Addict | ft Theodore

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@Yeom Theodore

Bar nocturne 22h outfit

Délicieux nectar s’écoulant entre la verrine ainsi que les pulpeuses captivantes de la muse. La fragrance sucrée et salvatrice de la débauche. Une nuée de particules aphrodisiaques chantonnait leur couronnement dans l’enjôlement des psychés. Les paillettes d’un lieu reculé, les bouteilles furent consommer comme la nicotine d’un bâton inflammable. La sonorité d’un enchantement auditif quémandant les corps échauffés à se mouvoir sur un simulacre de piste de danse. Ses canines croquaient sa lèvre inférieure, fendant son épiderme pour en évader un coulant vermillon. Ce liquide embrassait de sa chaleur la ramure de l’extrémité de son menton. Sa muqueuse effaçait ce filet pourpre en une caresse humide. Et le revers de sa senestre s’octroyait le droit d’ôter ces dernières perles. De ce bar nocturne, les secrets et les identités semblaient être soumis à l’impétueux silence. Principe atypique, les aventuriers embellissaient leur joli minois sous un masque pour susurrer l’anonymat à leurs conquêtes nocturnes.

Son index ainsi que son majeur se délectaient de la cavité buccale de cette conquête éphémère. Un filet de salive glissant entre la commissure de ses charnues pour en y déposer une empreinte sur cette jolie robe. Un rapprochement leurs faciaux, entrouvrir ses pulpeuses pour cueillir la pureté et l’âme de cette pauvre damné. Toutefois, une voix fluette s’évadait de cette chemise ébène pour se complaire dans des injures envers la pauvre gourgandine.

- Tu es dingue ?!! Tu vas pas baiser ce thon !! Berk Berk berk !! ❞ 

L’art du ventriloque incompris, l’impudente échaudait les esprits. Querelles et insultes profanaient sa sublime bouche. Toutefois, notre adonis n’appréciait aucunement qu’on insulte sa petite conscience, demoiselle de tissu. Sa senestre s’appropriait sa jugulaire pour approcher leurs faciaux dans une entrevue plutôt tentatrice.

« Excusez-moi… ces bonnes manières sont à revoir, comme les miennes… Peut-être devrais-tu m’éduquer ? Ou dois-je demander à mon cher bourreau des coeurs ? »

À l’énoncé de ces dernières paroles, son oeillade s’attardait à l’arrivée de son invité, Théo. Pas très ponctuel. Doux ricanement ébruité, la pression de sa poigne s’estompait pour laisser la dulcinée s’évader de cette pièce V.I.P à l’écart des regards.

- RHOOO !! MAIS QUEL BEAU GOSSE !!! ❞ 

« Chut… je sens déjà ta couche humide… »

- Espèce de co.. !! ❞ 

La poupée fut ôtée et rangée dans ce monologue divertissant. D’un doigté délicat, il quémandait à son invité de prendre place à ses côtés. Le masque fut par la suite retiré pour accorder l’ébauche d’une confiance mutuelle. Une pièce fut logée sur la tablée, leur petit jeu allait être illustré par le lancer de cet objet. Pile, il racontait une histoire. Face, c’était à Taesu de le faire. Que le jeu commence.

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@son taesu

Bar nocturne 22h outfit

souffler, peut-être que théodore en avait besoin. le quotidien monotone commençait à le peser, du changement, c’était bien aussi, n’est-ce pas ? en retard, comme à son habitude, toujours les mains dans ses poches, à essayer d’éviter le regard des autres personnes, à cacher son aura le plus possible. ô, qu’est-ce qu’il a besoin d’être un enfant normal aujourd’hui, ne pas être celui qu’on a vu en couche culotte ou bien grandir. léger sourire qui apparaissait sur ses lèvres, mains qui se levaient pour dire bonjour, sourcils qui se fronçaient, la scène à laquelle il venait d’assister était bizarre, il était dans l’incompréhension totale. réellement. «  qui éduque qui ? je dois t’éduquer taesu ? évite de faire du mal aux femmes, elles sont toutes belles. oublie pas de faire en sorte que ta marionnette s’excuse réellement envers la dame, ok ? » parce qu’il ne fallait pas juger au physique, l’important était ce qu’il y avait dans l’âme, du moins pour théodore. à essayer de ne pas être un trop gros red flag la plupart du temps, tout en sachant que ses obsessions ne faisaient pas de lui une bonne personne. ô, theodore, tu n’étais pas du tout une bonne personne, à vouloir faire la morale aux gens, tu te prenais pour qui. à venir s’asseoir aux côtés de taesu, prenant alors la pièce en main pour finalement la lancer en l’air. face. ce n’était alors pas à théodore de commencer, heureusement, il ne savait pas par quelle histoire commencer.  «  face, c’est à toi de commencer, je t’écoute. » à venir mettre sa tête dans ses mains, taesu avait toute l’attention du prince.

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@Yeom Theodore

Bar nocturne 22h outfit

Les bourreaux de la potence s’égosillent sous le voile d’ombrage, la destinée semble susurrer les malices de l’impudent. L’émerveillement de son excentricité, la délicate dulcinée estomaquée par l’appellation de marionnette. Le Marionnettiste n’ose profaner sa jupette pour infiltrer son doigté. La jouvencelle est encore pucelle… Le monologue de cette marquise à jupon semble inaudible dès lors que cette pièce exploite la névrose de sa victime. La longitude de ses fibres osseuses s’élève pour s’octroyer l’appropriation de ce masque qui maquillait une nouvelle fois les fins traits de son homologue. Un mouvement de poignet, l’objet cognait contre le mur comme si la souillure s’était amourachée de cette texture prônant l’usurpation.

- Tu devrais raconter celle de la demoiselle à ce goujat !!  ❞ 

« Chut. C’est moi qui raconte. »

La demoiselle siégeait contre sa poche interne de ce blouson aux griffures démontrées, des marques effrayantes et pourtant si poétiquement artistiques pour le bienfaiteur.

« La nuit embrassait les derniers rayons de soleil, une duchesse s’est évadée du chemin de la forêt et un loup s’est émerveillé à ronger sa jugulaire. La beauté de son corps était époustouflante. De ce dernier bout de tissu, elle longeait avec pureté sur ma table. Son dernier soupir semblait s’être estompé dans cette même forêt. Dès que le loup m’a déposé sa proie au bas de ma porte, je me suis délectée de chaque entailles. Sa chevelure souillée par ce nectar pourpre. Mon instrument fétiche tranchait son frêle charnel. Si pure, elle quémandait l’élévation vers les divinités de l’olympe !! C’est alors que je lui ai tendue une main près de son coeur, dans sa cage tho…. »

Subitement, le fracas d’un verre brisé cessait le comte horrifique. Sa senestre avait brisée sous l’excitation de la chute de l’épopée romanesque, le verre contre sa paume. Néanmoins, son histoire reprit dans une tonalité nonchalante en opposition avec l’ivresse de l’euphorie précédente. De sa dextre, il ôtait chaque morceau sans bronché de douleur. Les pétillements de ses orbes oculaires démontraient ses pupilles dilatées. L’elixir vital chutait en un doux fleuve sur son avant-bras, mordant de sa beauté ses somptueux vêtements.

« et elle s’est réveillée. Elle était encore vivante quand j’ai désirée l’inspecter. Tu te doutes de la suite… je l’ai invité à danser. »

Le ricanement de la poupée s’ébruitait dans cette tension qui se mariait avec l’aura du spécimen. La monstruosité épongeait son sang à l’aide de sa muqueuse.

« À toi, maintenant. »