu’importe le potentiel intérêt esthétique. Lorsqu’il parla de nouveau, ce fut en anglais, l’air nonchalant comme s’il s’agissait simplement de retirer une petite esquille de bois du doigt d’un enfant.

“Help me out? Pretty please?”

et elle chante :
même ,, dans les couloirs.
figure à hanter ces lieux qui venaient à la prendre comme emblème. elle est gracieuse, elle est grande, Kanon. mais à avoir cette impression de n'être utilisée que pour plaire aux regards, elle venait à en détester ces lieux bien trop spacieux : à représenter pourtant la sagesse, de ceux à en servir de nobles causes. et à ses yeux ! honnêtetés que devaient en revêtir ceux qui venaient à sauver des vies. à vouloir faire de ces hôpitaux symbole entier de ces intérêts pour l'Homme. de figures à croiser en permanence, à ne jamais s'intéresser aux figures pourtant toujours si proches ! monde impersonnel, à venir la détruire un peu : quand elle en cherchait symphonies permanentes.

d'une harmonie mitigée :
humanité désespoir.

alors de ces portes ouvertes, à venir s'arrêter sur des visions presque lunaires : il était là ! celui au faciès reconnu ! à jouer de quelques ficelles sur ces tableaux sans fin ,, couleurs désagréables à son regard : comme être trop sensible qu'elle était. figure à soupirer, sous les surnoms qui venaient à sonner discorde, elle haussa la tête tout doucement, en refermant la porte derrière elle. — Nivens. Toujours un plaisir. qu'elle s'avança, à en juger tout doucement les allures de ses regards s'en montrant innocents ! sourcil à finir par se lever, quand à tout doucement s'approcher pour poser plus aisément ses iris sur la fameuse plaie principale, elle pencha tout doucement la tête. — Je vois que t'es doué. Effectivement, c'est pas juste un simple bleu.

à préférer : en rire !
que d'en montrer ,,
les inquiétudes.

et d'un léger rire, sous les supplications, à en garder sourire presque trop doux, elle s'empara d'une pince et d'un désinfectant, comme pour en préparer : arme d'un nouveau crime ! — Est-ce que j'ai le choix ? qu'elle soupira amusée, à venir lui en redresser le dos ! — Ne bouge pas, je dois essuyer un peu pour désinfecter et retirer rapidement le fragment. Puis redésinfecter. Puis faire disparaître un peu tout ce que t'as partout. qu'elle tapota tout doucement son épaule ! à s'en montrer amicale : loin d'être celle énervée qui en était entrée dans les pièces.

— Et du coup, tu t'es bien amusé ? qu'elle gigota son index pour en désigner toutes ses blessures. curieuse ? sans doute l'était-elle un peu. à n'aller que trop rarement, sur le terrain : trop demandée à soigner ceux venant en rentrer. mais à avoir cette impression, de n'être que simple poupée à devoir en être trop sage ! muse délicate à s'en faire prisonnière de ces cages ,, à ne se libérer que quand les notes venaient à s'échapper de ses lippes. pourtant, elle venait à s'en sentir utile ! là, à se servir de la seule chose qu'elle savait faire : soigner les maux, comme si le monde pouvait s'arrêter de tourner. doigts à s'en faire doux contre les peaux, à débarasser la zone de ces carmins sans vergogne ! elle faisait toujours attention, Kanon, à se faire discrète. — A 3 je tire. T'es prêt ?
à guetter :
chaque ,,
réaction.

Le surnom utilisé par la jeune femme lui confirma qu’elle le situait bien, mais rien dans sa voix ne laissait transparaître une quelconque animosité, de la méfiance tout au plus. En lisant leur langage corporel, on pouvait penser qu’ils étaient en plutôt bons termes. Tuzi la respectait en tout cas. La remarque tira un souffle amusé au chinois, quoiqu’un peu amer.

“Pourquoi faire dans la demi-mesure quand on peut se faire planter par un allié en plein excès de zèle ?”

Lorsqu’elle parla de nouveau, le brun se contenta de produire un son grave, presque un ronronnement pour laisser comprendre qu’il l’avait bien entendue. Docilement, il suivait les instructions de la belle malgré la sensation désagréable que la position lui causait, le fragment se déplaçant dans ses chaires à chacun de ses mouvements. Certes, ça ne faisait pas si mal que ça, mais ça ne faisait pas du bien non plus. Bien qu’il l’ait vue travailler à plusieurs reprises et la savait compétente, Tuzi ne put s'empêcher de souffler une demande.

“Careful, don’t cut yourself with that.”

On aurait pu penser que c’était uniquement une question de bienveillance, mais la raison derrière l’avertissement était très sérieuse. Son corps se pensant en danger rendait le fait de contrôler la toxicité du poison produit plus compliqué, ce dernier probablement assez concentré pour assommer, voir causer de sérieux dégâts. Lui-même se sentait un poil nauséeux et fébrile derrière son air nonchalant. La réprimande à peine cachée de la demoiselle fit tout de même trembler ses épaules en rire silencieux, geste qu’il regretta bien vite à cause de la blessure.

“Oh oui, on peut même dire que me suis éclaté”

Bien sûr que le blessé s’assura d’appuyer sur le dernier mot, de toute évidence très content de son jeu de mots. Ce n’était pas quelque chose qu’elle avait eu le loisir de voir avant, un vrai sourire éclairant le visage fatigué, les fossettes bien en vue.

“Prêt.”

Sachant que ça serait plus simple de déloger l’objet si ses muscles étaient détendus, le chinois expira longuement, tentant d’être le plus relaxé possible. Un sifflement d’inconfort se fit entendre lorsque les doigts habiles délogèrent l’éclat, son corps tremblant dans un frisson, puis plus rien. Hésitant dans un premier temps, le Yang roula des épaules comme pour s’assurer que ses mouvements n’étaient plus entravés avant de soupirer.

“Merci, c’est déjà beaucoup mieux.”

Cette fois, au lieu de la regarder à travers le reflet du miroir, il tourna la tête pour la regarder par-dessus son épaule, la gratitude et le soulagement se lisaient sur ses traits. De nouveau, Tuzi suivit les consignes de Kanon, la laissant nettoyer la zone avant qu’une sensation étrange ne le prenne à nouveau. Il l’avait déjà vue utiliser son pouvoir une fois, mais c’était autre chose de sentir son corps se régénérer au fil des secondes. A l’instant où il remarqua un signe de fatigue sur le visage poupin de l’ange qui le soignait, le brun s’écarta afin de lui faire face, l’intonation de sa voix ne laissant pas place aux négociations sans pour autant se montrer froid ou tranchant.

“Don’t overdo it, je peux survivre avec quelques bobos.”

et dans les abysses, ils viendraient à appeler son nom : celui toujours trop connu, à venir effrayer ceux sans conviction. c'est qu'ici, elle s'en sentait un peu ordinaire. à courir partout, respirer enfin sans avoir à briller : aider ! comme si elle venait à réellement servir, Kanon. alors à le voir, là, rire de ces quelques humours noirs sans romance, peut-être était-ce cela qu'elle venait à apprécier ! celle aux allures de créature antique. quand à effleurer les peaux, à vérifier les plaies : analyser les maux comme s'ils en étaient déchéance perfide de tout un univers ! c'était donc cela, qu'était devenue notre société. tuer ou s'entretuer ! la loi du plus fort.
à la tuer elle ,,
de ces absurdes :
évolutions.
— Je vois ça. qu'elle s'amuse de ses mots ! vient alors à caresser les cristaux, se demander dans quel sens tirer : pour qu'il n'en remarque rien. à finir par se pencher tout doucement pour en apercevoir le visage du jeune homme comme pour se méfier de ses mots. — C'est pas avec ce petit truc que je vais me blesser. Par contre toi... à le taquiner ! ne pas oublier : qu'il en était arme à lui-même. quand de ses yeux à rouler en arrière, elle rigole ! Kanon ! douceur éternelle à venir faire flancher les sérieux de ces situations sans avenir. — Pff t'es fier en plus. alors elle tire ! d'une délicatesse sans fin.

là ,, entre ces peaux :
fragment d'une histoire ,,
à être délogé.

comme pour graver à jamais ces cicatrices qu'elle ferait disparaître. d'un coton à nettoyer ,, paume à venir se coller contre les plaies, c'en étaient les sourires à resplendir son visage, sous les airs de celui à en reprendre quelques couleurs. pourtant à s'écarter ! à venir laisser les peaux se refermer loin des chaleurs de ses phalanges ! elle fronça les sourcils ! avant d'en croiser ses petits bras trop fins. car Kanon : elle s'épuise sous chaque soin. à pourtant vouloir s'en montrer courageuse ,, là où elle tentait d'en dissimuler chaque épuisement. — Je ne te permets pas. Tu vas vite te rassoir là bas et me laisser terminer, ici c'est moi qui commande. qu'elle en montra le lit de son doigts à le pointer ! à venir en saisir finalement ses épaules : comme pour l'obliger à s'y diriger.

petite figure :
trop chaotique !
de ses délicatesses.

— Puis ne me pense pas si fragile, je suis solide, moi. C'est pas une petite seconde à te soigner qui va me faire m'écrouler... à en montrer son bras comme pour en décrire ses forces spectaculaire ((absolument nulles)) rire à éclat ! comme enfant solaire à revivre enfin. — Et qu'est-ce que tu vas bien pouvoir y faire si je décide de te soigner hein ? Y'a que les enfants qui font des caprices ici, alors laisse toi faire tu veux. car elle voudrait en soigner tous les maux, elle. venir faire disparaître toutes ces horreurs sur ses peaux. car tu ne les mérites pas.
car personne :
ne les mérite.

Aussi étrange que cela puisse sembler, cela faisait sincèrement plaisir à Tuzi que Kanon sache dans une certaine mesure le danger qu’il pouvait représenter sans pour autant être effrayée par lui. Pour la plupart des gens, son pouvoir se limitait à faciliter les soins et à immobiliser les plus récalcitrants, oubliant l’évidence. Il pouvait être poison comme médicament, pouvait tuer s’il le souhaitait. Tout se jouait dans le dosage. Et avec la demoiselle, le chinois n’était qu’un joli coquelicot sentant bon la fleur et le sucre, ses fossettes bien en vie alors qu’un rire taquin secoua légèrement ses épaules.

“Je ne te pensais pas aussi autoritaire, c’est nouveau ?”

Après avoir travaillé avec la jolie poupée, Yingsu savait qu’elle pouvait effectivement traiter des choses bien plus sérieuses que les blessures mineures éparpillées ici et là, mais il savait aussi que pour la plupart des supers, leur pouvoir était à double tranchant. Un nouvel éclat joyeux s’échappa du grand dadais en voyant la démonstration de force, cette fois plus clair, plus franc. Quelque chose d’assez rare compte tenu de sa nature discrète.

“Wow careful with these guns, Sparrow! J'admets ma défaite, tu es trop intimidante pour moi !”

Levant les mains en signe de reddition, amusement pétillant dans ses grands yeux sombres, le brun la laissa le guider. Le silence tomba l’espace d’un instant, confortable, chaleureux avant qu’il ne jette un coup d'œil par-dessus son épaule pour la regarder. La question vint naturellement, montrant que ce n’était pas la première fois qu’elle lui traversait l’esprit, le ton utilisé restant léger comme pour signifier à la belle qu’une réponse n'était pas obligatoirement attendue.

“Est-ce que ça te fait mal ? Quand tu soignes, je veux dire.”

et quant bien même le monde viendrait à s'écrouler ,, elle jouerait avec les limites du monde : pour en offrir un peu de tendresse à ceux subissant les simples ecchymoses de ces dieux sans passion. qu'ils peuvent venir rire d'elle ! quand elle en était celle à s'épanouir sous chacun de ses mots, à en laisser quelques voix cristallines s'échapper ! comme pour fleurir à nouveau. car de ses autorités n'en restaient pourtant que les inquiétudes à s'ancrer contre sa peau. — Il faut bien, sinon une certaine personne serait capable d'en contredire tout ce que je dis... car tu la connaissais, Tuzi ! celle à en paraître toujours trop douce !
même dans les horreurs :
de ces lieux ,,
chaotiques.
qu'elle venait à fréquenter : i2>comme rédemption en ces mondes si risibles. et alors peut-être que tout viendrait à lui donner bonne conscience, si les galaxies marquant les corps venaient à disparaître pour en laisser cieux bien plus vides. et de sa voix ! vivacité à venir l'éclairer ! rire si pur à hanter ses cordes vocales, elle te regarderait : toi, à venir rayonner au milieu de ces endroits sans vie. — Tss, tu vois ? Un peu plus et c'était la bagarre avec moi...T'aurais mal fini ! incapable d'en faire le moindre mal, Kanon ! à se laisser porter par les amusements, se caler à côté de lui pour en guérir les dernières contusions !


et de sa question, à pencher tout doucement la tête sur le côté, elle finit par en secouer ses oreilles de droite à gauche ! comme pour en offrir à la suite sourire des plus délicat. — Ca ne me fait pas mal. Au contraire, c'est même un peu agréable ? Même si parfois fatiguant. qu'elle avoua : à ne pas réellement savoir, ce qu'elle venait à ressentir ! quand les habitudes en étaient déjà trop présentes. — J'ai juste tendance à en abuser. Mais je fais avec. Ca doit être plus compliqué pour toi, non ? qu'elle vient à murmurer ,, plus intriguée, encore : quand personne ne semblait vraiment s'arrêter sur les pouvoirs des autres.


— Et c'est tout bon ! T'as mal quelque part encore ? qu'elle vient à glisser ses doigts comme pour en vérifier par elle même ! avant de relever la figure, et de rire tout doucement. — Puis tu vois ? Fais toi confiance. Il n'y avait rien à craindre, jeune homme. quand elle en sait les risques : de t'approcher ! à s'en moquer, faire attention quand de ses phalanges, peut-être que les abysses en avaient déjà été cotoyées. de maîtrise : à devoir t'affirmer !